Je n'aime pas cette salle commune. Je n'aime pas être ici et j'aurais tellement aimé pouvoir retourner dans la tour des Gryffondor que ça me démange de le faire. Ici je me sens comme quand je suis arrivé la première année au château, petit et insignifiant. J'ai l'impression qu'ils m'observent tous et qu'ils me jugeront jusqu'à la fin, jusqu'à ce que je finisse peut-être par avouer ce que je n'ai pas fait. Je me suis poser sur la fenêtre me calant contre le mur et j’observe la nuit. Personne ne dort, personne n'a réellement envie d'aller se coucher, mais j'aimerais bien qu'ils s'en aille tous. J'aimerais bien être seul en fin de compte. Je suis très contradictoire, je le sais très bien, seulement je n'en peux plus d'entendre des chuchotements, de les entendre rire entre eux parfois. J'ai l'impression qu'ils se moquent de moi, comme dans l'une de ces vieilles comédies d'humour bien gênante où le personnage se retourne à chaque rire.

Je ne les regarde pas et reste sur la fenêtre, observant les étoiles qui brillent dans le ciel noir d'encre. Est-ce que quelqu'un là haut à décider de me faire payer toutes mes années d’insolences, toutes ces années où j'ai fait beaucoup de mal aux gens? Je n'en sais rien, je ne sais même pas si je crois réellement en Dieu alors c'est difficile de penser à ça. Je ne dirais pas qu'ils me regardent tous se serait mentir, mais j'aurais tellement aimé qu'on m'ignore cette année. Je n'aurais peut-être pas du poursuivre mes études. Mes parents n'auraient sûrement pas acceptés. Ils sont fier que j'ai choisi de continuer. Ils ont même étés surpris et pensaient que j'allais m'arrêter avant et je voulais surtout leur montrer que j'avais un avenir, que je n'étais pas le fils qu'ils pensaient. Je veux qu'ils soient fier de moi. Qu'ils puissent dire à qui l'entendre qu'un jour j'ai réussis.

Au fil de mes pensées je m'endors contre la fenêtre, ne me rendant pas compte que tous les autres ont finis par partir. Le sommeille est finalement rédempteur et malgré que la froideur de la vitre ne m'est pas agréable je dors plutôt bien, sans rêve étranges. Je dormais encore lorsque des pas m'ont réveiller, ou plutôt une sorte de glissement et de boum en fait. Je me suis réveillé en sursaut et me suis aperçut que ce n'était que Juliet. Juliet … quelle ironie du sort. C'était la dernière personne que je m'attendais à voir, la dernière, mais j'étais content qu'elle soit là en fait. On a pas mal de choses à se dire. Cette fille à toujours fait partie de ma vie, même si j'ai eu une drôle de manière de le lui montrer. Je m'étire et me lève, mes pieds se dirigent vers elle espérant qu'elle ne m'enverra pas bouler. Je sais qu'elle n'a pas eu les mêmes sentiments que moi, mais désormais j'ai tourné la page et je crois que l'on devrait tous les deux repartir sur de bonnes bases, même si notre relation n'a jamais été de tout repos.

« Salut calamité. Tu n'a pas peur que je te jette un sort par derrière? On ne sait jamais ce n'est peut-être pas très prudent de rester près de moi ces-temps-ci.»

Je sais qu'elle me croyait quand je disais que j'avais rien fait, c'est l'une des rares hormis Cherryl à me croire et pour ça je lui en serait toujours reconnaissant.

