Sujet: Dangereuse liaison [PV Gaël] Dim 20 Oct - 22:24
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Gaël & Emrys
Dangereuse liaison
Ta salle de classe : Ton domaine, Emrys. Tu aimes la sensation de pouvoir que tu y a. Tu y étend ton aura telle une toile araignée, tu les captures, les captives. Tu aime se pouvoir, ce talents que tu as toujours eut d'envoûter les foules. Il y a ce regard, ce regard plus bleu que les autres, cette bouche plus charnue, ce visage plus fin. Ce visage qui te renvois aux réminiscences de ton passé.
Ce jour là, Emrys avait cours avec ses septièmes année. Elle espérait qu'ils seraient tous moins abruti que la semaine précédente. Devant son miroire, elle s'admirait avant de se rendre dans les cachots. Son ensemble était signé Westwood. Une marque moldus, mais cette bonne femme avait tout comprit. Une chemise de soie bance, un blazer cintré qui mettait en évidence sa taille de guêpe et sa poitrine parfaite, une jupe crayon moulante lui arrivant au genou, soulignant la pureté de ses formes, et une paire de haut talonts. Son visage était peu maquillé, elle avait une peau parfaite et naturellement pâle, juste un peu de mascara pour souligner la longueur de ses cils et du rouge à lèvre. Elle avait l'air puissante et dangereuse, on pouvait penser qu'elle allait conquérir le monde. Un image de roc, et personne ne voit les fêlures. Qui les verrait ? Elle qui ne montrait rien.... sauf ce jour là... il y a quelque jours en arrière quand Victor est arrivé. Ce fut douloureux. Pas tant pour la marque qui lui a faite au cou en l'empoignant, mais surtout pour ce qu'il lui avait dit, les reproche, la distance. Elle avait douter, à quoi bon sauver un navire qui prend l'eau ? Mais elle savait. Elle savait qu'elle ne renoncerait pas si facilement. Elle se battrait, comme toujours, jusqu'au bout. Qu'est ce que cette boule au creux de son ventre alors ? La peur. Celle de tout gâcher encore, de ne pas savoir y faire. Emrys est une jeune femme brillante, mais dans le domaine affectif c'est autre chose. Elle n'y comprend rien et ne sait jamais quoi faire. Secoua sa tête elle quitta ses appartement pour son empire : les cachots. Les élèves étaient déjà tous installé et le silence régna dès qu'elle rentra dans la salle où l'on ne pouvait entendre que le son de ses talons. Elle fit son cours, traita certain de crétins, d'autre d'abruti, tapa du poings sur la table. Sans le vouloir, son regard glissait régulièrement vers lui : Gaël, cette copie presque conforme de Victor quand il avait lui aussi 17 ans. Le voir, lui renvoyait de plein fouet ses péchés, ses erreurs commise qu'elle payait aujourd'hui. Le regardant, elle croyait revoir Victor. Ils étaient toujours ensemble avant, toujours à coté pour les cours, toujours à coté l'un de l'autre dans leur vie jusqu'à ce tragique soir. Elle sera les poings. Si elle avait su, si c'était possible elle recommencerait. Mais si elle recommençait... elle ne serait peut-être plus celle qu'elle est aujourd'hui. Victor n'aurait pas tué, ils auraient passé la nuit des seize ans d'Emrys ensemble, elle aurait rompu avec son abrutit de petit ami batteur chez les serpentard, Victor n'aurait pas tué, il n'aurait pas été à Azkaban, il n'aurait pas été renié par son père, Emrys n'aurait pas sombré complètement dans la magie noir. Le cours se finit et elle passant dans les rang en annonçant les devoirs qui seraient à faire, c'est alors qu'elle sentie une mains la frôler. Elle aurait bien prit se pogner pour le briser... mais elle ne le pouvait pas. Ne le voulait pas. Il ressemblait a Victor, elle avait fait assez de mal à l'original pour ne pas vouloir pourrir son double. Voyant la classe se vider elle retourna à son bureau. Le même que feu Severus Rogue, elle devait concéder avoir bien des points commun avec lui... excepté qu'elle était aussi belle que lui avait eut un physique ingrat. La porte de la salle se referma et elle entendit des pas sur le sol. Le nez dans son parchemin où elle notait le compte rendu de ce cours et la progression de ses élèves, elle ne cilla pas et se contenta de dire : « Vous n'avez pas du travaille à faire.... Monsieur O'Connor ? » dit-elle d'une voix glaciale.
