Je vivais dans un brouillard constant depuis la veille. Est ce que c'était vrai ? Est ce qu'un professeur s'était vraiment fait assassiner dans l'enceinte du château ? Ça me semblait inconcevable. Poudlard était un endroit où nous étions tous normalement protégé et en sécurité. Comment quelqu'un avec pu tuer un enseignant ? Je grimaçai tout en me massant les tempes. Depuis hier soir j'avais une grosse migraine et je n'avais pas pu fermer l’œil de la nuit.

J'aurais bien voulu me coucher tôt ce soir mais on ne pouvait pas dire que notre salle commune était calme. Nous n'avions pas le droit de sortir donc tous les poufsouffle s'étaient rassemblés dans notre salle commune pour discuter et échanger sur le meurtre. Pour ma part je n'avais pas envie de discuter, juste de m'isoler et essayer de dormir.

Malgré l'interdiction de quitter nos dortoirs et la salle commune, je me faufilai dehors. J'avais vraiment besoin de retrouver vraiment un peu de calme sinon j'allais exploser. Je devais faire attention car à mon avis il y avait de nombreux professeurs de sortie. Ils devaient vérifier qu'ils n'y avaient pas d'élèves comme moi qui décidait d'en faire qu'à sa tête.

Je n'arrivai pas à me retirer l'image de la tête de mon professeur d'études des moldus étendu sur le sol. Dés que je fermai les yeux, je ne voyais que ça. Je me demandais comment les autres élèves faisaient pour en discuter aussi librement. Pour ma part j'avais juste envie d'être dans ma petite bulle et ne plus bouger. Je voulus me diriger vers la tour d'astronomie mais je me rendis compte qu'un professeur était entrain de faire sa ronde dans les alentours. Je fis rapidement demi tour et j'entrai très rapidement dans la salle de défense contre les forces du mal.

J''entendis le professeur passer devant la salle mais pas y entrer. Je fus soulagée. Je me laissai tomber sur une chaise. J'avais eu chaud et je savais que si je me faisais avoir j'aurais des graves ennuis...  Avec ce qui s'était passé, la directrice avait été claire, nous ne devions pas sortir sinon nous aurions des ennuis... et je ne pense pas qu'elle parlait d'une simple retenue.

Je soupirai, soulagée d'être en sécurité pour quelques heures. Je posai mes mains sur la table devant moi et je posai ma tête sur celles-ci. J'avais bien envie de faire un petit somme ici. Personne viendrait voir si quelqu'un était dans une salle de classe... De plus le professeur Bloodshire dont le bureau était à côté ne devait pas être dans les parages vu qu'on disait que c'était probablement lui qui avait tué le professeur Clark...  En même temps j'avais du mal à croire cette rumeur. Comment pouvait-on tuer quelqu'un ?

Nouveau soupir. Je devais arrêter de penser à ça sinon j'allais avoir encore plus mal à la tête. Je devais me détendre et fermer les yeux. Je priai pour que ce mal de tête disparaisse rapidement. Il me fallu que peu de temps pour m'assoupir même si la position n'était pas très confortable.

Je ne sais pas où j'étais mais je me sentais bien. J'étais dans un monde où je rêvai où ma migraine avait totalement disparu et où je me sentais heureuse et non plus oppressée comme je l'avais été ces derniers jours. Je voulais rester au pays des songes pour toujours. Bon je savais que ce n'était pas possible mais j'avais bien l'intention d'y rester quand même plusieurs heures car j'avais du sommeil à rattraper. Dans mon rêve, j'étais confortablement installé dans un grand lit moelleux à souhait et une grosse couette en plume d'oie me protégeait du froid. J'étais comme dans un cocon dans ce lit... Malheureusement tout bonne chose avait un fin...

Soudainement je sentis qu'on m'arrachait de ce monde où j'étais bien. Je commençai doucement à retrouver les sensations de mon corps physique. Un de mes bras glissa en dehors de la table et je me  cognai la tête sur la table en bois. Oh ce n'était pas agréable, même très douloureux ça.

