La rentrée, une journée particulièrement existante, ou l’on peut revoir ses amis. Certes certains cours m’avaient manqué cet été, ne vous imaginez pas des scènes je ne serais jamais contente de retournée dans la salle lugubre de potion. Non je n’aime pas cette matière vous avez raison. Ne pensez pas que je n’aime plus cette matière car j’ai eu efforts exceptionnels au lieu d’optimal, enfin peut-être un peu. Je devais rejoindre Amber, Chuck et Robin à la gare King cross, exactement devant la plateforme 93/4.

Ça me rappelle, mon premier jour à Poudlard, j’étais à côté de Chuck, mon meilleur ami. Nous étions devant ce mûr et nous nous demandions comment se rendre au Poudlard Express. Je me rappelle quand grand imbécile  Chuck avait décidé que nous nous rendions à Poudlard sans aucune aide. Quel macho, malheureusement nous avions dû attendre une famille de sorcière pour savoir comment rejoindre le quai. Heureusement pour nous les Hemingway, arrivèrent à ce moment précis. C’est en ce jour que je fis la connaissance d’Amber et de Robin. Nous montions tous ensemble dans ce train encore inconnue pour nous et nous nous mettions à la recherche d’une cabine non occupée. Quand Chuck me présenta Amber, je compris tout de suite que c’était elle. La fille avec qui il partageait le maléfice. Je dû m’assoir à côté de Robin sous ses demandes que je trouverais maintenant lourdes. Arrivés à Poudlard, nous étions tous admiratifs et surtout très excités ! Tous les recoins du château nous donnaient des envies d’aventures.  Chuck faisait l’imbécile sur les grands escaliers massifs, avant qu’un professeur jusqu’à-là inconnue vienne nous chercher. Nous rentrions alors dans la pièce maitresse du château. La grande-Salle. J’en avais beaucoup entendu parler, enfin j’avais beaucoup saoulé mon frère de question sur le château et en guise de réponse il m’offrit un livre sur l’histoire de Poudlard. En arrivant je vis la lignée de professeur, sur l’estrade et le choixpeau. Je glissai à l’oreille de mon meilleur ami que le choixpeau dont je lui avais parlée tout l’été était devant lui. Il souffla complètement ahuri par mon abus de savoir. Robin qui était derrière moi me dit à l’oreille que lui aussi avait lu ce livre, il l’avait même dévoré. On nous présenta le choixpeau avant de nous appeler pour nous placer dans un des quatre maisons. Une dizaine de personnes passaient avant que l’on appelle le nom d’Amber, Le choixpeau ne mit pas plus de 10 secondes pour l’envoyer dans la meilleure maison qui soit selon elle, Gryffondor. Chuck fut par mon plus grand mécontentement envoyé à Serpentard, je priais pour qu’il ne devienne pas un de ses gros loosers. Il ne restait plus que Robin et moi. Je ne fus pas à mon grand soulagement appeler la dernière. Je partais donc sur l’estrade en regardant Robin qui avait l’air très sûr de lui. Je m’assis sur le tabouret et ferma les yeux. Dans ma tête raisonner les noms : Poufsouffle, Serdaigle, Gryffondor, Serpentard, comme si quelqu’un essayait d’entrer en moi. J’étais tellement crispée que je ne remarquai pas que le choixpeau se trouvait sur ma tête. Sa voix me sortit de mes pensées. Ou vais-je te mettre ? Toi-même tu ne le sais pas. Pas Poufsouffle n’est-ce pas. Tu ne sais pas ce que tu veux ! Mais je vois que tu sais ce que tu ne veux pas. Tu as une grande intelligence, et aussi une grande curiosité. Mais je vois un côté ambitieux et tu as envie de monter ce que tu sais faire. Serpentard, pourquoi pas Serpentard. Non je vois tu ne veux pas. Alors il ne me reste qu’un seul choix. Serdaigle ! Je me levai soulagée, sous une grande ovation. Les Serdaigle, j’avais les Serdaigle. C’était maintenant au tour de Robin toujours aussi sûr de lui. Ça lui donnait un air vraiment arrogant, il fut aussi envoyé à Serdaigle. J’attendais qu’il vienne s’assoir avec moi mais cela n’était pas de son avis. Il m’ignora  et s’assis à côté d’un garçon envoyé ici un peu plus tôt. J’étais vraiment vexée. Nous sommes après cela monter dans notre dortoir. Ce n’est pas comme s’il avait finis de me snober, non il continua pendant longtemps. Il n’était gentil avec moi seulement quand nous étions à quatre. J’avais vécu la meilleure rentrée de ma vie.