Elle leva enfin les yeux vers lui, le regard avec froideur, fier et indifférente, du moins, c'est ce qu'elle montrait car en le voyant, elle avait l'impression de revenir à ses seize ans.
Sujet: Re: Dangereuse liaison [PV Gaël] Dim 20 Oct - 23:47
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Gaël & Emrys
Dangereuse liaison
C’est dans un bruissement de cape que je fis mon habituelle entrée dans la salle de classe, les filles caquetant devant la porte du cachot s’était reculées sans que je n’aie à relever les yeux. On aurait pu croire à un serpentard, il n’en était rien. Une fois à l’intérieur de la salle, ma capuche tomba sur mes épaules, les températures dans le fond du château étaient aussi élevées que la chaleur qui émanait de notre professeur…quasiment nulles…Je sortis mes affaires, le regard froid et la mâchoire serrée et une fois ma table prête pour le cours, je sortis ma baguette et allumai les bougies de la salle ainsi que mon chaudron. Il ne fallut guère plus de 5 minutes avant qu’un bruit de pas résonne dans le couloir. Un claquement sec et annonciateur de son arrivée. Je relevai le regard pour la première fois lorsqu’elle s’installa à son bureau, nos regards ce croisèrent instantanément, aussi glacial l’un que l’autre. Un petit rictus se dessina pourtant sur mes lèvres, je ne pouvais m’empêcher de déposer mon regard sur elle, sur son corps et j’étais pourtant bien conscient que je courais à ma perte en faisant cela…elle représentait tout ce que je n’étais pas…le mal. De par la tentation qu’elle représentait ainsi que par son comportement et la réputation que trainaient derrière eux les professeurs de potions tels que Severus Rogue, le funestement célèbre mangemort. Comme à mon habitude, je me tenais droit comme un nimbus 2001 devant mon chaudron, à l’écoute mais faussement perturbateur. J’écoutais en réalité consciencieusement chacune des paroles de Mademoiselle Darkwood, avide d’en apprendre toujours davantage et ce dans tous les domaines. Alors que des chaudrons explosaient ou débordaient de part en part du cachot, un liquide noir en ébullition laissa finalement échapper quelques volutes de fumée avant de viré à l’or dans mon chaudron, ma potion était terminée. Le cours se déroula comme d’habitude, deux élèves furent envoyés à l’infirmerie, quelques-uns se firent traiter de crétins, d’autres de vieux cracmol et d’autres enfin durent s’atteler au nettoyage des chaudrons qui avaient déversé leur contenu. Lorsque le cours fut terminé, Mademoiselle Darkwood passa entre nous en nous expliquant les devoirs à rendre et le nombre de centimètres de parchemin à écrire et au moment où cette dernière passa devant moi, ma main glissa le long de sa cuisse, furtivement. Je rangeai mes affaires aussi lentement que possible puis lorsque le cachot fut enfin vide, je m’approchai du bureau alors que sa voix s’élevait, s’adressant à moi.
-Il se trouve justement que….non
Je marquai un silence aussi froid que nos regards avant de reprendre.
- J’éprouve quelques…difficultés à me concentrer durant les cours…mademoiselle.
Je fis le tour du bureau en l’effleurant du bout des doigts jusqu’à venir derrière la jeune femme. Je m’appuyai sur son bureau, un bras de chaque côté d’elle, en venant lui glisser quelques mots à l’oreille, tel un sifflement.
-Etant la cause de mon manque de concentration, je vous serai gré de bien vouloir remédier à ce problème…un vieux moldu a dit un jour que le meilleur moyen de résister à la tentation était d’y céder…
Je me faisais très direct et je risquais gros mais c’était ma façon d’être, du moins l’image qu’on avait de moi et une chose était certaine, cette femme occupait mes pensées à chacun de ses cours. La main qu’elle n’avait pas repoussé tout à l’heure m’avait donné la confirmation que j’attendais et qui m’autorisais à ce moment précis à oser l’impensable. Je glissai mes doigts dans ses cheveux pour dégager son cou avant de venir y déposer mes lèvres…de ma main droite j’avais saisi ma baguette pour la pointer sur la porte qui se ferma et se verrouilla…le prestige de la dernière année d’études…
Dis moi Emrys, n'avais tu ressenti aucune compassion en lisant l'une des biographie faite sur Severus Rogue ? Son sacrifice, son courage, sa noirceur et la lumière qu'il y a avait en lui, lui qui a aussi perdu l'être qu'il aimait et qui avait été prêt à tout pour la sauver, prêt à tout pour protéger ce qui restait d'elle. Oui... oui, ne me mens pas, je sais que tu l'as été. Tu t'es vu en lui, et tu te demande, si ton destin se doit d'être si noir, si tu te dois de suivre cette vois.
