♦ NOM(S): Les Velrose sont une famille de sang-purs qui, à l’époque de Harry Potter où Voldemort vivait encore, prônait la suprématie de ces derniers, son arrière-grand père a même combattu aux côtés de Voldemort. Son grand-père néanmoins a tout remis en cause quand il a pris la tête de la famille et a instauré de nouvelles règles, dont celle de respecter et de travailler avec les sang-purs, à la manière des anciens Weasley. Depuis, c’est toujours une famille de sang-purs avec de grandes traditions, mais ils sont connus pour engendrer de très bons aurors. La famille de sa mère est la famille Glavedish, une famille indienne elle aussi au sang-pur. ♦ PRÉNOM(S): Le premier prénom de ce jeune homme est Abigaël, un nom assez répandu chez les anglophones, certes chez les femmes mais on oublie souvent que c’est un prénom mixte aussi, qui inspire la joie et la détermination. Son deuxième prénom est purement indien, Anish, qui signifie “suprême”. ♦ AGE: Ce jeune homme a actuellement 17 ans et est né un certain 9 Août 2052 et il trouve d’ailleurs que la majorité c’est cool ! Enfin sur certains bords... ♦ LIEU DE NAISSANCE: Quelque part du côté de Rajasthan. ♦ STATUT CIVIL: Il est fiancé depuis cet été, il ne l’a pas tellement choisi mais bon… Il ne faudrait pas qu’il finisse déshérité. Il est aussi Indou-Anglais, juste pour le détail. ♦ ANNÉE D'ETUDE: Il arrive en septième année à la rentrée. ♦ MAISON : Abigaël est arrivé en cours de cinquième année, et a été placé à Gryffondor, chez les fiers et puissants lions ! ♦ STATUT FINANCIER: Très aisé, il est l’héritier direct des deux familles desquelles il est issu. ♦ GROUPE: Gryffondor.  ♦ STATUT DU SANG: Sang-Pur ♦ EPOUVANTARD: Un détraqueur, et oui ! Sales créatures ! ♦ PATRONUS: Un aigle royal ♦ AMORTENCIA: Menthe fraîche et épices orientales. ♦ BAGUETTE MAGIQUE: Baguette en bois de poirier de 35cm et crin de licorne. ♦ SORT FAVORI: Sortilège du patronus.

Ton caractèreInébranlableIrréfléchiAme de leaderTêtuAltruisteFoufouOptimisteManque de tact

Abigaël a vécu un long moment en Inde, jusqu’à ce que ses parents, son frère, sa soeur et lui-même ne déménagent en Angleterre sur la demande de son grand-père, le chef de la famille. Il est donc arrivé à Poudlard pour sa cinquième année et a été intégré à la maison Gryffondor. ✜ Il s’est rapidement intégré et a pris part à de nombreuses fêtes, il a même intégré l’équipe de Quidditch au poste de poursuiveur avant de passer batteur en sixième année et de se voir proposer le poste de capitaine pour la rentrée d’après. ✜ Son père, comme le sien avant lui, était un auror très réputé dans son service, doué de surcroît. Seulement, lui et le frère jumeau d’Abigaël, Gabriel, ont été tués lors d’une attaque de mangemorts sur le chemin de traverse, durant l’été. ✜ Depuis, sa mère et sa soeur sont retournées vivre en Inde, loin des conflits, tandis qu’Abigaël vit au manoir dont il a hérité, sous la surveillance de son grand-père, assez strict. ✜ Des fiançailles ont été annoncées peu après entre la fille Goldstein et lui, et il l’a très mal pris, surtout que la fille en question ne l’apprécie pas vraiment et que c’est réciproque. Seulement, Abi a beau avoir une grande gueule, se rebeller contre son grand-père dont il connait la grande sagesse, est une très mauvaise idée. Gabriel avait des vues sur elle, alors forcément, Abi a encore moins envie de la toucher, de l’approcher même. ✜ Avec son frère jumeau, ils ont tenté de devenir animagi et se sont entraînés tous deux pratiquement tous les jours pour y parvenir. Ils ont réussi une ou deux fois à y parvenir, mais depuis la mort de son jumeau, Abi fait un véritable blocage qui l’empêche de faire quoi que ce soit. Il ne peut même plus faire apparaître de patronus pour le moment. ✜ Il peut engloutir des litres et des tonnes de boissons et nourritures en tout genre, faire des mélanges improbables et se gaver comme un gros goinfre sans même être malade ou dégoûté. Manger avec Velrose est un parcours du combattant, plus il mange, plus il est content. ✜ Il se lève toujours très tôt pour aller courir un peu à travers le domaine, même en plein hiver. Ca maintient sa forme et ça lui occupe l’esprit. ✜ Il préfère l’action à la parlotte, aussi toutes les matières un peu trop théoriques l’endorment profondément. ✜ Lui-même veut devenir Auror, et voue une haîne profonde des mangemorts. Leur simple mention dans une conversation le fait partir dans une colère noire qui a tendance même à le rendre violent. ✜ Un conseil ; Ne jamais le provoquer juste pour le plaisir de le faire : Il vous cassera la mâchoire en deux, si vous êtes un mec, bien sûr, il ne frappe pas les femmes. Oui, vous l'aurez compris, Abi a pas mal d'ego, une vraie tête de con. ✜ Derrière son attitude de grand gamin et de sale gosse se cache un grand romantique qui s'ignore et qui apprécie la tendresse qu'on veut bien lui donner. Que les gens autour de lui soient heureux et l'une des principales choses qui font qu'il se sent bien dans sa peau. Dans une relation, c'est un passionné, quelqu'un de direct qui sait exprimer ses sentiments et qui ne supporte pas les personnes indécises. Pour lui, on est fou amoureux ou on ne l'est pas, il n'y a pas de juste milieu. Ça donne aussi une sacrée vision manichéenne des choses : On est avec ou contre lui.

