AMARYLLIS ♔ I got the eye of the tiger, a fighter.

Amaryllis Silene Anderson

NOM(S): Anderson, un nom bien connu dans le monde magique pour son ascendance pure. Pourtant, il n'en reste pas moins quelque peu terni. Tout du moins, la branche à laquelle appartient la jeune fille est désespérément vide en dehors de sa petite personne puisqu'elle a eu la malheur de perdre ses parents avant d'entrer à Poudlard et qu'elle n'a jamais été autre chose qu'enfant unique.

PRÉNOM(S): Il est primordiale que vous sachiez que la mère de la jeune femme était une botaniste de profession. Amoureuse des plantes, elle donna à sa fille unique deux prénoms venant de ce milieu. Heureusement pour elle, il ne s'agit pas de Jonquille, Rose ou encore Pétunia. Au contraire, la belle adolescente porte en premier lieu le prénom d'Amaryllis, un choix qu'elle affectionne tout particulièrement par son originalité et sa résonance. Le second n,est autre que Silene. Bien que plus simple et conventionnel que le premier, il sonne à ses oreilles comme une douce musique.

AGE: Présentement âgé de seize printemps. Autant dire qu'elle est dans la fleur de la jeunesse.

LIEU DE NAISSANCE: Comme tout petit sorcier qui se respecte, Amaryllis à vu le jour à Sainte-Mangouste, l'hôpital magique. Autant pour elle puisque personne dans sa famille n'avait les compétences requises pour mettre un enfant au monde.

STATUT CIVIL: D'une nature provocatrice, manipulatrice et passablement agaçante, Amaryllis est carrément célibataire et ce depuis toujours. À vrai dire, la jeune femme se croit trop bien pour tous les gars de Poudlard. À l'entendre parler, ils ont tous un grand bol d'air à la place du cerveau et puis la majorité d'entre eux sont trop impur à l'avis de la sorcière.

ANNÉE D'ETUDE: Amaryllis est actuellement en sixième année, soit une année décisive à ses yeux puisque c'est le moment où elle devra faire un choix de carrière. Un choix difficile à ses yeux...

MAISON: D'une nature très hardie et fonceuse, la jeune femme aurait toutes les qualités des lions, toutefois, ce n'est pas chez ces derniers qu'elle atterit lorsque le choixpeau fût posé sur sa tête. Beaucoup plus maline, fourbe et fière, elle porte le vert et le argent comme une seconde peau. Loin d'être méchante, Amaryllis est une jeune femme austère et charmante qui n'a aucun mal à se mettre qui que se soit dans la poche. Elle a toutes les qualités de Serpentard lui même, les défauts inclus...

STATUT FINANCIER: Légèrement au-dessus de la moyenne, je qualifierais ce dernier d'aisé voir même riche. Son oncle et sa tante ont toujours sut subvenir à ses besoins et bien plus... Il faut avouer qu'ils font un travail des plus respectable.

GROUPE: Elle fait partie des serpentards

STATUT DU SANG: Les Anderson sont de ses rares sorciers à conserver la pureté de leur sang. Ils en sont aussi fiers qu'imbu d'eux même. À vrai dire, chez cette famille sang-pure, la haîne de l'impureté à la peur de la souillure est transmise parmis de héritier de ce nom plein de gloire. Amaryllis ne fait pas exception à la règle...

EPOUVANTARD: Depuis l'instant où elle a été abandonnée par tout ceux qu'elle aimait le plus au monde, Amaryllis à une peur bleu de se retrouver toute seule. Elle déteste se sentir invisible parmis tout le monde, se sentir rejeter. Pour éviter cette solitude qui lui fait si peur, elle s'est créer une attitude peinbêche, dominatrice et extravagante qui fait que les yeux restent braqués sur elle. Même si les gens ne l'aime pas, ça ne lui pose aucun problème, du moment qu'elle n'est pas invisible.