Le cours fini, elle avait espéré rester seule, c'était sans compter sur la ténacité d'un certain élève. Pourquoi ? Pourquoi le destin s'acharnait sur elle ? Elle ne comprenait pas. Il n'était qu'un gamins et elle avait un dix ans de différence avec lui. Il ne l’intéressait pas, elle savait déjà comment ça finirait, rien. Il n'y aurait rien comme avec tout ceux qu'elle avait eut entre ses cuisse. S'en était devenue mécanique, un robot., elle assouvissait un besoin, rien de plus, jamais d'affection, jamais de plaisir, seul restait une pointe de dégoût lorsqu'elle y repensait et qui ne l'empêchait pas de replonger. Il s'avançait vers elle, elle avait replongeait son nez dans son parchemin. Il lui ressemblait tellement, pourquoi fallait-il qu'un élève veuille la séduire ? N'y avait-il plus assez d'élève féminine ? Non... Il y avait autre chose, elle le savait bien, le sentait bien. Comme tout être blessé, comme chaque personne qui a besoin de dissimuler, on porte un masque, on se voile a face en espérant faire illusion. Désabusé, Emrys savait porter son regard objectif et lucide sur les choses, les événements, les personnes. Il l’effleurait, espérait-il vraiment la troubler ? Elle ne frissonna pas, toujours entrain de rédiger son rapport, elle l'y apposa le pont finale. Elle de avait se concentrer, imaginer que c'était Victor. Comment l'imaginer quand il était dans les mus même de Poudlard ? Comment pouvait-elle continuer de coucher avec deux professeurs alors qu'il était là ? Comment pouvait-elle laisser un élève la toucher alors qu'il était là ? Un élève... sérieusement ? Elle secoua la tête. Comment un gamin pouvait espérait l'avoir ? Il était juste derrière elle, elle pouvait sentir son odeur chaude dans cette sale glaciale et humide. Elle ferma les yeux, tentant d'imaginer que s'était Victor derrière elle. Elle se laissa faire, elle le laissa balayer ses boucles brune, déposer un baiser sur sa chair tendre et blanche, refermant d'un coup de baguette la porte de la salle. Non rien, elle ne ressentait rien. Comme si rien ne pouvait raviver son cœur mort. Elle soupira, relevant sa tête et tournant son visage vers lui. « Il s’appelait Oscar Wilde et n'était pas si vieux puisqu'il est mort à l'âge de 54 ans à paris le 30 novembre 1900. »
Sa voix était atone, sans le moindre sentiment, mais elle voyait ses yeux. Ses yeux bleus en amande... les même yeux que Victor. Elle détourna son regard et se leva de son bureau, se questionnant. Devait-elle l'envoyer valser, ou s'amuser ? Elle ne le savait. Elle se tourna vers lui, le dardant de son regard sombre et glacial. C'était qu'un gamin, il ne méritait pas ça.
« Le fait que je n'ai rien dis pour votre mains baladeuse était d'une part dû à l’indifférence, d'autre part si j'avais réagit s'eut été en vous brisant le poignet et je n'ai pas très envie de passer pour une tortionnaire outre mesure. »
Vrai et faux. Plus de vrai que de faux, et un faux plus que vrai. Emrys non contente d'être sublime était aussi charismatique. Elle s'approcha lentement de lui, de loin on aurait dis Victor et, pendant une micro seconde, son regard s'était troublée.
« Vous n'auriez pas envie d'avantage de jouer avec des jeune de votre âge ? » dit-elle avec un sourire mi-sadique, mi-malicieux.
Mademoiselle Darkwood faisait de la résistance, j’aimais cela dans une certaine mesure. Elle me reprit quant à Oscar Wilde ce qui eut pour effet de dessiner un léger rictus sur mes lèvres.
- Mais cet homme est mort il y a plus de 160 ans, nous pouvons donc sans trop nous fourvoyer admettre qu’il s’agit d’un vieil homme non ?
La jeune femme s’était levée pour prendre un peu de distance et ceci avant de me refaire face. Elle adopta son air hautain pour m’informer de ce qu’elle avait envisagé de me faire lorsque ma main avait effleuré sa cuisse.