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PSEUDO/PRENOM : Milly GE : 20 ans COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Tu connais la blonde ? QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? DU CLAIR DU CLAIR DU CLAIR. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Je vis ici, je paye mon loyer à Patra et j’ai vendu mon corps au choixpeau. MOT POUR LA FIN : I love Cassie’s blowjobs.

— Elle est pas mal tu sais. Belle, inteligente...
— Terriblement ennuyeuse ? Allez Gabi, range les violons, cette fille est à Serpentard, ces gens ne sont pas nets, c’est pas nouveau.
— Dit le Gryffondor qui passe son temps à les provoquer. Je suis à Serdaigle, je n’ai rien à voir avec vos querelles puériles.

Abigaël éclata de rire et mit une tape dans le dos de son frère avant de s’étendre davantage sur l’herbe devant le lac de Poudlard, faiblement éclairé d’une lumière orangée et mourrante. Les deux jumeaux se voyaient tous les soirs avant d’aller manger dans la grande salle. Abigaël avait toujours mal pris que son frère soit envoyé à Serdaigle et qu’il en soit séparé, mais d’après leur père c’était assez prévisible. Gabriel était bien moins tête brûlée que son frangin et avait davantage la tête sur les épaules, aussi correspondait-il davantage à la figure responsable que leur grand-père voulait voir arriver à la tête de la famille. Abi lui aussi voulait laisser tout ça à son cadet, mais se désister le ferait passer pour un lâche et selon son père, qui avait exactement le même caractère, il avait les épaules nécessaires. Seulement, son père lui, avait échappé à la succession et avait pu vivre sa vie relativement tranquille jusque là.

— Et toi tu es trop sérieux, tu devrais te lâcher de temps en temps, ça te ferait du bien. Fais un peu de sport, entre dan ton équipe de Quidditch, tu serais doué comme gardien.
— J’en sais rien, j’aime bien le Quidditch mais ça va me prendre du temps le soir, et je préfère étudier. Je te rappelle aussi qu’on est censés bosser tous les deux sur notre animagus. On a réussi à se transformer une seule et unique fois.
— C’est vrai… C’était cool de pouvoir survoler le domaine comme ça ! Je me dis que tomber sur des aigles comme patronus était un coup de génie du destin !

Gabiel lâcha un petit rire franc devant l’enthousiasme excentrique de son frère, qui des deux, avait toujours été le plus avide de liberté. S’ils étaient différents du point de vue du caractère, physiquement ils étaient les deux faces d’un miroir, parfaitement semblables, si bien que s’ils le voulaient, ils pouvaient se faire passer l’un pour l’autre. Mais ils n’y avaient jamais songé pour autant. Ils se redressèrent ensemble, se firent un clin-d’oeil et filèrent plus loin, vers la forêt interdite afin de ne pas se faire repérer par des paires d’yeux indiscrets. Ils adoraient cet endroit où peu de personnes osaient s’aventurer lorsque la nuit commençait à tomber, et où ils pouvaient s’adonner à leurs exercices d’animagi sans être perturbés. Abigaël s’agitait sur place tandis que Gabriel se dégourdissait posément les épaules.

