La tête du sanglier, le seul endroit où Aindreas aime se retrouver quand il est dans ses mauvaises périodes. Il faut dire que ce pub n'est pas très populaire, pas très bien famé non plus. C'est donc le lieu idéal pour se retrouver seul face à lui-même. Les gens se fichent de qui se trouve ici, personne ne se soucie de personne à la tête du sanglier et c'est ce qu'aime l'irlandais. Il a donc tout le loisir de rester dans son coin à bougonner ou même à travailler sur ses projets personnels. C'est tout ce qu'il demande, qu'on le laisse tranquille.
Seulement, un jour qu'il venait ici pour s'isoler il fit la connaissance d'une jeune serveuse un peu curieuse. Enfin, c'est plutôt elle qui est venue à sa rencontre, pour lui demander ce qu'il dessinait. Bien entendu, ça ne lui a pas plus au début, Aindreas n'aime pas vraiment qu'on le dérange, c'est un peu un ermite. Seulement, elle a su le convaincre et l'irlandais c'est adouci, pour une fois. Finalement, ils se sont mit à discuter et à sympathiser. Il arrive même à Aindreas de venir juste pour discuter avec Darya, alors qu'avant il ne venait à la tête du sanglier uniquement pour s'isoler.
Cette fois, Aindreas n'avait rien d'autre à faire qu'à traîner. Il ne travaille pas, son patron l'a obligé à prendre un peu de temps pour lui, apparemment il travaille trop. Le problème c'est qu'il tourne un peu en rond. Il a eu le temps de faire son jogging matinal, de prendre une douche, enfin tout ce qu'il avait à faire en temps normal. Il n'a donc plus rien à faire et ça l'ennuie. Il décide donc d'aller faire un tour à Pré-au-lard, histoire de retrouver le petit village qui lui plaisait bien. C'est toujours agréable de voir se dessiner au loin la silhouette de Poudlard. Il se balade dans les rues, croissant plusieurs personnes, normal dans un lieu public. Il en profite pour aller faire quelques courses, s'acheter une écharpe par exemple, chose inutile pour lui, puisqu'il n'a jamais froid, mais on ne sait jamais.
Il lui reste encore du temps avant de rentrer chez lui et les trois balais on l'air totalement bondé, très peu pour lui. Il tourne les talons et préfère se trouver un autre endroit où se poser. La tête du sanglier a été une évidence. Il traverse la rue pour s'enfoncer dans une petite ruelle, où se trouve le pub. Comme on peut s'y attendre, il n'y a pas grand monde dans la salle, ce qui lui permet d'aller s'installer où il veut. Il va s'asseoir là où il s’assoit d'habitude, dans un coin pas trop crasseux et un peu lumineux quand même.
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Sujet: Re: Tavernier ! ▲ Darya Mer 18 Déc - 15:10
CROSSING FIELDS
Le levé n’eut jamais été chose facile en dix-sept années d’existence. J’eus toujours l’impression que mon cerveau ne se rechargea jamais complètement en énergie. De plus, il fit plutôt froid pour les Britanniques à ce jour tandis que pour moi, les températures restèrent plus que raisonnables. Je n’eus plus sommeil depuis quelques temps. Les murs de ma tête ne furent que de lourdes pierres et mon cerveau me donna l’impression d’être emprisonné dans l’enceinte d’une immense cathédrale. Ce fut donc cela, une perpétuelle migraine ? Je ne sus plus vraiment où me tourner pour calmer ces douleurs crâniennes. Je n’osai pas même retrouver Darkwood pour qu’elle me donne de quoi souffler. Alors je choisi de ne plus dormir. Mon moral s’en porta très bien, retrouvant ses vieilles habitudes liées au Bunker lorsqu’un enfant médisant et lâche eut pour