« Aïe »

Je relevai doucement la tête tout en me frottant les yeux. Je n'avais pas besoin de miroir pour savoir que mes cheveux partaient dans tous les sens. Quand la personne devant moi me demanda si ses cours me manquaient à ce point je me demandai de quoi il parlait. De quoi il parlait ? D'être consigné dans ma maison ? Hein ?

« Hmmm »

Effectivement j'avais vraiment du mal à percuter et c'était habituel chez moi. Tous les matins, il me fallait une bonne heure pour que j'ouvre les yeux pour la journée. J'étais une personne qui aimait dormir mais comme là en plus je manquai de sommeil et bien c'était pire. Ma vision s’éclaircit un peu plus dans les quelques minutes qui suivirent et je me rendis compte que c'était mon professeur de défense contre les forces du mal qui était devant moi. Durant un instant, je fus effrayée et constater que je m'étais fait avoir et l'instant d'après je me sentais calme et sereine... Comme si rien ne pouvait m'atteindre.

Je lui souris puis je répondis :

  «  Professeur Bloodshire. Comment allez vous ? Vous savez il ne fallait pas me réveiller je dormais profondément et je faisais de magnifiques rêves, vraiment magnifiques. »

Je me levai et doucement je m'étirai. Je ne savais pas ce qu'il était entrain de m'arriver mais je savais que ce soir ou plutôt cette nuit j'avais une confiance en moi que je n'avais pas d'habitude... C'était étrange mais agréable. Je savais que j'allais probablement passer un mauvais moment avec Bloodshire vu que je n'avais pas respecté le couvre feu mais ça me passait au dessus de la tête. En clair, je m’en foutais...

«  Vous êtes très mignon quand même pour un professeur, ça change de votre prédécesseur... Le pauvre n'avait pratiquement plus aucune dent pour sourire...En même temps lui a eu la chance de vivre jusqu'à sa retraite. On ne peut pas dire que le professeur Clark a eu autant de chance... »

Je ne savais pas pourquoi il m'avait réveillé alors que je dormais si bien et profondément. Je lui en vouloir de m'avoir empêcher de me reposer alors que je me sentais assez épuisée. Je ne pus m'empêcher de sourire en entendant les paroles de mon professeur. Je ne savais pas pourquoi mais toutes ses paroles me passaient au dessus. Normalement si je m'étais fais surprendre dans cette situation, je me serais empressée de m'excuser avant de filer en courant dans ma salle commune mais là non... Je n'en avais aucune envie. Je pris le temps de m'étirer dans tous les sens et d'éveiller mes muscles encore endormis.

« Hmm non je ne plaisante pas. Je ne dérange personne ici Professeur Bloodshire. »

Je n'avais pas tort. Je n'avais fait que dormir dans cette salle de classe. Ce n'était pas si j'étais entrain de voler quelque chose ou préparer un mauvais coup... Ou même tuer quelqu'un...  Maintenant que j'étais debout, je lui fis remarquer qu'il était quand même très mignon pour une professeur et que ça changeait vraiment de l'ancien. C'était agréable de le regarder celui ci. Il retira 5 points à maison et je me mis à rire.

« Vous préférez peut être sexy ? Non parce que vous l'être terriblement Seth... Je peux vous appeler Seth. Oh oui, vous le voulez bien, je le sais. »

Toujours avec le sourire aux lièvres, je m'approchai de mon professeur avec confiance et je lui caressai doucement la joue. Je n'avais aucune idée de la façon dont il allait réagir mais c'était très secondaire. En clair, je m'en contrefichais. Je déposai un tendre baiser sur ses lèvres. Il me fallut me hisser sur la pointe des pieds pour pouvoir accéder à ces lèvres...

