Cette nuit fut blanche, honnis jours, jour benni. Les yeux écarquillé dans l'obscurité chancelante tu te demande si tu as eut raison. Le psychomage Adler t'avais motivé, tu avais donc été voir la directrice de poudlard, tu la connaissais et ayant été embauché pour ta première année en tant que professeur des potion tu avais poussé l'audace jusqu'à le suggérer pour un post de professeur d'histoire.
Le revoir.
Tu as peur, tu te demande si tu as eut raison. Oui... as-tu eut raison de raviver ce que tu avais détruit ? Tu pensais ne jamais échouer, qu'importe si ton âme sombre tant que la sienne est sauve, mais ce n'était plus le cas, pour toi il avait tué, tu l'avais poussé au meurtre. Tu te rappelles encore avec quelle jouissance tu avais vu le sang coulé, extase troublé en te rendant compte de qui le faisait verser. Le sang qu'il avait eut sur ses mains était tiens.


Emrys sentait ses muscles engourdis, s'étant assoupie à l'aube elle n'avait dormit que deux heure... mais deux heures troublé d'un rêve étrange, elle était dans la brume  perdu, courant après une ombre lumineuse qu'elle ne pouvait atteindre car possédée par les ténèbres. Elle se mit en position assise sur son lit, écartant la couverture de coton égyptien. Ce n'était qu'un rêve et bien qu'elle n'ai pas de don de voyance elle savait qu'il y avait toujours un sens caché. Les ténèbres étaient son choix, sa demeure. De ses doigts long et fin elle caressa la couverture du recueil de poésie de Victor.
Elle l'avait lu en entier, sentie chaque mot la posséder, son corps en était devenue fébrile. Certain le disait écrivain raté, ils se trompaient. Ses mots étaient magiques, ils étaient vrai et en les lisant elle se rendait compte de ce qu'elle devait protéger, de ce qu'elle avait perdu, de ce qu'elle avait toujours désirer sans aller jusqu'à le posséder pour ne pas briser les visage de cet homme taillé au scalpel, pour ne pas voir obscurcir son regard si clair. Elle avait tout fait pour le préserver et c'est l'inverse qui fut produit, en le préservant elle l'avait détruit, en le détruisant elle s'était détruit elle-même.
Elle s'était mise debout et alla se prendre un bain pour délasser ses muscle crisper. Quelle conduite tenir devant celui qu'elle a brisé ? C'est pour tant si simple, se jeter à son coup, l'embrasser sauvagement, pleurer contre lui, lui dire qu'elle était désolée, qu'elle l'avait toujours aimé mais refouler car elle sait qu'elle est nocive et d'autant plus pour lui, que tout ce qu'elle avait fait c'était pour le préserver mais qu'elle avait échouer. Lui dire qu'elle avait lu tout les poème, lui dire qu'elle le voulait, qu'elle aussi le désirait, qu'elle l'aimait.
Elle mit se tête sous l'eau. Oui, en théorie c'est si simple, mais nous sommes au cœur de la pratique et Emrys n'a jamais fait dans la facilité.
Elle se coiffa avec soin, ayant appliqué des potions sur ses cheveux pour qu'ils soient fort, épais et brillant, se maquilla avec sophistication, un smoky qui accentué la profondeur de son regard sombre et la porcelaine qu'est sa peau. Elle opta pour une tailleurs de marque, structuré, mettant ses formes en valeur, classe mais sexy.  
Le moment approchait et celle qui n'avait peur de rien commençait a avoir une boule au creux de son ventre, un désir de fuir, de ne pas voir la créature qu'elle avait faite, de ne pas voir celui qui n'avait rien et tout de celui qu'elle avait connu.
Le son de ses talon aiguilles résonnait dans un poudlard qui s'agitait avec  des élève autours d'elle qui s'écartait sur son passage.
Elle se figea.
Elle le vit.
Le trouble se lisait dans ses yeux. Ses jmabes la démangeait de courire à lui. Non. Elle était une femme de tête et point emprise à ses sentiments. Elle était là pour lui donner des indication quand à son poste, rien de plus... oui c'est ça... rien de plus. Sans doute l'avait-il oublié, sans doute avait-il enterré ses sentiments pour elle. Non... les dieux ne pouvaient être si cruel. Juste, juste une fois, une dernière fois... une dernière chance. Un dernier rêve.

« Bonjour Victor. »


Elle avait parlé de voix sèche alors que ses yeux étaient troublée et plongé au fin fond des siens, elle peinait à croire qu'il soit là, mais c'était vrai, et cette réalité lui faisait montrer les larmes au yeux mais elle se mordit l’intérieur de la joue pour ne pas craquer.


« Tu connais la maison mais on m'a demander de te montrer ta salle et tes appartements... »


Elle avança et baissa la tête, commençant à se diriger vers la salle d'histoire de la magie, elle marchait devant lui pour qu'il ne la voit pas se mordre sa lèvre inférieur. Non. Elle lui avait fait assez de mal. Adler avait tord, elle ne pouvait pas revenir dans sa vie. Il ne voudrait pas d'elle de toute façon, ce n'était que de la bleusaille, un rêve de petite fille et la gamine avait grandit.