volonté de m’attaquer pendant mes phases de somnolences. Je sus toujours me réveiller avant qu’un malheur n’arrive. Je ne perdis jamais cette habitude, étant dotée d’un sommeil extrêmement léger. Hélas pour moi, les vacances approchèrent à grand pas sous ce ciel menaçant de larguer sa première cargaison de flocons. Cela signifia pour moi une période sans répit. Entre mes révisions qui m’attendirent avec impatience et mon emploi à La Tête de Sanglier. Je n’eus jamais une joie folle à l’idée d’y travailler lors des périodes creuses de l’année scolaire. Il n’y eut pour ainsi dire jamais vraiment de clients, mais lorsque le patron s’absenta afin de prendre ses congés et qu’il me laissa le comptoir, le toit et le sol, quelques jeunes, toutes maisons confondues vinrent s’installer aux tables, me demandant gentiment des coussins pour ne pas poser leurs fessiers sur le bois des chaises crasseuses que je me donnai un mal de chien à récurer, par ailleurs. Il m’arriva régulièrement de passer des après-midis, alors que le pub fut vide, avec une brosse à dents et du dentifrice pour enlever les dégoutantes marques de je-ne-sus quelle substance dans les rebords et surfaces des chopes. Ce jour-là, le patron empoigna sa veste et ses bagages à mon arrivée, me salua et m’annonça qu’il y eut un peu de ménage et de vaisselle à faire. Nous étions un mardi de décembre, il fut environ neuf heures du matin, le jour commença à peine à poindre et j’enchainai mes journées en ayant simplement fermé les paupières quelques heures depuis plus d’une semaine. Je m’attendis à un cyclone ou une tornade s’étant abattu à l’intérieur du pub. Mes appréhensions furent presque toujours certaines et ce fut de nouveau le cas ce jour-là. Je dus même fermer la boutique à un moment de la journée pour que les clients n’assistent point à ce désastre. D’ailleurs, lorsque Aindreas O’Brady pénétra dans l’établissement, une montagne de chopes encore affreusement crasseuses se firent nettoyer par un sortilège ainsi que mes propres mains pour que tout aille plus vite, sans trop de résultat. « Bonjour, O’Brady. » Je lui adressai un sourire, un rare sourire. Comme à mon habitude, je parlais aux gens avec leur nom de famille, presque jamais avec leurs prénoms. « Il est tôt pour l’une de tes visites. Je te sers la même chose que d'habitude ? »
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Spoiler:
Je suis tellement désolée pour le retard... J'espère que ma réponse te conviendra quand même ! N'hésite pas à me dire si des choses ne te conviennent pas et sans rancunes, prend ton temps (:
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Sujet: Re: Tavernier ! ▲ Darya Ven 27 Déc - 20:01
Tavernier ! Darya & Aindreas
Souvent on lui avait dit qu'il était fou de se rendre dans ce pub miteux. Et c'est vrai que pour être miteux, il l'était. On ne voyait même plus à travers les pauvres petites fenêtres qu'il pouvait y avoir de-ci, de-là, à travers les verres non plus d'ailleurs, mais il s'en fichait un peu. Il aimait sa tranquillité et l'avantage avec la tête du sanglier c'était que personne n'osait s'y aventurer. Donc il n'y avait jamais personne, à part parfois quelques sorciers ou sorcières qui comme lui n'avaient pas envie d'être déranger. Un point commun qui l'arrangeait fort bien. Et ce n'était pas du genre de l'Irlandais d'aller poser des questions. Voilà pourquoi il n'avait pas voulu être aurors, il les trouvait bien trop indiscrets et ça avait tendance à lui taper sur les nerfs.