PATRONUS: Un daim, peut-être qu'au fond, la jeune femme est bien plus pure d'esprit qu'elle ne s'entête à l'afficher.

AMORTENCIA: La soricère a un petit penchant pour l'anis et la lavande qui lui rapelle sa mère. Chaque soir, alors qu'elle la mettait au lit, cette dernière déposait une branche de lavande sous l'oreillé d'Amaryllis. Elle disait que c'était bon pour relaxer. À chaque fois qu'elle sent cette odeur, elle a une pensée pour sa défunte mère.

BAGUETTE MAGIQUE: Bois de cerisier contenant deux crins de licorne, l'un femelle et l'autre mâle. D'une longueur de 21.8 centimètre, cette baguette est idéale pour les enchantements très complexes.

SORT FAVORI: Peut-être est-ce l'ironie de la vie, mais Amaryllis a une attirance toute particulière pour les sortièges très complexes qui dénotent beaucoup de travail. Après tout, son père est chercheur de sort... Mais son préféré est sans aucun doute accio, question d'avoir tout à porté de main sans lever le petit doigt. Un concept qui convient très bien à la sorcière.

Prétentieuse, princesse, arrogante et manipulatrice, Amaryllis a cette mauvaise manie de regarder tout le monde de haut. À vrai dire, elle se croit réellement plus importante qu'eux puisque dans ses veines coule le sang-pur des premiers sorciers. Une vision bien étroite du monde. ✜ D'une mentalité très conservatrice, la jeune femme prône la conservation de la pureté du sang. Elle ne croit pas que les mélanges devraient être permis. Pour sa part, elle tient en horreur les sang-mêlés, les cracmols ainsi que les nés-moldus. N'essayez pas de lui mentir, elle s'en apercevra bien assez tôt et vous regretterez d'avoir tenté de la berner. ✜ À la mort de sa mère, son père la envoyé vivre chez sa tante et son oncle parce qu'il se sentait pas capable de prendre soin d'elle. Déjà qu'il était beaucoup absent lorsque sa mère était toujours près d'elle, il a carrément disparu de la vie d'Amaryllis à ma mort de cette dernière. Aux yeux de la jeune femme, elle a perdu ses deux parents en même temps. Bien que son père soit toujours de se monde, elle le considère comme un étranger puisque tout ce qu'elle connait de lui, elle l'a appris par la gazette du sorcier. ✜ Curieuse, elle est passionnée par la magie noire. Cette dernière l'attire sans nulle doute beaucoup plus que n'importe qu'elle autre domaine magique. Après ses études, elle vise notamment de faire des recherches de le domaine, peut-être même écrire un livre. D'ici là, elle accumule scrupuleusement le moindre petit détail dans un carnet qu'elle traîne constamment dans son sac. ✜ Elle a intégrée l'équipe de Quidditch des serpentards lors de sa troisième année. Depuis, elle y joue au poste de poursuiveuse. ✜ Amaryllis adore les contes du Graal. Étant petite, elle était complètement fascinée par Merlin, la fée Morgane et les chevaliers de la table ronde. Encore aujourd'hui, elle croit qu'ils ont eux un impact majeur sur le monde magique actuel. C'est son petit secret... ✜ À la mort de sa mère, elle a beaucoup souffert parce que les médecins disaient sans cesse qu'ils n'avaient pas encore les connaissances requises pour arriver à la soigner. Furieuse, Amaryllis c'est promis d'arriver à mettre le doigt sur tous les petits détails qui aurait put permettre de soigner sa mère. Bien qu'elle donne une impression très égoïste de sa personne, elle est quelqu'un de très sensible. C'est pour empêcher à une autre petite sorcière de perdre ses parents dans la maladie qu'elle caresse le rêve de devenir médicomage. Mais gardez ça secret, ça nuirait grandement à son image...

