Un ami est celui qui vous laisse l'entière liberté d'être vous-même.

La fin de journée était vite passé, je changer de salle toute les heures, passant dans la foule des couloirs pour ensuite m’assoir derrière un bureau, j’étais une bonne élève évidemment mais le cours que je préféré depuis ma première année, était le cour de divination. En effet ma famille avait un don pour ce domaine, et étant la petite fille de personnes qui avait reçu le don de voyance, j’avais un certain goût pour cette matière. C’était ma dernière heure, avec soulagement je sortis de la salle de cour, mon sac en bandoulière passer sur mon épaule, je me laisser aller dans les escaliers de la tour emporter par le flux d’élève, pour finalement réussir à sortir du château après quelque minutes de bousculade. J’étais toute frêle, mais j’arriver à faire face au vague importante de la circulation, on se serait crus à Londres, en pleine heure de pointe, un vrais enfer.

Je regardais ma montre, 16 heure, j’avais donc le temps de faire une petite pause, je l’avais bien mérité, après avoir fait une bonne journée je voulais toujours être tranquille près du lac à lire mon livre. Mais souvent j’étais perturbé par l’arriver de mon meilleur ami, Clark, il me connait assez pour savoir ou je me trouve lorsque j’ai du temps à perdre. Pourtant, lorsque j’arrive à l’endroit ou je me pose d’habitude, le bellâtre était déjà présent, c’était rare et assez étrange qu’il soit là, ce n’était pas dans ses habitudes sauf lorsqu’il se sentait mal et avais quelques choses à me dire ou lorsqu’il voulait me voir. Je m’approché alors de lui, doucement, le vent c’était levé, une légère brise se glissa dans mes cheveux ondulé pour les faire virevolter autour de mon doux visage, d’un geste délicat je replace mes mèches de cheveux derrière mon oreille, et arrive près du brun, glissant une douce main sur son épaule, la serrant tendrement en signe d’affection, «  Clark… ça ne va pas ? » Demandai-je en m’asseyant finalement près de lui, avec délicatesse, je passe mon bras autour du sien, puis me penche lui embrasser la joue et déposer la mienne sur son épaule. « Je n’aime pas te voir ici avant moi, c’est mauvais signe et sa me bousille le moral, tu sais » murmurai-je en levant mon regard de biche sur son visage. Il était un de mes premier ami ici, il était en seconde année alors que j’étais la petite nouvelle, et étrangement j’avais réussi à lui adresse la parole après l’avoir croisé dans un des couloirs l’air triste, d’une nature curieuse et compatissante j’avais pris mon courage et j’ai était lui parler depuis nous étions pratiquement inséparable, il était si amusant et gentil avec moi. Je pouvais être celle que je voulais en sa présence, il savait être là pour moi quand ça aller mal et j’étais là pour lui aussi j’avais besoin de lui souvent. A ce moment précis, c’était lui qui avait besoin de moi…

BY .TITANIUMWAY

Un ami est celui qui vous laisse l'entière liberté d'être vous-même.

Il avait l’air beaucoup trop perturbé à ce moment précis, j’avais tendance à m’inquiété pour rien c’est vrais, mais je le voyais, il aller mal et le sentir dans cette état me m’étais mal aussi. Il était mon ami depuis 6 ans, ce que je ressentais pour lui était trop fort pour que je puisse le laisser comme sa, même si au fond je ne pouvais pas faire grand-chose, juste être présente pour lui, je me sentais impuissante et je détester cette sensation.

« Je t’ai dis milles fois de ne pas t’inquiéter pour moi. J’ai juste un peu de mal en ce moment trop de trucs me tombe sur la tête. »

Me dit-il, alors qu’il ne m’avait pas encore regardé et le fait qu’il soit distant avec moi me rendais encore plus inquiète, je soupir alors doucement en me redressant légèrement relâchant son bras, puisqu’il n’avait pas réagis à mon étreinte, je plie mes jambes de façon à les coller contre ma poitrine et passer mes bras frêle autour de celle-ci.