Et puis la tête de sanglier ce n'était pas si mal que ça, tant qu'on faisait fit de l'hygiène. Il pouvait travailler tranquillement dans son coin sans qu'on vienne le déranger, enfin si une seule personne osait le déranger, une petite serveuse au visage d'ange, qui faisait un peu tâche dans le décor, Darya. Ils avaient sympathisé un jour où Aindreas avait un peu trop bu, c'est qu'il devient un peu plus bavard l'Irlandais quand il a un coup dans le nez. Ils se sont rendus compte qu'ils avaient plusieurs points commun, comme celui de faire partie des érudits serdaigles. Depuis ce jour-là, il n'était pas rare de voir ces deux-là discuter ensemble. Enfin c'était plus Darya qui avait tendance à venir discuter avec le jeune homme. La plupart du temps il ronchonnait au début, plus pour la forme qu'autre chose. Mais finalement il se pliait volontiers à la conversation. Après tout ça lui changeait les idées, il ne pouvait pas toujours avoir l'esprit au travail, ça risquait de le rendre fou.
« Bonjour Moïsseïva » il tourna la tête vers elle alors qu'elle lui fit remarquer qu'il était un peu tôt pour le voir dans le pub. Il se contenta de hausser les épaules. « Je peux revenir dans une heure si tu veux. » il n'avait aucunement l'intention de quitter l'endroit comme ça, bien entendu, mais c'était ça façon à lui de déconner, il fallait juste savoir le décoder. « Comme d'habitude, s'il te plaît » le whisky il n'y avait que ça de vrai. Rien de tel pour se vider l'esprit et se détendre un peu. De plus, Aindreas avait la chance de bien tenir l'alcool, peut-être parce qu'avec son cousin ils avaient commencé à boire le whisky irlandais très tôt. Si on tient l'alcool irlandais, on peut les tenir tous. Finalement, il décida de porter attention à ce que faisait la jeune femme « Tu t'entête toujours à vouloir nettoyer cet endroit ? »
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Sujet: Re: Tavernier ! ▲ Darya Lun 10 Fév - 22:49
Le froid qui s’engouffra dans la taverne et le son de la voix de Aindreas O’Brady s’allièrent en chœur. « Nous sommes ouvert, tu peux venir quand bon te semble, O’Brady. Mon patron est juste une pauvre tâche aussi crasseuse que les carreaux de sa taverne, se reposant sur le dos de son unique employée quasiment surnommable Cendrillon. Allier ménage et services devient plutôt enlisant. Heureusement que ce pub est peu fréquenté. » Je n’eus pas le temps de le regarder dans les yeux pendant cette longue tirade, mais le jeune homme eut certainement compris que j’eus été suffisamment agacée devant tant de travail. Hélas pour moi, il m’eut été impossible de rendre mon tablier. D’une, parce que je me le refusai, trouvant cet emploi beaucoup plus accessible et simple que d’autres choses qui ne me firent guère envie comme donner des heures de cours spécialisées aux nouvelles recrues de Poudlard. Et de deux, parce que je ne pus me permettre de rester ne serait-ce qu’une semaine sans emploi. J’eus besoin de renflouer mes coffres car à l’inverse de bon nombre de mes camarades, personne ne put me venir en aide et bien entendu, jamais l’idée d’envoyer un charmant petit hibou demandant de l’argent noir sur blanc au Bunker ne me traversa l’esprit. Jamais je n’aurais besoin d’eux. Jamais. À la demande du jeune homme, je lui servis un whisky dans un verre que j’examinai attentivement avant de verser la moindre goûte à l’intérieur. Une pile de verres relativement propres fut entassée près de moi. On crut presque que même l’atmosphère de La Tête de Sanglier fut pleine de crasse, de graisse, de poussière et de boue. Parfois, je me surpris à prier pour que ma vaisselle tout juste propre ne finisse pas soudainement couverte d’une nouvelle