PSEUDO/PRENOM : Meblang, soit connu sous le prénom de Marie-Ève dans la vie quotidienne ÂGE : 19 ans, bientôt 20.. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Je sais plus. Bazzart je crois... QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Je l'adore, allez deviner pourquoi je dis une telle chose... FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4 jours sur 7, principalement la semaine ^^ MOT POUR LA FIN : Je vous aime :gaga:

AMARYLLIS ♔ I got the eye of the tiger, a fighter. Acs2YcSO

Seule dans un océan de désespoir

Tu descends les escaliers d’un pas lent et calculé. Sur toi, tous les regards sont braqués, mais tu fais comme si tu n’avais rien remarquée. En grande conversation avec celles que tu considères comme tes amis alors qu’on fond, elles ne sont absolument rien à tes yeux. Si tu traînes avec elles c’est simplement pour éviter la solitude qui t’embarrasse tant. Les savoirs à tes côtés, rire de tes moindres blagues même si elles sont nulles te fait briller. Parce que oui, tu brilles de milles feu au travers de cette foule d’étudiant. Tes longs cheveux bruns descendent en cascade dans ton dos, un magnifique sourire totalement faux éclaire ton visage alors que tes yeux du même verts que la forêt luisent d’un éclat malicieux. Tu es carrément le centre de l’attention. Les plus jeunes rêvent de devenir comme toi alors que les plus vieilles sont tout simplement à tes pieds. Cette popularité, elle fait partie intégrante de ta vie. Tu as travaillé fort pour arriver où tu es aujourd’hui et ce ne fut pas sans embuches. Bien qu’hautaine et manipulatrice, tu n’es pas méchante pour autant. Intimider les gens violemment n’est pas ton domaine. Tu es plus discrète, plus rusée, à un tel point que tes coups bas se font dans la totale discrétion. Tu es l’incarnation même d’une digne héritière de Serpentard. Dans tes veines, le sang de la pureté coule à flot, mais pourtant, tu n’es pas totalement heureuse. Pourquoi? Que ce passe-t-il donc dans ta vie pour que tu te sentes aussi perdu?

Avril 2061,
École Primaire Moldue

Ma vie est complètement fichue. Elle est détruite à tout jamais. Premièrement, maman me quitte sans donner son reste. Elle meurt et me laisse seul avec cet homme qui est un total inconnu pour moi. Je ne sais pratiquement rien de cette homme qui est sensé être mon père. Il a passé sa vie loin de nous, à travailler sur des recherches qui ne semblent aboutir à rien. Apparemment qu’il serait chercher de sorts. Foutaise, c’est seulement un con incapable de prendre soins de sa famille. Maman était là, en train de mourir sous mes yeux. Je ne savais pas quoi faire pour que la maladie cesse de faire tous ces ravages et lui, il était absent. C’est moi, âgée seulement de huit ans, qui ait pris soins de ma mère malade alors que mon père travaillait. Ça aurait dut être l’inverse ! J’aurais dut pouvoir compter sur lui pour s’occuper de maman et moi alors qu’au contraire, j’ai eu l’impression de prendre le monde sur mes épaules. Maintenant qu’elle est morte, je sens comme un soulagement, mais également un grand vide. Elle était tout pour moi qui n’est pas d’amis. Je passais mon temps avec elle, lui racontait ma vie, mes tracas, mes peurs et elle, alors qu’elle jardinait comme elle aimait tant le faire, répondait à toutes mes interrogations sans hésitation ni démontrer la moindre lassitude. Maman était d’une patiente exemplaire. Elle était aussi très douce et généreuse. C’était certainement la plus belle femme du monde ! Quand je serai grande, j’aimerais tant lui ressembler. Être aussi belle qu’elle. Avoir sa grandeur d’âme. Mon père est tout le contraire. Certes, c’est un bel homme, mais c’est également un connard. À peine une semaine après le décès de maman, il s’est remis à travailler sur ses recherches ne se préoccupant nullement de moi. À croire qu’il ne prenait même pas conscience que j’étais sa fille et que la femme qu’il avait prétendu aimer était morte dans mes bras. Les miens. Ceux d’une gamine de huit ans. Pour simple remerciement, il m’offre un allé simple dans une école primaire moldue. Cet endroit c’est carrément l’asile. Les enfants ici n’ont absolument pas l’air de des enfants. Ils sont si calmes, si obéissants qu’on pourrait croire qu’ils les ont tous lobotomisés. Et puis, ils sont méchants et si arrogants lorsque les adultes ne regardent pas. Ils me poussent, me frappent, me tirent les cheveux et me disent que je suis un extraterrestre. J’en ai marre d’être ici jour après jour. De mettre cette jupe de laine qui gratte et d’endurer tous ces enfants horribles.