J’étais enfin arrivée à la plateforme quand je vis que mes amis étaient mécontent Toujours en retard Sevenwood ! Pour démarrer l’année en beauté j’avais le droit à une nouvelle réflexion de mon cher Robin. Sinon tu comptes traverser le passage ou tu vas continuer à me lancé tes phrases à deux galions ?  En guise de réponse il prit ses bagages et se mit à courir. Fait pas attention à lui il s’est levé du mauvais pied dit Amb’ pour essayer de me rassurer. Il est juste con... Chuck tenta de finir sa phrase mais Amber lui avait déjà sauté dessus. Je séparai les deux imbéciles avant de traverser. Robin se trouvait encore devant moi. Je passai devant lui quand il m’attrapa et me dit. Pert toi pas en chemin cela serais dommage. Comme j’ai appris un sors pour pouvoir rentrée dans les dortoirs des filles l’année passée. D’ailleurs je te préférais en sous-vêtements Je lui écrasai le pied avant de lui dire Moi, je te préférais silencieux, malheureusement on va tous les deux être déçut Chuck me rejoignit et continua à se plaindre des coups qu’Amber lui avait infligé. Sous ses airs de gros dur c’est un petit enfant qui a besoin d’une petite maman attentionnée. Vous l’auriez deviné pendant toute l’année je dois jouer le rôle de maman. Je montai dans le train suivit de mes amis, et regagnai notre place habituel. Comme à chaque trajet, je m’assis à côté de la fenêtre, essayant de ne pas faire attention à mon voisin qui n’est autre que Robin. Lui s’amuser à me torturer. Quand je lisais il s’efforçait de faire tomber mon livre sur le sol, il me triturait les cheveux, me lancé des dragées. A la moitié du trajet j’en eu assez, je fis mine de partir avec Chuck. J’étais sur le bord de la crise de nerf.  Je m’assis dans une cabine étrangement inoccupée, Chuck se trouvait devant moi, il ne disait rien, il n’avait rien à dire. Il savait très bien qu’il me fallait cinq minutes de poses pour que je puisse à nouveau parler. Les cinq minutes étaient écoulées, Chuck me regarda, il attendait que je parle. Tu peux lui régler son compte une bonne fois pour toutes ? Il me sourit et dit Si je pouvais j’adresserais le même sors à sa sœur, mais je ne peux pas, puis je ne veux pas comme ça tu peux plus dire que je suis le seul à te torturer Je ris, il plaçait toujours les mots qu’il faux. Pourquoi il fait ça ? dis-je en le regardant. [b]Tu n’as pas une idée ? Tu penses qu’il se donne autant de mal car il ne t’aime pas ? Il n’avait pas tort sur ce coup là. Mais de toute façons moi je ne l’aime pas, il m’a trop, trop blessé. Je ne peux pas compter le nombre de fois où il ma rabaissé pour que je me sente inférieur à lui. Je ne le supporte plus, je n’ai même pas envie de le voir. Je le déteste se gars. Il acquiesça et à ce même moment j’aperçut robin partir du couloir vexer. Merde, il t’a entendu. Il n’a pas l’air content ! Je restai là sans savoir quoi faire. On fait quoi ? Chuck me regarda et dit Moi rien mais toi tu vas aller le voir, tu ne réagirais pas comme ça si tu ne l’aimais pas ne serais-ce qu’un peu. Quant à moi je vais rejoindre ma voisine de cellule. Amber Je fis la moue avant d’essayer de parler mais il me coupa. Pas de mais tu bouges ton cul Je n’avais donc pas le choix. Je me lavai et le regarda une dernière fois. Oui papa Chuck. Pour continuer dans sa lancé d’imbécilité il ajouta : Les enfants qu’est-ce que ça grandit vite !  Je partis avant qu’il puisse continuer son discours mélodramatique qui me donne la nausée. J’arrivais devant mon cher Robin, il avait vraiment l’air particulièrement vexé. Casses toi ! Je n’avais pas envie de m’en aller, je restai donc là devant lui attendais quelque chose, un je ne sais quoi. Casses-toi putain Je comptais riposter mais il me coupa dans mon élan.  Alors c’est ça que tu penses de moi. Tu crois que j’aime te torturer ? Si c’est ça je préfère partir tout de suite. Je n’en revenais pas, il se faisait encore passer pour la victime. Quoi ? Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu me tortures tout le temps alors j’ai le droit de peter un câble. Tu nous espionnais ou quoi ? Mais qu’est-ce que tu en a fa…  Il venait de m’embrasser. Comment osait-il ? Je stoppai net le baiser et partis en courant. Par chance le train venait d’arriver à destination, je rejoignis les autres, et pris la première diligence pour partir à Poudlard. Je n’attendis même pas Amber qui me chercher du regard apeurée. Je ne me rappelle même pas ce que nous a dit le choixpeau. Contrairement à ce que j’aurais pu penser c’est bien pour l’instant la pire rentrée de ma vie. Le lendemain je n’osais même pas regarder Robin, j’avais tellement peur qu’il réagisse mal. Mais j’avais bien décidé de passer une bonne journée c’est pour ça que je voulais me rendre au parc l’après-midi avec Amb’ dans le but de me relaxer un peu. Malheureusement à cause de cet idiot de Chuck j’ai dû l’emmener à l’infirmerie. Pourquoi je lui ai dit pour l’arachide ? Quand elle fut sortie de cette salle lugubre je l’emmenai au parc. Nous commençons une partie de Ninja. Je n’aimais pas vraiment ce jeu c’est d’ailleurs pour ça que je perdis. Mais j’avais bien envie de m’amuser un peu je regardai Amber et dis : Tu vois l’arbre là-bas ? Je suis sûr que tu ne peux pas creuser un trou assez grand que l’on pourrait enterrer une personne. Mon doigt pointait l’arbre le plus lugubre de la forêt interdite.[/b]