« Vous êtes terriblement Sexy, tu es terriblement sexy. Au lieu de me ramener à ma salle commune, on pourrait plutôt faire une balade dans le parc ? Qu'en dis tu ? Toi et moi... Et puis je sais que ce n'est pas toi qui a tué la prof. Mon instinct me le dit. Allez viens. »

Je m'éloignai un peu et je quittai la salle de classe de défense contre les forces du mal. Je l'attendrais dans le couloir en espérant qu'il accepte de faire cette balade avec moi. Je ne comprenais pas pourquoi jusque là je ne l'avais jamais trouvé attirant. J'avais été vraiment aveugle. J'avais un beau spécimen masculin devant mes yeux depuis des semaines et je ne m'en étais pas rendue compte...

« Je.. T'attends … Seth. »

Je pris une voix sensuelle et je m'adossai au mur tout en relevant une jambe. Ma jupe était d'ailleurs remontée mais c'était volontaire. Je voulais attirer le loup dans ma tanière. Un homme résistait jamais au charme d'une femme. Je n'étais peut être pas une vélane mais quand il le fallait, je savais me comporter comme tel...

« Je ne suis pas très patiente tu sais... »

Il se prenait vraiment trop au sérieux ce professeur. J'étais entrain de me demander s'il n'avait pas un balai coincé où vous savez. Je lui aurais bien dit mais il m'aurait probablement trouvé vulgaire... Et pour l'instant je voulais plutôt le séduire que le faire fuir. Dans notre conversation je lui fis remarquer qu'il n'aurait pas du me réveiller car je ne dérangerai personne là où j'étais. Je baillais tout en l'écoutant me reprendre et dire que les règles étaient pour tout le monde.

« Il y a toujours des exceptions aux règles... Toujours... Et je suis une exception donc voilà le soucis est réglé... Je n'ai pas volé quelque chose, je n'ai pas tué quelqu'un moi... Enfin j'ai rien fait de mal quoi. »

J'avais un petit sourire en coin. Je ne me démontai pas face à ce professeur même s'il ne semblait pas heureux de me voir ici. Tant pis... Quelques instants plus tard j'étais debout et je faisais du charme à Seth. Je ne m'étais jamais rendue compte qu'il était si séduisant jusque là et j'avais bien l'intention d'en profiter. Je l'embrassai sur les lèvres – il semblait aimer ça – puis je sortis. J'allais l'attendre à l'extérieur de la salle maintenant que je lui avais proposé de faire une balade dans le parc de Poudlard. Il était hors de question pour moi de rentrer dans ma salle commune. Je n'avais pas envie de voir ces maudits poufsouffle.

Un immense sourire - de victoire - se dessina sur mon visage quand je vis que mon professeur de défense contre les forces du mal me rejoindre. Il avait donc accepter de faire cette petite balade avec moi. Alors que je m'y attendais pas, il posa sa main sur ma gorge et il serra. J'aurais du probablement avoir peur mais ce n'était pas le cas. Je savais qu'il ne me ferait aucun mal. Mon sourire était toujours présent sur mes lèvres.

«  Briser ? Carrément ? Je t'en prie, vas y... Je suis sûre que j'avais adorer ça. »

Je laissai échapper un soupir de bien être quand il me plaqua un peu plus contre le mur et je me mordis la lèvre doucement – et sensuellement aussi, je voulais l'attirer dans mes filets-. Je soupirai de nouveau mais cette fois ci bruyamment quand il m'annonça qu'il allait me ramener maintenant et que je devais me la fermer. Je lui souris et je caressai doucement sa main.