- Votre fonction vous l’interdit, mais vous n’êtes pas le genre de femme à qui on dit ce qu’elle ose faire ou non…je me trompe ?
Un silence s’installa avant que j’ajoute quelques mots.
- Ma vie sexuelle vous remercie d’avoir eu la bonté d’épargner mon poignet
Je ponctuai ma phrase par un clin d’œil humoristique avant de reprendre mon air sérieux, comme si je m’étais moqué d’elle un court instant ce qui n’était en réalité qu’une touche d’humour pour tenter de la détendre. La jeune femme se rapprocha de moi lentement, me demandant alors si je n’avais pas plus envie de jouer avec des jeunes de mon âge plutôt qu’avec elle.
- Aucun intérêt non…
Je la laissai s’approcher puis je parcouru le peu de centimètres qui nous séparaient encore, sans quitter ses yeux. Mes doigts vinrent effleurer sa joue puis ses lèvres avant de descendre sur sa taille.
- Ne me considérez pas comme un enfant…l’année prochaine je serai bien loin d’ici, presque Aurore…je ne suis pas le gamin que vous imaginez…
Je fis à nouveau le tour de la jeune femme pour me placer derrière elle et déposer mes deux mains sur ses hanches alors que mes lèvres venaient mordiller sa nuque sensuellement.
- Ne réfléchissez pas, mademoiselle Darkwood…vous et moi jouons dans la même catégorie…
Mes mains se firent plus téméraires et remontèrent sur son ventre sous son chemisier.
- La maturité, voilà ce qui manque aux jeune de mon âge…vous êtes une femme très attirante, laissez-moi vous montrer un jeu qui ne se pratique qu’entre adultes
Mes mains lui retirèrent sa veste avant de revenir caresser ses hanches, et sa taille, l’envie était là, ca toujours, mais j’avais, comme avec chaque femme, ce besoin d’un geste, d’un signe m’autorisant à continuer…l’une de mes mains vint se perdre le long de sa cuisse, d’abord sur le tissu puis sur sa peau avant de revenir, je la désirais, c’était désormais une évidence pour moi.
Sujet: Re: Dangereuse liaison [PV Gaël] Mar 22 Oct - 0:03
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Gaël & Emrys
Dangereuse liaison
Ne te sens-tu pas un peu misérable Emrys ? Sincèrement... Un élève ! N'as tu pas l'impression de tomber bien bas ? Non, pas vraiment, ce que tu veux, tu le prends. Revoir Victor t'a blessée, bouleversée plus que tu ne l'avais prévu, tu avais besoin de te défouler, d'oublier, et quoi de mieux que les plaisirs charnel pour se vider la tête ? Plaisir, c'est si vite dis toi qui est si mécanique, qui ôte son charme à toute chose... l'as tu seulement un jour ressenti ? Non, car tu t'es fermée aux émotions, sentiment et tout ce qui pourrait t'en provoquer.
Ils étaient seuls dans cette salle, Emrys y étendait son aura dangereuse et terrifiante. Il n'était qu'un gosse en fasse d'elle, sa remarque sur Oscar Wilde le confirmer. Si réducteur. C'est parce qu'on a tendance à minimiser les temps ancien qu'on se sent terrifier quand ils reviennent en force. Emrys sourit, cela sera en sa faveur. Il fait de l'humour, elle l'en trouve pathétique. Il crois avoir la maîtrise de la situation alors qu'en vérité, c'était elle, elle pouvait faire ce qu'elle voulait, le détruire, le torturer, succomber. Le choix était sien. Il avait toute la beauté et l'insolence de sa jeunesse, Emrys se revoyait. Elle aussi avait toujours été sublime et bien qu'étant nulle dans les relation sociale elle avait toujours attiré les garçon et s'y était divertis dans leur bras, ce qui la ramena au constat qu'elle était aller avec tout, sauf celui qu'elle aimait. Revenant vers lui, il parcouru le peu de distance qui les séparait, caressant sa joue. Elle posa sur lui un regard interloqué, elle n'était pas coutumière de ce genre de geste, la douceur, elle n'en n'avait jamais eut, et ça n'avait jamais vraiment manqué à se tempérament volcanique mais ça l'interloqué. La situation semblait complètement surréaliste. Ne pas le considérer comme un enfants, comment pouvait-elle le voir autrement ? Il avait dix-sept ans et elle en ferait vingt-neuf en décembre... Il avait un visage parfait, des yeux clair dans lesquels elle se perdait, Un enfant... et pas tant que ça en même temps... Un enfant n'as pas un corps aussi développé que le siens et