Passer une bonne journée. Je me devais de passer une bonne journée ! Mais malheureusement elle avait déjà mal commencé. Je m’étais réveillé plutôt que prévus se matin, à cause d’une de mes fichue camarades de chambres. Elles sont adorables, mais qu’est-ce qu’elles peuvent m’ennuyer des fois. Une fichue fille qui avait perdu sa chaussette et voilà mon rêve paisible s’envoler en plusieurs milliers de morceaux. Je me levais déjà du mauvais pied. De plus je devais subir les regards de se fourbe de Robin. Pourquoi l’a-t-on envoyé à Serdaigle et pas dans une maison insignifiante comme Serpentard ? Pardon j’oubliais que mon stupide meilleur ami était dans cette maison. Stupide, car il a tout bonnement envoyait Amber à l’infirmerie.  Qui a dû l’accompagner ? Pas lui bien évidemment, non ce ne serait pas possible d’accompagner Amber, Amber la fille si terrible et si méchante. Non j’ai encore du y aller, même si ça me coutait la moitié de mon cours favoris, qu’est le cours de potions. Mais ce n’est pas de ça faute à Amber si elle est allergique aux arachides mes j’avoue que ça m’aurait arrangé si elle était allergique à autre chose, comme les asticots par exemple. On ne sert pas d’asticots au petit déjeuner. Enfin, après avoir dû accompagner mon amie à l’infirmerie j’ai rejoint mon cour de potion. Encore une chose, qui me poussait à croire que cette journée était maudite. Mon satané professeur de potions n’avait gère accepter mon retard « blablablabla BEUUURCK » et quand je décidai de regagner ma place un squatteur l’avait prise, quand je dis squatteur je veux bien entendu dire Robin. Alors Sevenwood, tu ne sais pas lire l’heure ? Comment dire ça sans avoir l’air d’une écervelée… J’avais tout simplement la rage, l’envie de lui arracher la tête d’une seule gifle ne cessait de monter en moi. ROBIN, SI TU POUVAIS ARRETER DE ME PARLER AINSI CA M’ARRANGERAIS ! J’AI DU ACCOMPAGNER TA SŒUR JUMELLE A L’INFIRMERIE ALORS QUE TOI TU TE TOURNAIS COMME D’HABITUDE, LES POUCES. ALORS MAINTENANT TU BOUGES DE MA PLACE OU TU TE PRENDS UNE GIFLE ! Il resta la bouche bée, comme un enfant qui avait perdu sa tétine. Sa tête devais grouiller de jurons qu’il n’osait pas dire, alors que moi je ne pensais qu’une seule chose, lui écraser sa face de moustique contre le carrelage propre. J’avais envie de voir les traces de baves que sa mâchoire aurait laissées sur celui-ci. Je me retins finalement de faire ceci sentant que l’on me regardait. En effet tous les élèves me regardaient fixement. Quoi ils n’avaient jamais vu une fille à bout traiter l’un des gars les plus populaires de Serdaigle comme un simple moucheront ? Il n’avait eu que ce qu’il méritait. Après cinq longues minutes de blocages il daigna bouger son fessier de mon pupitre. J’ai enfin pu participer à mon cours préfère en toute tranquillité.