Tu avais peur, tu redoutait ce moment où tu reverrais son visage. Douze ans sans lui, Douze ans sans une partie de toi. Tu as survécu mais pas grâce à toi. Entourée tu le fus, mais pas par les bras de celui que tu désirais. Face à lui, face à sa froideur, tu t'es mise à sentir que tu le perdais. Face à lui tu as sentie sa la saveur de la défaite, d'un effort, d'un courage qui t'es étranger et que tu as pourtant mais qui restera sans récompense.
Tu avait l''habitude de déverser ta haine, de détruire des vie avec avec délice mais tu n'avais jamais pensé souffrir du rejet. Pauvre folle, ton cœur te perdra, arrache-le toi, brûle -le en offrande sur l'autel de ta superbe, dépouille toi car tu n'es rien, et qu'il est ton tout.

Il ne lui parla pas, la plongeant dans le doute, mais non... Elle savait, elle savait que le jour de son jugement était arrivé et que les dieux avait rendu leur sentence avec sévérité. Elle aurait voulu être froide, être de pierre et ne rien ressentir. Ne pas sentir qu'il ne voulait pas d'elle, ne pas sentir qu'il voulait la blesser, ne pas sentir qu'il voulait qu'elle disparaisse de sa vie.
Ne pas pleurer, résister encore et toujours. Non... elle ne devait pas le regarder, elle ne devait pas lui montrer que son univers s'écrouait
Il était déjà installé. Emrys comprit que la directrice l'avait piéger, sachant que sinon elle n'oserait jamais l’affronter.
Comment le pouvait-elle ? Elle se rappelait de la vielle druidesse, de sa prophétie la promettant à un grand avenir, mais qu'aussi du sang tacherait ses main... et il y avait autre chose... une chose qu'elle ne voulait se rappeler car lui semblant impossible....
Le sang coulait dans son cœur, se rependant dans les artères avec douleur et peine, avec force et vigueur. Elle se sentait vivante près de lui et il la tuait. Que devait-elle faire bon sang ?! Elle n'avait jamais u y faire avec les hommes, dans sa jeunesse elle sortait avec eux pour se distraire et se jouer d'eux, pour avoir une raison de ne pas être avec celui qui était fait pour elle.
Si elle venait pas curiosité. Comment pouvait-il la voir ainsi ? Non... il avait été son meilleur ami, elle s'était toujours souciait  de lui même si pendant ces douze ans ça avait été de loin.
Son orgueil de femme blessée lui disait de partir en lui sortant une réplique bien sentie pour le rabaissée, mais elle avait posé son regard sur lui, elle voyait qu'il était un homme brisé, mal fagoté, une gueule d’alcoolique. Elle avait sous ses yeux son chef d’œuvre. Elle avait eut tord. Tord de ne pas être allé le voir, tord d'avoir laissé passez douze ans. Elle avait mal de le voir ainsi et en le regardant elle ne pouvait cacher cette douleur poignante et sincère. Qu'avait-elle fait !
La magie ancienne, la soif de pouvoir, et la noirceur d'âme, cette noirceur tapie en elle qu'elle a laissé grandir... Son cœur se serra, elle serra les poings elle aurait du mettre fin à tout ça bien avant, le rejeter ce soir où elle était allée manger chez lui étant enfant, ne pas être aimable...  un sacrifice pour un vie sauvé.
La prison vous change un homme et par forcément dans le bon, ça vous brise. Et elle l'avait achevé en allant pas le voir. Elle se sentait misérable, elle qui avait tant de superbe.
Il lui avait lancé son venin et s’apprêtait à partir et il se figea, serrant les dents.
Le revoir faisait surgir en elle un flot de sentiment qu'elle avait du mal à contrôle et 'alors qu'elle s'avança vers lui réduisant l'espace entre eux et frôlant sa main, une larme se mit à couler de ses yeux, se faufilant le long de sa jour pour abreuver la commissure de sa lèvre.

« Ne part pas... s'il te plait... Vic... Je... »

Je quoi ? Je suis désolée. Tout est de ma faute.... Sa main pâle qui avait frôlé la sienne cette main où elle portait toujours au poignet cette montre qu'elle lui avait volée il y a plus de dix ans...  cette main se mis à toucher celle de son tout. Que pouvait-elle lui dire ? Elle ne voulait pas le détruire plus qu'elle ne l'avait déjà fait... peut-être ferait -elle mieux de partir, mais c'est si dure quand son unique envie et de se retrouver entre ses bras fort et de pleurer sur son épaule si solide.

« J'ai lu tes livres Victor... Victor je... »

Courage. Tu y es presque.

« C'est de ma faute. »

Reconnaître son tord. Une première pour elle. Elle avait toujours était en vérité avec elle-même, mais de là à l'exposer ouvertement il ne fallait pas pousser.

« Je me doute que ce qui fut écrit n'est plus d'actualité, je sais que tu me hais, tu as raison. Mais tu n peux pas comprendre. Ce que j'ai fait.... Tu ne pourra jamais le comprendre car... »

Sa voix se brisa. En un instant elle se rendit compte que le plus brisé n'était pas forcément celui qu'on croyait. Elle souriait tout les jours, marchait comme une impératrice forte de son pouvoir, mais chaque jours était un combat sans lui. Elle était pâle, elle avait chaud et froid. Elle avait peur.

« Car.... »

Elle sentit sa voix se couper. Sa tête lui tourner.