couche dégoûtante d’on-ne-sut-quelle substance. Néanmoins, je sus que sitôt mon affaire terminée pour trois jours ainsi que mon salaire empoché, je pus être certaine de retrouver ce maudit pub sens-dessus, dessous. Je relevai les yeux vers le jeune homme suite à sa dernière question, dite toujours sur le même ton employé au début. « Toujours. J’apprécierais grandement que les gens cessent de venir avec leur propre verre ici. Je me sens insultée. » Je marquai un temps. Une minute pour relâcher mon éponge, me faire craquer les os du cou ainsi que ceux du dos en m’appuyant contre le plan de travail situé derrière. « …Je ne devrais pas me sentir visée. Mais j’aimerais que cet endroit change son image avant tout liée à son hygiène. Autrement, ce lieu est presque parfait. Il n’y a jamais de monde, aucun cris et les clients louches ont l’air d’avoir débarrassé le plancher. » Je ne sous-entendis absolument pas que je les y eus aidé, mais Aindreas dû surement s’en douter. Je me faufilai au-devant de mon comptoir avec une éponge en maille dure et un savon décapant pour frotter de toutes mes forces sur un tabouret. J’essuyai ensuite mon œuvre. « À toi l’honneur. » Fis-je en faisant signe au jeune adulte de s’asseoir. « Comment vas-tu en ce moment ? » En posant ma question, je retournai à ma tâche. Ce fut bien le cas de le dire…
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Sujet: Re: Tavernier ! ▲ Darya Lun 17 Fév - 21:38
Darya râle sur son patron et sa drôle de façon de s'occuper de son affaire. C'est vrai qu'il s'est toujours demandé pourquoi le propriétaire laissé son pub crouler sous la crasse. Il peut comprendre qu'il ne soit pas très doué en sortilège de nettoyage, mais quand même il y a des limites. L'irlandais a fini par en conclure que c'était un concept. Comme les fanfreluches chez madame piedodu, ici c'est la crasse. Chacun son truc, mais apparemment les froufrous fonctionne mieux, niveau marketing. Quand elle lui parle de Cendrillon il tique. Il a un peu de mal avec les contes moldus, mais celui-là on lui en a déjà parlé. Cendrillon, si ses souvenirs sont bons, c'est une fille qui passait son temps à faire le ménage jusqu'à ce qu'elle fugue en citrouille. Les moldus ont vraiment des attitudes bizarres. « T'aimes les citrouilles ? » demande-t-il le plus naturellement du monde « Puis il n'est pas si mal que ça ce pub, si ? » lui, l'aime plutôt ce coin calme et il a apprit à marcher là où la crasse n'est pas. Mais c'est vrai que c'est un peu mieux depuis que Darya est ici, Même si parfois, il se demande si la saleté de ce bar n'est pas vivant, car il la voit trimer à chaque fois qu'il passe par-là et pourtant rien y fait, le pub à toujours cet air miteux.
Toutefois, ses réflexions fut interrompus par l'arrivée de son bon vieux whisky, il remercie la jeune femme d'un signe de tête. Il en boit une gorgé avant de venir retourner les poches de son pantalon « Comme tu vois, j'aime vivre dangereusement et boire dans tes beaux verres » dit-il avant de lâcher un petit rire. Ramener son verre dans un bar, c'est un peu comme ramener sa propre nourriture dans un restaurant, c'est ridicule. Elle lui explique à quel point la saleté du lieu l'exaspère. Il peut la comprendre. Il regarde autour de lui et hausse les épaules « Je pensais que la saleté ça faisait partie du charme de l'endroit. » il s'assoit sur le tabouret qu'elle lui à nettoyer et s'amuse à faire tourner le liquide ambré dans son verre alors qu'elle lui demande comment il va. Pourquoi tout le monde s'entête à lui poser la question. « Oh tu sais, le travail me prend tout mon temps je n'ai pas vraiment l'occasion de faire autre chose et toi, à part trimer comme Cendrillon ?»