the beaty and the beast

clark ∞ juliet

Juliet s'était allongée dès qu'elle était rentrée. Plus exactement, elle s'était effondrée sur le premier lit libre qu'elle avait trouvé avec la grâce et la délicatesse d'une otarie. La multiplicité des trajets pour concilier les stages et les cours la fatiguaient, elle avait besoin de dormir.
Contrairement aux sept années qu'elle avait passé à Poudlard, maintenant elle faisait beaucoup plus de pratique que de théorie, et sans surprise son nouvel emploi du temps lui demandait beaucoup d'énergie que les cours auquel elle avait assisté depuis toujours.
Depuis la rentrée, c'était d'ailleurs seulement la deuxième fois qu'elle rentrait à la maison, à Poudlard et ce n'était même pas pour s'effondrer sur son lit. Le lit qu'elle avait occupé pendant ses 7 années, le lit qui avait reçut ses larmes et ses fous rires, celui qui l'avait vu grandir. Merlin que ça lui manquait! Par pur reflex, lorsqu'elle était arrivée Juliet était allée jusqu'au septième étage, avant de se rappeler qu'elle n'avait même pas le mot de passe de l'année et que sa place était désormais, un étage plus bas avec les autres.
Elle n'avait même pas l'impression d'être de retour à Poudlard. Depuis le début de l'année elle avait à peine aperçut Clark, Odélie n'était pas assise à la bonne table le soir de la répartition et tout le monde lui manquait. Il y avait juste Andy qu'elle n'avait pas quitté puisqu'ils avaient choisi la même filière (bien que ce soit plus par dépit qu'autre chose pour son ami). Et maintenant elle était là, plus fatiguée que jamais, allongée encore habillée sur ce lit inconnu. Grandir n'était pas aussi bien qu'on lui avait dit.
Évidement elle savait que si elle n'y mettait pas du sien, rien n'allait changer. Il faudrait bien qu'elle s'habitue à ces trajets incessants, à cette salle commune et au dortoir qui manquaient cruellement de rouge et d'or, au fait de ne plus voir Clark tous les jours, mais clairement, elle n'en avait pas envie. Si elle se marrait toujours autant avec Andy pendant les cours et les stages, lorsqu'elle devait rentrer au château et qu'elle se retrouvait seule dans cette pièce inconnue Juliet avait juste envie de prendre ses jambes à son cou et partir. Loin. Le problème dans cette idée si séduisante était que pour partir il aurait fallu qu'elle puisse bouger un tant soit peu ses jambes alors qu'elle était totalement vidée de son énergie et ses paupières se faisaient de plus en plus lourdes, à tel point qu'elle finit par fermer les yeux et s'endormir dans un sommeil réparateur.

À son réveil les étoiles brillaient dans le ciel, les lits du dortoir s'étaient rempli d'inconnues qui brisaient le silence par leurs respirations et les rayons de la lune éclairaient faiblement le dortoir. Juliet avait repris des forces mais son estomac criait famine. En même temps, elle ne se souvenait même plus de son dernier repas. C'était le sandwich qu'elle avait acheté à Londres, où le patacitrouille qu'elle avait pris au trois balais avant de se rendre à son cours particulier de potion avec Ravenblack? Ça lui paraissait si lointain.
La jolie blonde aux cernes pourtant bien marquées se leva lentement, finissant de se réveiller, attrapa par réflex sa baguette puis sortie de la pièce en évitant de se prendre les lits presque invisibles dans le noir malgré son lumos maxima informulé tout en passant une main molle dans ses cheveux. Elle allait faire une petite descente chez les elfes de maison et se remplir de tous les aliments gras et sucré qui lui tomberaient sous la main avant de revenir finir sa nuit. Ça c'était un bon plan, un plan brillant. Un plan tellement génial qu'elle salivait rien qu'en y pensant, sans voir les deux petites marches qui séparaient le couloir de la salle commune. Sans surprise elle s'étala de tout son long, le visage contre le sol fraîchement ciré. Ils étaient un peu trop efficaces ces elfes de maison...

Sa baguette gisait à ses côté, illuminant toujours la pièce pendant qu'elle essayait tant bien que mal de se lever. La douleur à son poignet lui annonça qu'elle se l'était certainement (encore) foulé. Il ne manquait plus que ça. Trop occupée à se relever d'une main sans glisser, elle n'avait pas vu que Clark était présent, ce qui justifia le sursaut qui la secoua lorsqu'il s'adressa à elle.