Aujourd’hui, ce fut légèrement différent. Il se passa un truc tout simplement génial. Je courrais, poursuivit par une bande de gamins idiots qui tentaient de me mettre la tête dans un sceaux d’eau prétendant que j’étais une sorcière donc que j’étais le mal et qu’ils faisaient la chasse aux sorcières. Une activité devenue très populaire depuis mon arrivée ici. Ils essayaient donc de m’attraper lorsqu’à bout de souffle, je tournai le coin de l’école. C’est alors que je tombai face à face avec un autre groupe de « chasseurs de sorcières ». Le plus grand d’entre eu profita de l’occasion pour me saisir violemment par le bras afin de me retenir pendant que le porteur du sceau s’approchait de moi. Pris de panique, je me débâtais de toutes mes forces sans réussir à me libérer. Mon joaillier était bien plus grand et plus fort que moi. Mon regard affolé passait alternativement du porteur d’eau à celui qui me retenait. J’espérais au fond de moi qu’il renverse toute l’eau avant d’arriver à moi ce qui déclencherait une vague de frustration dans les rangs des autres enfants me permettant de profiter de la situation pour m’enfuir. Mais il n’en fut pas ainsi. Au contraire, il continuait de s’avancer vers moi avec ce sourire narquois sur les lèvres. Plus que quelques pas et ce serait fini… Alors que je continuais à me débattre, sentant tout l’espoir s’échapper de mon corps à chaque pas du porteur d’eau, j’espérais qu’elle se transforme en glace et qu’ils ne puissent me mettre la face dedans. C’est alors que le gamin au sceau se pris les pieds dans quelques choses d’imaginaire échappant de fait, le sceau sur le sol. Pourtant, aucune eau ne s’en échappa. Ce dernier se contenta de tomber dans un bruit sourd. Abasourdis, tout le monde se retourna vers le gaffeur. Complètement rouge de honte, ce dernier s’approcha du sceau pour le récupéré lorsqu’il s’exclama totalement surpris : « C’est de la glace ! » Attirés par cette déclaration saugrenue, les enfants s’approchèrent tous. C’est à ce moment que mon joaillier relâcha un peu sa prise, ce qui me permit de m’enfuir en courant. Derrière moi, j’entendais les acclamations des autres enfants : « C’est elle qui a fait ça ! » « C’est une vraie sorcière ! » Mais j’étais déjà loin. Oui, j’avais peut-être tant espéré qu’un truc se passe empêchant ces enfants de me ridiculiser une énième fois, mais je ne savais pas trop si j’étais responsable de cet évènement des plus étranges. Une chose était certaine, après toute cette histoire, j’allais finalement quitter cette école qui me pourrissait la vie depuis plus de quatre mois…