« Tu devrais me connaitre maintenant, je m’inquiète toujours Clark. C’est comme sa, alors parle moi s’il te plait, je vais me sentir mal si je m’en vais sans savoir ce qui se passe… »

Dit-je en me mordant la lèvre inférieur, un tic que j’avais pris depuis longtemps, j’avais toujours l’habitude de jouer avec ma lèvre lorsque j’étais confuse et mal à l’aise ou quand j’avais cette inquiétude qui ce former dans le creux de mon ventre. Il était toujours prévenant avec moi, depuis notre rencontre il c’était montré gentil et voulait pas me mettre dans des situations dangereuse ou même qui pouvait me faire souffrir, je devais toujours me battre pour qu’il crache le morceau, la plus part du temps il ne tenait pas longtemps devant ma bouille d’ange comme il l’appeler. Il avait raison, j’utilisé souvent mon charme et des mimiques pour lui faire cracher ce qui le tourmenté.

« Tu à encore fait une connerie ? Je t’ai déjà dit t’arrêter Maclane, tu va vraiment te faire renvoyer et je serais toute seule, t’imagine ? Je me ferais harceler par des méchants Serpentard avec personne pour me défendre ! »

Ajoutai-je en faisant une petite moue avec mes lèvres, mimique qui le faisais craquer, un fin sourire s’étire sur mes douce lippes. Oui, je voulais le faire sourire, il était si beau lorsque son visage avais un éclat de bonheur, ses pommette creuse et son regard étincelant. Je me balance légèrement vers lui pour le pousser, un mouvement délicat pour le faire penser à autre chose et le taquiner un peu.

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Je le regarde en souriant doucement j’étais un peu rassuré de savoir qu’il n’avait rien fait de mal cette fois-ci la plus du temps il se fourré dans de mauvaise situations, son côté badboy ressortant il ne respecter plus les réglés et ne faisait qu’à sa tête. J’étais contente que Amy son autre meilleure amie sois aussi là pour le garder sur le droit chemin, puisqu’une personne comme moi ne pouvais pas toujours l’aider à rester correcte. Restant à côté de lui, je l’observe attentivement il avait enfin sourit en me voyant aussi mère poule et inquiète c’est vrais que je l’étais souvent mais j’avais de bonne raison, j’avais peur pour lui et c’était un de mes rare amis à qui je tenais beaucoup si jamais il lui arriver quelque chose je ne sais pas comment je réagirais rien que d’y penser me faisais mal et me faisais peur. Je ne m’attacher très rare au gens mais avec Clark c’étais une longue histoire et j’avais tout de suite accroché, son regard et ses sourires charmeur avais eu raison de moi et j’étais évidemment tombé sous le charme, en tout amitié bien sur. Il est un grand frère pour moi, je le protège et il me protège comme si c’était quelque chose de normal, les meilleurs ami font sa entre eux ils s’entraident et se soutienne peut importe ce qui ce passe rien ne peux les séparés.

« Bien sûr que je te connais, toujours aussi mère poule, mais c'est ce que je préfère chez toi et tu le sais.»

« Je te tape sur le système c’est sa ? Dit le moi et je te laisse tranquille tu le sais bien ! C’est juste que je m’inquiète trop pour n’importe quoi Clark, je devrais arrêter je sais…»

Je soupirs doucement, c’est vrai que je devrais arrêter d’être trop inquiète à chaque fois qu’il loupe un cours ou même n’importe quoi d’autre mais c’est toujours plus fort que moi, quand il va mal moi aussi. Je le relâche lentement, et me mord la lèvre inférieure.

« Rassure toi, je n'ai pas encore fais de bêtises … j'ai appris juste des choses sur moi cet été et ce n'est pas vraiment pour me faire plaisir.»

« Qu’est-ce que tu à appris ? Rien de grave ? »

Je me tourne vers lui, il n’avais rien dit de plus. C’était trop méchant de faire sa, me dire une chose pareil pour que je m’inquiète et devienne folle il y avait que lui pour me faire un coup pareil hein. En plus de cela il n’avais pas l’air d’avoir envie d’en parler, mais si je partais maintenant cette histoire aller me trotté dans la tête très longtemps et je n’arriverais même pas à dormir, moi et les secrets sa faisais deux et je préfère savoir que de rester sans réponses j’étais toujours comme sa et sa me ronge beaucoup puisque j’avais toujours des questions sans réponses.

« Tu n’a pas l’air de vouloir en parler Clark mais je suis là d’accord, je t’écouterais sans te juger. »

Oui, je ne le jugerais jamais peut importe ce qui ce passe il resterait mon ami, le meilleur de tous. Et même si il ne voulait pas m’en parler maintenant il le ferait et j’attendrais, je ne pouvais pas le forcer à m’avouer ce qui se passer et ce qu’il avait appris durant cet été, il avait besoin de temps apparemment et si il était ici, seul c’est qu’il voulait réfléchir et être avec ses pensés.

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