ne possède pas encore ce regard indécent qu'un homme peut poser sur une femme. Elle voulait arrêter de raisonner, faire comme à son habitude, profiter et oublier. Il fit le tour d'elle, elle restait immobile, impassible. Elle sentit ses mains sur ses hanche, ses mains qui lui avait ôter sa veste, elle en frissonna. Ce qui lui plaisait dans ces jeux là, c'était justement le fait qu'ils étaient deux. Ne pas connaître la réaction de l'autre, ne pas savoir ce qu'il va faire... accueillir chaque chose comme une surprise. Elle trouvait ça excitant. Il la trouvait attirante, elle le savait, elle avait toujours conscience de son pouvoir sur les hommes, elle ferma les yeux. Elle devait faire un choix... mais avant-tout il était bon de fixer les règles. Avec lenteur, elle se tourna vers lui, un léger sourire sadique au lèvres, elle caressa les visage de Gaël, on pouvait presque y sentir de la tendresse, elle le trouvait beau. Ca lui suffisait. Faisant descendre sa main fine le long de son torse, elle le poussa lentement jusqu'à ce qu'il soit contre le mur. Elle sourit, frôlant ses lèvres des siennes avec douceur sans jamais les presser, elle alla lui mordre avec douceur la peau de son cou. « Tu crois vraiment que je ne connais pas déjà ce jeu ? », dit-elle amusée.
Dans un sourire, elle déchira la chemise de Gaël, non, elle n'était pas très délicate, elle était brusque et dangereuse. Elle releva son visage vers le sien, puis baissa les yeux sur les dégâts, la chemise abîmée dévoilait la musculature de l'élève, des muscles bien dessiné, parfaitement même. Emrys faisait du dessin elle connaissait le sens des proportion et son regard de connaisseuse se régala de la vu tout en étant un peu troublée. Pressant son corps de femme contre le sien elle alla l'embrasser à al commissure de ses lèvres sans pour autant lui livrer les siennes puis s'éloigna de quelque pas. « Tu veux aller plus loin ? D'accord, mais ce sont mes règles. Discrétion, et pas d'attachement. Tu sors un mots sur ce qui se passe, juste un.... crois moi tu le payera plus cher que ta vie. »
Son regard se fit sombre, son aura noir. Emrys ne plaisantait pas. C'était ses condition ou rien.
Sujet: Re: Dangereuse liaison [PV Gaël] Ven 25 Oct - 0:40
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Gaël & Emrys
Dangereuse liaison
La situation était particulière mais plaisante pour moi, la jeune femme était attirante, très sexy et l’air dangereux qu’elle aimait se donner la rendait encore plus désirable. Après lui avoir retiré sa veste, j’avais déposé mes mains sur ses hanches, appréciant ses courbes avant qu’elle ne se retourne pour me pousser contre le mur. Elle s’approcha de moi, caressant mon torse de sa main délicate avant de venir déposer ses lèvres au coin des miennes.
- Bien sûr que tu le connais et c’est pour ca que ca sera encore plus…amusant !
Avant que je n’aie le temps d’ajouter quoique ce soit, Emrys déchira radicalement ma chemise, la faisant tomber en lambeaux sur le sol, dévoilant mon torse et mes tatouages. La jeune femme se pressa contre moi avant de se reculer pour me confier ses règles du jeu. Aucun sentiment, aucune attache et un silence de plomb.
- Rassure toi, ce n’est pas ton sens inné de la communication qui m’attire chez toi.
Je l’attirai contre moi pour prendre possession de ses lèvres, mes mains quant à elles se posèrent à nouveau sur ses hanches durant quelques secondes puis une idée me traversa l’esprit. Remontant mes mains, je saisis alors le col de son haut pour le déchirer comme elle venait de le faire avec ma chemise. Je pouvais désormais sentir sa peau contre la mienne, sa poitrine contre mon torse alors que mes lèvres descendaient dans son cou pour mordiller sensuellement sa peau. Mes mains se posèrent sur sa taille que je caressai, je n’avais qu’une envie, arrêter de parler et simplement profiter d’un peu de bon temps, prendre notre pied sans jamais reparler de ca ensuite.
- J'ai en effet envie d'aller plus loin et je propose moins de blabla et plus d'action.
Sans lui laisser plus de temps pour répondre, je la soulevai pour l'emmener sur son bureau, descendant mes lèvres sur sa poitrine généreuse.