Septembre 2068,
Parc de Poudlard

La lumière du soleil nimbait le parc de Poudlard d’une lueur féérique. Une douce lumière dorée illuminait les arbres, laissant passer les faibles rayons du soleil couchant entre les branches et le feuillage des grands arbres. Une vision qui plaisait tant à la jeune femme. Malgré l’image dure et froide qu’elle tentait de montrer en permanence, Amaryllis était quelqu’un de doux et sensible qui se plaisait à admirer les petites choses de la vie. Sa vie avait été très difficile beaucoup de pertes et très peu de nouveauté. C’était pour se protéger qu’elle s’était forgé ce masque de dureté qu’elle ne se permettait de quitter en aucun cas. Malgré cette image de reine des glaces, aujourd’hui, elle était très nostalgique. Elle entrait en sixième année à Poudlard et contrairement à ce qu’elle avait dit à professeur Bloodshire lorsqu’il l’avait aidé à concocter son horaire, elle savait parfaitement ce qu’elle voulait faire de sa vie. Amaryllis caressait le rêve de devenir médicomage. Non parce qu’elle voulait soigner les gens, mais pour jeter au visage de ces stupides médicomages qui avaient eu l’incompétence de ne pas sauver sa mère le remède de la dragoncelle. Très orgueilleuse, elle avait encore de travers dans la gorge le système de santé magique qu’elle considérait comme étant merdique. Mais tout ses rêves d’avenir, elle les gardait cacher bien profond en elle afin de ne pas montrer une once de sensibilité à son entourage. Il n’était pas question qu’elle soit publiquement faible.

Une vie parsemée de péripéties bien difficiles pour une jeune femme de seize ans. La première étape de son calvaire fut de voir sa mère mourir sous ses yeux. Elle avait ensuite perdu son père dut à l’indifférence de ce dernier pour sa fille. Passée quelques mois dans une école moldue qui avait été le pire moment de toute sa vie. Ces gens hors de son monde qui la traitait comme un monstre. Atterrissant chez son oncle et sa tante par la suite, ces malheurs s’étaient grandement estompés grâce à la manipulation et au chantage dont elle faisait usage sur eux. Ils avaient tendance à la prendre en pitié ce qui laissait la porte grande ouverte pour que la jeune femme en profite. Et puis était finalement arrivé Poudlard. Le meilleure jour de se vie fut certainement son entrée au collège. Elle y avait rêvé pendant des années. Parcourir les murs du château, rire avec des copines, sentir le vent dans ses cheveux pendant un match de Quidditch. Au bal, le regard de tout le monde serait braqué sur elle parce qu’Amaryllis serait la plus belle fille de la place. Elle serait constamment le centre de l’attention et tous rêverait d’être elle. À Poudlard comme chez les verts et argents, elle se sentirait enfin chez elle, comme à l’époque où sa mère était toujours près d’elle. Tous ces rêves se concrétisèrent au plus grand plaisir de la sorcière qui voyait sa vie beaucoup plus douce depuis quelques années.

On était à la mi-septembre 2068. Quelques jours à peine avant le tragique évènement qui chamboula Poudlard. Aujourd’hui, c’était le jour de la perte de sa mère. C’était la nostalgie qui avait poussé la jeune femme à s’isoler un peu. En général, elle supportait très mal de se retrouver seule, mais ce soir, elle en avait grandement besoin. Se ressourcer, réfléchir et peut-être se montrer un peu crétine en écrivant une lettre… Amaryllis faisait ce petit manège tous les ans depuis huit ans. Chaque fois, elle avait besoin de parler à sa mère en ce jour empli de tristesse. Cette fois, elle s’était isolée tout près du lac noir pour écrire son message. Levant la tête de temps à autre, elle plongeait son regard vers le sommet des montagnes qui s’élevaient sur l’autre rive. Elle s’était toujours sentie en sécurité dans l’enceinte du château. Les montagnes entourant le domaine formaient une protection naturelle contre les intrus et le château était protégé par des centaines de sortilèges assurant la sécurité de ses habitants. Aucun intrus ne pouvait entrer à Poudlard, mais la menace pouvait très bien venir de l’intérieur…