Quand j’eu fini mon précieux cours je pu rejoindre Amber dans le parc. Heureusement pour moi le ciel était aujourd’hui bien dégagé, ce qui fut bien la première fois depuis la fin de l’été.  Vous croyez vraiment qu’en écosse il fait beau ? Mais bon je ne vais pas me plaindre j’adore l’orage, d’ailler on me trouve bizarre des fois. Le jeu Ninja, ce jeu ou l’adrénaline te fait oublier la douleur de tes contorsions. Etant déjà très souple, ce jeu ne fait que mon bonheur. Quoi, je vous assure je suis souple, dans un rêve je me suis déjà imaginé toucher ma tête avec mon pied. Le lendemain j’ai essayé mais cela était sans succès. Mais ce n’est pas pour ça que je ne gagne pas à ce jeu non, c’est à cause d’Amber. Oui cette folle furieuse pense que taper plus fort c’est amusant. Comme j’ai une force de microbes ça l’arrange bien, mais quant à elle… Ses doigts son comme les petit sumos, mais fait en muscles. Je ne vous dis pas les crampes aux doigts que j’ai au bout d’une seule partie. Apres mettre fait détruite à la dernière manche je lui lançai par pur fierté un défis. Tu vois l’arbre là-bas ? Je suis sûr que tu ne peux pas creuser un trou assez grand que l’on pourrait enterrer une personne. Comme si ce n’était pas assez difficile, mon doigt pointait l’arbre le plus lugubre de la forêt interdite. Mais j’aurais dû me douter aux regards haineux d’Amber qu’elle ne comptait pas en rester là, c’est pour ça qu’elle m’envoya Seulement si t'as de quoi creuser de ton côté. Quelle manque d’originalité j’aurais préférais escalader quatre des plus grands arbres de la foret pour lui montrer que dans n’importe quoi j’étais supérieur, mais elle a préférait reprendre mon idée. Ce qu’elle a sans doute oublié, c’est que niveau débrouillardise personne ne me bas. Elle est peut être courageuse mais le cerveau dans le groupe c’est moi. Rien que ça ? Je m’attendais à mieux de ta pars dis-je avec mon sourire en coin ineffaçable. Creuser ? Je pourrais creuser dans le lac pour toi ma belle ou surtout pour enterré la carcasse de ton frère que j’aurais préalablement tué. Non je n’ai pas encore la rage contre Robin, quoi que. Une longue partie était démarré que le meilleure gagne Amber.

Amber M. Hemingway a écrit:

i won dude, give up.

Amber ne voulait pas passer pour une peureuse, ah ça non et ce n'est certainement pas elle qui craquerait la première. Certes, elle est terrifiée à l'idée de se promener dans cette forêt afin d'y creuser un fichu trou, mais elle est bien trop fière pour se désister aussi rapidement, surtout avec Ava. Soit elles étaient raisonnables ensemble soit elles plongeaient toutes les deux, mais il n'était en aucun cas question que la lionne se retire. Elle avait toujours accepté les défis qu'on lui lançait et ce n'est pas aujourd'hui qu'elle en déciderait autrement.