«  Ce n'est pas une façon de parler à une autre femme mon cher Seth et comme je viens de te le dire je n'ai pas envie de rentrer dans mon dortoir. Je t'ai proposé une balade... Suis-je de si mauvaise compagnie ? »

Je caressai doucement sa joue. Il avait des lèvres tellement tentantes. J'avais de nouveau envie de poser les miennes sur les siennes mais je n'étais pas certaine qu'il serait de cet avis. Je me rapprochai une nouvelle fois de lui et je murmurai à son oreille :

« Si tu veux pas te balader on peut toujours aller à la salle sur demande... On peut y faire des choses très très intéressantes où les vêtements ne sont pas nécessaires mon cher Seth. Je suis certaine que tu es tentée. »

Mon regard était perçant. J'étais sûre de moi. Comme pour montrer ce que le jeune homme allait gagner en me suivant, j'ouvris un bouton de mon chemiser et laissait apparaître mon sous vêtement noir à dentelle.

« Alors ? »

Cet homme était têtu et sage, trop sage. Je ne pensai pas qu'il tiendrait jusque là. Il commençait à m'ennuyer vu qu'il ne cédait pas. Je m'étais trompée en pensant que je passerai un moment agréable avec lui. Je regrettai encore plus qu'il m'ait réveillé alors que je dormais profondément. Pour autant il n'était pas question d'être désagréable ou violente. J'allais continuer à agir comme je le faisais... Peut être qu'il craquerait. J'éclatai de rire quand il me compara à une vélane en chaleur même si je n'en avais pas les atouts. D'une voix douce et sensuelle je lui répondis :

« Tu sais parler aux femmes c'est fou... »

Je secouai négativement la tête quand il annonça que maintenant on y allait. Est ce qu'il était sourd ? Il était hors de question que je rentre dans ma maison toute suite. Je lui avais proposé de venir avec moi pour une balade mais la réponse devait être non. Il n'avait qu'à rentrer dormir dans son lit confortable tandis que j'irais flâner à l'extérieur et trouver de quoi m'amuser.

« Si ma compagnie ne vous plaît pas, vous pouvez disposer... Je trouverai de quoi m'amuser ailleurs. »

J'étais de nouveau passé au « vous  » car je n'avais pas apprécié qu'il me compare à une vélane en chaleur. J'étais une belle jeune femme et me faire critiquer ainsi... Non. J'avais quand même de l'orgueil. De plus j'avais bien compris que ce soir je n'aurais pas le professeur Seth Bloodshire dans mon lit... Fort dommage d'ailleurs. Je grimaçai et je me débattis quand mon professeur me prit pas le coude et assez violemment. Il me tenait bien et me traînait de force. Je n'allais pas le laisser me traiter comme ça.

« Lâches moi, vas y lâches moi. Je ne te permets pas. »

Il avait sorti sa baguette mais je n'étais pas effrayée. Ce n'était pas un petit sort qui allait me faire peur... Il n'oserait pas en jeter un sur un élève car il devait rendre des comptes à la directrice. D'ailleurs il ne devait déjà pas être dans ses petits papiers s'il était un coupable possible pour le meurtre de la prof.

« Je fais ce que je veux. Je n'ai pas peur de toi, loin de là. »

De nouveau je souris et mon regard se leva vers lui. Même si j'avais eu de l'assurance tout au long de nos échanges là j'en avais encore le plus. Je m'arrêtai et je lui fis face. Le temps d'une phrase j'abandonnai l'anglais pour parler Fourchelang. Sans détourner le regard mais avec le sourire je lui dis :

«  Un jour tu craqueras et pas que pour moi... »

Il était hors de question que j'écoute ce professeur. Il était peut être un prof mais ce n'était pas pour ça que je devais écouter et faire tout ce qu'il disait... J'avais envie de faire une balade et j'avais bien l'intention de la faire avec ou sans son accord. En l’occurrence ici c'était plutôt sans son accord. J'étais un peu déçue car j'aurais souhaité le convaincre de venir avec moi. Je lâchai un petit rire puis je répondis :

«  Faire l'enfant, croyez moi vous ne voulez pas que je le fasse. »

Je repris ensuite mon sérieux et je le fixai dans les yeux pour dire ce que j'avais à dire. Je savais qu'il serait surpris de me voir utiliser une langue qui se perdait mais c'était le but. J'allais le déstabiliser et jusqu'au bout. J'étais entrain de jouer avec Seth Bloodshire. Il croyait qu'il allait gagner mais j'allais lui montrer que non.