En mettant le point sur sa lettre destinée à l’au-delà, Amaryllis releva la tête de son parchemin. Elle s’aperçue alors qu’il faisait complètement noir, le soleil devait s’être couché depuis des heures puisque haut dans le ciel brillait une immense lune ronde qui donna l’impression à la serpentard d’être dans un monde féérique tellement le visuel était magnifique. Elle resta un moment sur place à regarder le ciel avant de s’apercevoir qu’elle était frigorifiée. À cette époque de l’année, la température chutait beaucoup la nuit et la simple cape d’Amaryllis ne suffisait pas à la garder au chaud. Remontant son collet autour de son cou, elle entreprit le retour vers le château. Toujours perdue dans ses pensées, elle progressait son ascension dans le silence le plus complet.

Après une dizaine minutes de marche, Amaryllis se trouvait tout près de la lisière de la forêt interdite lorsqu’un craquement sur sa droite attira son attention. Retournant la tête, elle fouilla les bois de son regard vert émeraude. N’apercevant rien d’alarmant, elle reprit son chemin d’un pas un peu plus rapide, l’esprit sur le qui-vive. Il ne fallut pas plus de quelques secondes avant que les craquements reprennent. Se retournant de nouveau pour scruter la forêt, Amaryllis tomba à la renverse lorsqu’une bête lui sauta dessus. Prise de panique, elle tenta de s’en échapper, de la repousser, mais à chacun de ses mouvements, elle sentait les griffes de la bête d’enfoncer dans sa chaire lui arrachant un cri de douleur. Pendant un moment, elle crut qu’elle allait y rester, mais alors qu’elle se débâtait, il vit une ouverture se former entre son corps et celui de la bête. Relevant le genou de toutes ces forces, elle assena un coup dans le ventre de la créature qui lâcha un cri de douleur en recula un peu laissant à la jeune femme la chance de s’échapper. Dut à la quantité de sang qu’elle venait de perdre, la serpentarde était beaucoup trop faible pour se remettre sur ses pieds. Elle se contenta donc de ramper loin de la bête qui commençait déjà à se remettre de son coup. Se retournant sur le dos, Amaryllis vis l’animal s’élancer de nouveau vers elle. Elle sortit sa baguette de sa poche, la pointant sur la bête en murmurant : « Protego totalum ». À bout de force, la jeune femme vit la créature tomber sur le sol, assommée par la collision contre la bulle de protection, puis elle perdit conscience.

Ouvrant les yeux, la sorcière sentit une douleur fulgurante lui parcourir tout le corps. Elle se redressa avec la plus grande misère du monde. Se retenant sur les coudes, elle inspecta son corps. Prenant conscience qu’elle était couverte de profondes griffures, les souvenirs de la nuit dernière lui revint en mémoire. Prise de panique, elle lança un regard affolé autour d’elle. Un peu plus à gauche, sur le sol, était allongé un homme complètement nu. Agacée, elle détourna le regard, les joues rouges. Respirant profondément, elle s’assit complètement et braqua son regard sur l’homme endormi. Elle fulminait de rage en faisait le lien entre la créature et le garçon. Comment avait-il put être aussi imprudent, aussi irresponsable. En connaissant sa condition, il aurait dut se montrer plus vigilant. Franchement se balader dans le parce de Poudlard, il aurait put tuer quelqu’un ! Il ne fallut guère plus de quelques minutes avant que le sorcier ne se réveille à son tour. Il sembla sonné, mais se redressa sans peine. Lorsque son regard se porta sur ses mains couvertes de sang, il releva la tête. Une lueur de panique dans les yeux, il les posa sur Amaryllis qui vit immédiatement le soulagement sur le visage du jeune homme. Une expression qui laissa rapidement place à la colère et il ne se gêna pas d’en manifester son mécontentement : « Tu es folle ou complètement idiote ? Te promener en pleine nuit de pleine lune dehors… » Furieusement, elle planta son regard plein de haine dans le sien. « Et c’est moi qui suit folle? Je te ferais remarqué que c’est toi qui a faillit me tuer ! », hurla-t-elle. Se redressant sur ses jambes, ses parties intimes bien en évidence ne semblait pas le gêner plus qui faut contrairement à Amaryllis qui rageait de plus en plus face à l’effronterie du jeune homme. « Ça n’aurait certainement pas été de ma faute ! », laissa-t-il tomber d’une voix calme, mais haineuse avant de se retourner et de commencer son ascension vers le château. La jeune femme tenta de se relever de peine de et misère sentant tout son corps protester. « Tu pourrais m’aider au moins, après ce que tu m’as fait ! » Le jeune homme ne prit même pas la peine de se retourner en répondant sur un haussement d’épaule : « C’est pas mon problème ! » Il continua son chemin ignorant complètement la détresse d’Amaryllis.