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Sujet: Re: Tavernier ! ▲ Darya Sam 1 Mar - 10:45
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Un petit message qui arrive par hibou pour Aindreas O'Brady via l'animation Cupidon
Aindreas,
Je ne suis pas sûre qu'un Cupidon viendra me tendre la main, aussi si tu lis ces lignes c'est que finalement je dois avoir un peu de chance malgré tout. Je ne sais pas très bien qui tu es, ni si je t'ai particulièrement agacé la seule fois où l'on s'est rencontrés. Ce que je sais tout de même, c'est que depuis ces quelques mots échangés, si insignifiants, j'ai l'impression de me sentir bien mieux. Plus vivante. Les gens pourront appeler ça comme ils le veulent, moi je veux croire que de ta simple présence tu fais rayonner les gens. Ça a été le cas pour moi, alors en ce jour de St-Valentin je voudrais juste te dire... Merci. Merci d'avoir croisé mon chemin et de t'être arrêté pour une fille comme moi
« Le paradoxe veut que j’en ai une sainte horreur. » Répondis-je à sa question au sujet des citrouilles. Je connus peu Aindreas O’Brady, mais je dus avouer que ce personnage me mis souvent en confiance malgré l’allure d’homme réservé qu’il renvoya aux yeux de tous. Cela lui donna également l’air froid et inapprivoisable. Je ne pus moi-même le cacher, même si sa personnalité m’eut rapidement intriguée la première fois que je lui adressai la parole. Il m’eut fallu trouver un élément qui me fasse tiquer pour que des mots s’additionnant pour former des phrases sortent de ma bouche sans que je ne les y autorise. C’est ainsi que nous eûmes légèrement appris à nous connaître et même si cela ne data pas de plusieurs décennies, il m’arriva de mélanger deux mondes dans nos dialogues. Ainsi, j’eus fait une référence à Cendrillon sans m’apercevoir que je parlai d’un conte typiquement moldu. Un mauvais pressentiment renversa alors mes pensées du moment pour s’orienter vers d’autres. Allait-il me verser son verre à la figure en me blâmant le mauvais sang circulant dans mes veines ? Un apriori ridicule, soit dit en passant, puisque je fus sang pur malgré moi. Non. Si cet homme eut été un dangereux sadique peint de noir à l’intérieur, il se serait simplement volatilisé au moment où j’eus tourné mon dos. Le mal être pesant en mon enveloppe, mais imperceptible aux devants se dissipa en quelques secondes alors que O’Brady ne fit absolument rien de nauséabonde vis-à-vis de ma référence. Au contraire, il ne fit rien et reporta son regard sur moi de la même manière qu’il l’eut toujours fait. Naturellement, je répondis à son autre question. « J’admets que cet endroit a le mérite d’être bien plus vivable qu’il n’en n’a l’air grâce à la désertion de toute espèce humaine. Faut-il être suicidaire pour décider d’aller boire un verre aux Trois Balais par les temps qui courent. » Croyant revoir une nouvelle pellicule de crasse sur mon comptoir, je ressorti mon chiffon afin de nettoyer de nouveau la surface et je repris la parole pendant ce temps. « Tu n’aimerais pas être mon agent de sécurité ? Tu te mettras à l’entrée et selon ton humeur, tu auras le droit de mettre des coups de pieds aux fesses comme bon te semble. » Je lui adressai un sourire en coin venant s’ajouter à toute l’ironie de la deuxième partie de ma phrase. « Tout à fait. Cette crasse n’apparaît même plus en surface, elle s’est même incrustée dans les meubles. » Dis-je en m’acharnant sur la tâche faisant en réalité bel et bien partie du mobilier. Je m’arrêtai alors pour le regarder dans les yeux au moment de sa dernière question. « Mince. Tu ne pourras donc pas botter des fesses pour me rendre service. Dommage ! Moi ? Hum. Je pense que tout va bien, pour dire vrai. J’ai réussi mes examens, le dortoir de Serdaigle restera un éternel bon souvenir… » Un éternel bon souvenir de nuits blanches, de cauchemars affreux en noir et blanc, de froid et de solitude mortelle. L’éternel mauvais souvenir des cicatrices de l’enfance qui furent gravées dans mon dos, en vérité.