« Salut calamité. Tu n'a pas peur que je te jette un sort par derrière? On ne sait jamais ce n'est peut-être pas très prudent de rester près de moi ces-temps-ci.»

Elle aurait pu reconnaître cette voix entre mille. Clark. Juliet releva la tête un sourire sarcastique sur les lèvres, cachant à peine la joie qu'elle éprouvait de le revoir.
« Voyons Clark, on sait bien tous les deux que même allongée par terre en pleine nuit je te bats en sortilèges. »

Elle n'essaya même pas de récupérer sa baguette, toujours occupée à passer de sa position "lamentablement étendue par terre" à "assise en tailleur comme si elle n'était jamais tombée." Quelques secondes plus tard, elle était assise en tailleurs, sa baguette dans ses mains, à soigner son poignet.

« Alors Superman, qu'est-ce que tu fais ici à cette heure dans le noir mis à part sauver des demoiselles en détresse qui glissent sur le parquet? »

Elle avait décidé de ne pas faire allusion à ce qu'il avait dit, à sa "réputation" de tueur, elle préférait l'associer au héro qui portait son nom, le positif c'était toujours mieux.

[j'ai pas encore relu ^^']

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Juliet avait la manie de tomber souvent et ce où qu'elle aille. J'avais toujours trouvé ça amusant et je l'avais d'ailleurs souvent taquiner avec ça, on s'était souvent disputé aussi à ce sujet, mais ça faisait une éternité qu'on ne s'était pas parlé. Je l'avais largement évité l'année passée, la laissant dans son coin et m'occupant surtout de ne plus me faire remarquer. Juliet avait le don de faire comme si rien ne lui était arrivé et ça me faisait toujours sourire.

« Tu crois? Tu sais bien que je suis le meilleur … enfin sans doute plus maintenant. Il parlait que je suis influençable.»

J'avais commencé par dire ma phrase en plaisantant et la fin sonnait plutôt comme un mauvais souvenir. Au fond je n'avais pas vraiment envie d'y penser, mais je ne pouvais pas réellement m'en empêcher. C'était là ancré en moi comme un souvenir indélébile. Mon impuissant avait finalement joué à ma place. Je m'étais laissé avoir. J'aurais dût être plus fort, savoir contré ce genre d'attaque, mais nous n'étions pas préparé à ça. Pourdlard est loin de préparer ses élèves à ce qu'il a dehors, même si les sorts défense sont efficace, c'était tout ce qu'on nous apprenait. Je m'étais installé en face d'elle histoire qu'elle ne se sente pas trop ridicule d'être là toute seule assise par terre. J'avais souris lorsqu'elle m'avait demandé ce que je faisais là à part sauver des demoiselles en détresse.

« Il n'y a que toi que je sauve, tu devrais le savoir.»

Je lui ai lancé un petit clin d'oeil sachant qu'elle était déjà au courant de ça, mais sachant aussi qu'elle trouverait un moyen de me contredire, de me dire que j'étais bien meilleur que ça et ce n'était pas seulement elle que j'aidais. Je la connaissais assez bien pour savoir ça et je n'avais pas très envie d'évoquer le meurtre c'était encore trop tôt pour ça.

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clark ∞ juliet

Clark s'était assis, lui aussi, sur les dalles froides de la salle commune. Il aurait pu choisir de s'assoir sur un de ces moelleux fauteuils en cuirs ou juste de rester debout mais non, il était face à elle, sur les dalles inconfortables polies par les années. C'était un des traits qu'elle aimait bien chez lui, il accompagnait ses amis, même si ça voulait dire avoir le postérieur endolori pour s'être assis par terre à une heure avancé de la nuit dans une salle commune qui ne valait pas le quart de celle des griffondors, beaucoup plus chaleureuse.

« Tu crois? Tu sais bien que je suis le meilleur … enfin sans doute plus maintenant. Il parlait que je suis influençable.»