Alors que je ne m'y attendais pas, le salaud me balança un sort et pas un très gentil. Voilà que maintenant j'étais entrain de cracher des limaces. Ce n'était pas agréable et c'était surtout douloureux. Il m'expliqua que maintenant il aurait la paix et moi une balade à l'infirmerie. Sortir des limaces de ma bouche était pas... facile. Au bout d'un moment je me laissai tomber sur mes genoux. Je ne savais pas d'où exactement ces bestioles venaient mais elles devaient sortir...

Je fermai les yeux brièvement. J'avais l'impression que la couloir autour de moi était entrain de tourner. Ce n'était pas normal ça. Quand j'ouvris de nouveau les yeux, quelques minutes plus tard, je vomissais toujours des limaces. Qu'est ce qui se passait ? Pourquoi j'étais là ? Je levai les yeux vers le professeur Blooshire tout en crachant toujours et encore des limaces. Pourquoi semblait-il se réjouir de ce sort qu'on m'avait lancé ? D'ailleurs qui m'avait lancé ce sort. Je posai mes mains sur mon estomac et je lançai un regard d'incompréhension à mon professeur. Entre deux limaces, j'arrivai à prendre la parole et je lui demande :

« Qu'est ce qui m'arrive ? »

J'aurais voulu enchaîner avec une autre question et demander qui m'avait jeté ce sortir mais une autre limace m'empêcha de parler. Je regardai tout autour de moi et je me rendis compte qu'il fait noir. Nous étions la nuit. Pourquoi j'étais dans les couloirs du château alors que la nuit était tombée ? Par Merlin, j'allais avoir des ennuis alors que je ne savais même pas comment j'étais arrivée ici... Ce n'était pas juste. En plus le professeur Bloodshire était connu pour être assez sévère dans ses punitions. J'allais passer un mauvais quart d'heure et j'allais probablement écoper d'un mois de retenue... voir plus.

« Je... Qui ? Comment ? »

J'avais opté pour juste poser des questions sans développer car les limaces m'empêchaient de parler comme je voulais. Les larmes étaient entrain de me monter aux yeux. Qu'est ce qui m'arrivait ?

Je ne savais pas du tout où j'étais et pourquoi j'étais avec mon professeur de Défense contre les forces du mal. J'étais assez paniquée même si j'essayai de vraiment garder mon calme. Qu'est ce qui était entrain de se passer ? De plus mon professeur ne semblait pas être d'excellente humeur. Je fronçai les sourcils quand il commença à se mettre dans une autre langue que je ne connaissais pas. Je fronçais les sourcils et passai mes mains sur mon crâne. C'était douloureux.

Une nouvelle fois je vomis une limace. Mais qui avait pu me jeter ce sort là? C'était vil et méchant. Je ne méritai pas qu'on me lance un sort comme celui ci. J'écarquillai les yeux quand il l'utilisa un sort de légimencie... Mais qu'est ce qu'il faisait ? Est ce qu'il avait perdu la tête ? Je ne me sentais en plus vraiment pas bien … Et puis ces limaces...

Il ne trouva probablement pas ce qu'il souhaitait car il lança une nouveau sort qui avait pour but de me soulager et il m'aida à me relever. J'allais un peu mieux mais je vomissais toujours des limaces.

« Je... Merci... »

Quelques instants plus tard nous étions enfin à l'infirmerie et mon professeur me laissa au bon soin de l'infirmier. Ce dernier me donna une bassine pour vomir toutes les limaces qui me restaient... Il fallut pratiquement deux heures pour que j'arrête de cracher des bestioles gluantes. A ce moment là, l'infirmier me donna une potion de sommeil. Il ne fallut que peu de temps pour que je tombe dans un sommeil profond et sans rêve.