Il y avait toujours eu cette tension entre la Gryffondor et la bleue. Pourtant meilleures amies encore aujourd'hui, il y avait toujours cette atmosphère électrique, cet esprit de compétition auquel elles ne pouvaient se détacher. Que ce soit Amber ou Ava, aucune ne renoncerait en présence de l'autre, elles sont peut-être trop similaires à ce niveau, c'est d'ailleurs pour ça que leurs disputes sont de plus en plus fréquentes. Oui, plus le temps passe, plus les demoiselles se chamaillent, rien de bien méchant mais c'est assez pénible. Malgré tout, elles savent toutes deux qu'elles n'arriveraient à rien l'une sans l'autre. Mais qu'allaient-elles devenir si une énorme engueulade éclatait, elles ne mettraient pas leur égo surdimensionné de côté et elles seraient bien embêtées.


« Tu crois vraiment que je fais ça pour la reconnaissance ? Tu sais qu’on passe plus pour des folles qu’autre chose ! C’est un but personnel, et puis on ne lâche pas un défi comme ça. A moins que tu aies peur ? »

Peur ? La fille qui avait subi le pire maléfice qu'elle puisse avoir avait.. peur d'une simple forêt à la légende menaçante ? Certainement pas non, du moins ce n'est pas l'impression qu'elle comptait lui donner. Elle espérait simplement que sa dit meilleure amie aurait compris le fait qu'Amber était terrorisée, elle aurait pu être plus compréhensible tout de même.

« J'ai pas peur ! Ça va, c'est juste que.. Je ne supporte pas toutes ces bêtes et insectes qu'on peut trouver ici. Je, je suis très allergique au piqûres, tu le sais ça ? » rétorqua la lionne avec une voix tremblante.

C'est à croire qu'elle utilisait cette excuse à chaque fois, le fait qu'elle est allergique à un tas de choses. Bien que cette fois-ci c'était la vérité, Amber criait trop souvent au loup pour qu'on la croit à nouveau. Une chance qu'Ava était sa meilleure amie, elle avait un don pour savoir si la rouge et or mentait ou non. D'ailleurs Amber a un très mauvais jeu d'acteur, c'est d'ailleurs à cause de ça qu'elle se trahit souvent elle même.

« Tu sais il n’y a rien de bien méchant, c’est une forêt. Il faut juste oublier que beaucoup de personnes sont mortes dedans et qu’il y a des centaines de bêtes non répertoriées qui pourraient te manger en un coup de dents. Ce n’est pas non plus la mort. Il faut aussi faire impasse sur le fait qu’elle est probablement hantée. Tu n’as pas la frousse, toi la grande Amber ? Non c’est pas possible, je dis n’importe quoi. dit la Serdaigle avec un sourire narquois qui brisa le silence.

- Mais par le caleçon de Merlin, je te dis que ça va ! J'ai pas.. peur. Je suis juste fatiguée.. et je ne vois pas à quoi ça sert ! rétorqua Amber nerveusement.

- Alors tu viens ? On commence à creuser. Tu ne vas quand même pas arrêter maintenant ça serait bête ! »

Ava trouvait toute cette histoire amusante apparemment. Mais Amber ne partageait pas son avis. Elle en avait plus qu'assez de cette petite guerre qui régnait entre elles et elle comptait bien y mettre fin. La lionne lui coupa la parole et continua son discours beaucoup plus fermement en se tournant vers sa camarade.

« Sérieusement Ava, si tu veux m'écraser une bonne fois pour toute comme une punaise.. Et bah vas-y je ne t'en empêche pas ! Mais dans ce cas là, explique moi.. Explique moi pourquoi c'est toujours à moi d'abandonner. Entre nous, n'as-tu jamais voulu cesser cette guerre. Oui Ava, tu es ma meilleure amie, mais je ne comprends pas pourquoi on se prend toujours la tête pour des.. choses qui ont si peu d'importance.. Les choses iraient parfois beaucoup mieux si.. si on arrêtait de vouloir se détruire en se défiant ? »

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