Juliet poussa un petit soupir désolé pour lui et en colère face au réel auteur de ces crimes. Il n'avait donc que ça à faire? Clark n'était certainement pas le garçon le plus irréprochable qu'elle ait connu, mais jamais, jamais il n'aurait commis une de ces atrocités. Il était vantard, trop sûr de lui, c'était ce qu'elle avait répété pendant toutes ces années où ils se cherchaient mais il n'était pas un tueur. Et il était doué en tant que sorcier.
Elle prit ses mains entre les siennes pour lui rappeler qu'elle était là, qu'elle le croyait et accompagna ses paroles d'un sourire presque invisible dans le noir.

"C'est fou le nombre de conneries que tu peux dire dans une phrase toi! Tu ne m'as jamais battu en sortilège et tu n'es pas responsable de ce qui se passe. Si toi aussi tu commences à te croire coupable de quoique ce soit, alors celui qui a fait ça doit se frotter les mains en ce moment même! C'est exactement ce qu'il cherche, ne le laisse pas t'avoir." Elle sera un peu plus fort ses mains. "Tu n'es pas seul Maclane, même en pleine nuit dans la salle commune, c'est pour dire!"
C'était un peu sa façon à elle de lui dire qu'elle était à ses côtés, sans vraiment le dire. Elle n'était pas encore prête à parler à cœur ouvert avec lui, mais pendant toutes ces années l'ironie avait été leur moyen pour exprimer leurs sentiments. Ça n'allait pas changer de si tôt.

« Il n'y a que toi que je sauve, tu devrais le savoir.»

Juliet fit une moue amusée.
"Tu ne dis ça que pour que je ne sois pas jalouse avoue! Je suis persuadée que tu es le sauveur invisible de ces dames, caché dans l'ombre tu accompli tes bonnes actions en secret. Attention mesdemoiselles Clark Maclane va vous sauver!"
Elle finit sa tirade en riant sans pour autant lâcher ses mains. Juliet venait de poser son regard océan dans les yeux de son sauveur et s'apprêtait à dire quelque chose quand son estomac qui était encore bien vide réclama son attention lui rappelant pourquoi elle était sortie en premier lieu. La petite blonde ferma les yeux et pinça ses lèvres.

"J'ai faim." Oui merci, on s'en doutait.
"Enfaite à la base j'étais descendue pour aller aux cuisines, pas pour battre mon record de vol plané." Elle lâcha les mains de Clark et déplia avec souplesse ses jambes. "Une escapade culinaire nocturne ça te tente?" Et puis, pendant qu'elle y pensait, elle lui demanderait ce qu'il fichait ici à une heure pareil lui aussi. Les feuphénix journalisme n'avaient-ils donc pas de lit? Ou il attendait quelqu'un d'autre?

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Juliet fut un peu surprise de la réponse de Clark. Évidement qu'elle ne l'évitait pas pour ça! Ça n'avait aucun rapport d'ailleurs, c'était juste qu'après toutes ces années à se lancer des piques et bien... comment dire? Il lui était arrivé, parfois, pas trop souvent non plus, de sourire sans raison valable en entendant son nom, ou de voir son coeur battre d'un coup avec un rythme de hard rock quand il était dans une pièce et elle ne parlait pas non plus des loopings de son estomac. Non, pas des papillons, des loopings. Les papillons c'était pour les filles amoureuses, ce qu'elle n'était pas. Surement pas. Absolument impossible. No way. Alors elle s'était un peu éloignée, certes, parce qu'elle n'aimait ces sentiments, qu'elle en avait clairement peur. Tomber amoureuse de Clark Maclane? Quelle idée stupide! Elle avait passé six ans à dire qu'il était clairement trop arrogant et une année à se rendre compte qu'elle s'était peut-être trompée. Peut-être, parce qu'elle aimait bien avoir raison sur tout Juliet et que s'être trompée pendant six ans c'est un peu la poisse. Donc elle s'était simplement dit qu'il avait changé, comme ça elle avait eut raison pendant ces six années. Elle aimait vraiment avoir raison.