Avec la plus grande difficulté du monde, la sorcière finie par atteindre le château. Complètement exténuée, elle débarqua dans l’infirmirie où la panique s’installa dès l’instant où l’infirmier posa le regard sur elle. Elle mit plusieurs jours en s’en remettre et malgré l’assurance qu’avait mademoiselle Burns face au fait qu’elle ne deviendrait pas un loup-garou, Amaryllis était toujours furieuse contre le jeune homme. Il s’était montré si arrogant, si indifférent alors que tout était de sa faute. Elle lui en voulait beaucoup et comptait bien lui rendre la monait de sa pièce à cet idiot…

Bienvenue sur patracitrouilles !

Merci pour ton inscription !

Afin d'avoir toutes les cartes en mains pour faire ta fiche, il faudra jeter un oeil au contexte .
Evidemment il ne faut pas oublier les Règles ainsi que toutes les annexes indispensables pour évoluer sur le forum et connaître la chronologie générale et celle de Poudlard, les métiers encore libres, les familles de sang pur disponibles etc. Attention, après c'est interro

N'oubliez pas non plus de vous assurer que le métier ou la place de préfet et joueur de Quidditch n'est pas déjà pris.

Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.

Bon courage pour ta fiche !
Le staff de Patracitrouilles

Merci Clark ^^
Il ne me reste plus que l'histoire, ce ne saurait trop tarder !

Bienvenue ! Richard va être happy Smile

Bienvenue! I love you

J'aime beaucoup Willa, en plus elle a l'air de bien correspondre à ton personnage! :cute:

Merci à toutes le deux :love:

Niiiiah :3
Merci d'avoir craqué :love:

Richard va être.. Heureux de voir sa cousine x)
Merci, merci, merci !!! ^^

Merci à toi d'avoir créer un scénario aussi bien :cute:

J'ose espéré que mon inexpérience en tant que personnage féminin ne nuira pas à l'intégrité d'Amaryllis :love:

re bienvenue et comment te dire que ton choix d'avatar est à tomber ? :dead:

Merci Perseus :cute:

Il nous faudra un lien entre serpentard :mimi:

Je suis intriguée par la dernière partie de l'histoire... Richard même s'il déteste sa cousine va casser la figure au mec (a)

Sinon c'est parfait ! J'adore :3

Bienvenue Ama

Te voilà validé, tu peux dorénavant commencer à RP.

Tu es Admise en sixième année et les Serpentard t'accueillent avec plaisir dans leur grande famille.

N'oublies pas de compléter ton profil si cela n'est pas fait. Il te faut aussi passer ici pour référencer ton avatar et d'autres informations. Si tu es étudiant il te sera possible de poser ta candidature pour le Quidditch et peut être même devenir préfet par ici. C'est là aussi qu'il faudra ouvrir ta fiche de lien et de rp.

Tu peux aussi voter pour le forum par ici. Tu gagneras ainsi des points que tu pourras donner à ta maison tout en suivant son évolution.

Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.

Le staff de Patracitrouilles

Génial ! Sorrow est dans la merde si Richard apprend que c'est lui le responsable !

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