-Ah nan, du tout, j'étais juste... un peu débordée? Enfaite j'en sais rien, j'ai pas vraiment fait attention, je pense que je voulais surtout profité de la dernière année avec Angel et Andy. Je pense. Enfin c'est bizarre quand même. Je suppose que je voulais pas te déranger avec tout.. elle fit des mouvements ronds avec ses mains, représentant peut-être un nuage. "ça" Elle haussa les épaules. J'me suis dit que t'avais pas besoin de m'avoir sur le dos en plus. C'était un joli mic-mac de mensonges et de vérité. Elle s'était vraiment dit qu'il n'avait pas besoin de sa présence en plus, alors que si la situation était arrivé à l'un de ses amis elle lui aurait clairement fait comprendre que c'était "le" moment où on a besoin de compagnie, et elle avait totalement remarqué qu'ils s'éloignaient l'un de l'autre et ça lui avait fait plus mal que ça ne l'aurait du. Leurs affrontements débiles lui manquaient comme son sourire insupportable qu'il avait quand sa répartie à elle n'était aussi puissante que la sienne. Nan il lui avait clairement manqué et puis avec les études maintenant il y avait des chances pour qu'elle ne le revoit qu'une fois par an, quand elle se gamèlerait dans les escaliers. Et encore.


Elle lui sourit amusé. Elle souriait beaucoup avec Clark. Pas que ce soit étrange ou quoi, ils étaient "amis" non? Mais elle souriait quand même beaucoup pour une Juliet fatiguée et affamée.
Enfaite si je me souviens bien de l'ordre, c'était Kate avant Peyton et Amy c'était il y a quelques années déjà." Elle avait répondu avec humour mais en réalité ça lui faisait toujours un peu mal quand elle le voyait un coup avec une blonde, un coup avec une brune. Si sa grand soeur l'avait connu elle lui aurait certainement sorti qu'il ne devait y avoir que le train qui ne lui était pas passé dessus mais vu à la vitesse avec laquelle il les jetait, il n'avait visiblement pas trouvé la bonne. Il en avait le temps de toute façon.

Ah en bon chevalier servant ou super héro des escaliers il acceptait de l'accompagner. Tant mieux, se balader dans les couloirs le soir toute seule l'aurait certainement déprimée encore plus de ne pas être encore à Poudlard une année. Pas qu'elle déprimait beaucoup, la colloc avec Andy était une des meilleures choses qui lui était arrivée dans sa vie et les cours de défense magique était vraiment super intéressant et elle avait l'impression d'être utile mais quand même, le grand château lui manquait.

Hé! Je ne tombe pas si souvent que ça hein, faut pas exagérer non plus!

Elle attrapa timidement sa main, c'était l'une des seules personnes avec laquelle elle n'était pas très tactile, aujourd'hui elle avait explosé son quota visiblement, puis se leva avec souplesse. Souple mais maladroite, cherchez l'erreur. Puis sans lui lâcher la main, elle était grande et chaude et rassurante, rien de mieux pour aller aux cuisines et combattre les couloirs sombres.

Il faisait déjà moins chaud lorsqu'ils sortirent de la salle commune. L'automne n'était qu'à son commencement mais les températures avaient déjà considérablement chutées. Le silence alalit se faire pesant au milieu de ces couloirs vides alors elle reprit la discussion, ils devaient certainement avoir pleins de choses à se dire depuis la fin des ASPICs.

- Grace à toi je ne mangerais pas seule avec des elfes de maison. Ils sont gentils hein, mais question grandes discussion c'est un peu moins ça... Par contre je sais déjà ce que je vais demander! Un énorme chocolat chaud avec de la vanille. Ça c'est bon! C'était la meilleur boisson au monde après le thé glacé de sa mère puisqu'elle combinait ses deux gouts préférés, le chocolat et la vanille.

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