— Sans dec, tu trouves vraiment cette fille attirante ? On dirait une poupée de porcelaine figée dans son éternelle morosité. Il te faut une fille vivante, joyeuse !
— Pour être avec elle en étude des runes, je ne suis pas d’accord avec toi. Si tu prenais un peu le temps de ne pas poser les gens dans des catégories, tu le verrais bien. On va bien devoir finir par se caser, si on le fait pas de nous-mêmes, ça finira par nous tomber dessus, alors quitte à pouvoir choisir… Cette fille me correspond tout à fait.
— Toi et tes réflexions de moine, sérieusement…! On a pas encore 17 ans, on a le temps pour ça ! Profite pluôt de Poudlard tant qu’on y est encore !

Abigaël lui offrit encore un grand sourire avant de sautiller plusieurs fois sur place et faire semblant de donner des coups de poings répétés à son frère qui restait de marbre devant ce défilement puéril de petits coups.

— Je m’en fiche de toute façon de ce que peut penser grand-père. Je veux même pas devenir auror, moi, je veux devenir joueur professionnel de Quidditch et là, j’aurai toutes les femmes à mes pieds !

Gabriel se priva d’un rire moqueur et mit un coup dans le bras de son frère avant de filer droit vers les airs sous la forme d’un bel aigle au plumage gris foncé, tandis qu’un deuxième suivait peu après d’un ton chocolat.


La fumée brouillait sa vue et les cendres asphyxiaient ses poumons, Abigaël se releva tant bien que mal au milieu de débris et de cris dont il ne parvenait pas encore tout à fait à deviner le sens. Son frère n’était plus à ses cotés, ni son père. Ramassant sa baguette qui traînait plus loin dans la poussière, il se traîna, puis se redressa avant de porter une main contre sa nuque ensanglantée. La tête lui tournait affreusement, pourtant, il n’avait qu’une idée : retrouver son paternel et Gabriel. Ils avaient débarqué de nulle part, les hommes dans leurs capes noires et aux masques d’argent, une boutique avait explosé, le soufflant lui dans la vitrine de l’enseigne en face, qui s‘était brisée sous le choc. Il observa les alentours, titubant sur quelques mètres avant de prendre appui contre un mur de briques d’autant plus rougi par quelques giclées de sang. L’indien se massa le front sans totalement réaliser ce qu’il venait de se dérouler sur le chemin de traverse, sans savoir non plus si les mangemorts avaient quitté les lieux après le carnage. Il appela par deux fois son père par son prénom, Alastor, puis son jumeau, mais d’aucun ne répondirent à ses cris répétés. Personne ne semblait disposé à s’arrêter pour l’aider non plus et il lui sembla que des éclairs verts et rouges fusaient encore dans certaines ruelles jusqu’à ce que des spirales nuageuses noires s’envolent vers le ciel bleu.

Le brun se laissa aller dans une ruelle où quelques corps gisaient sur les pavés brisés. Il observa les visages figés dans la stupeur ou la terreur qui jonchaient la rue, son estomac se retournant sur lui-même à chaque nouvelle vision qui s’offrait à lui. Au détour d’une rue, il se rendit qu’un des corps lui semblait familiers, aussi retourna-t-il sur ses pas pour découvrir… le corps de son père. Pris d’une violente envie de vomir, il se rua sur le corps en le secouant de toutes ses forces. Il l’agitait tellement qu’il espérait au moins une réaction de son paternel qui tenait encore fermement sa baguette entre ses doigts. Ses yeux, révulsés, semblaient indiquer qu’il avait à peine vu le coup venir. Le jeune homme eut l’impression qu’on venait de lui arracher les organes un à un, à vif, sans qu’il puisse se défendre. Son père venait de mourir, assassiné, il était pareil à ces autres personnes, inertes au sol. Choqué, Abi n’eut qu’une première pensée pour suivre : Gabriel.

Le Gryffondor hurla le nom de son frère et s’époumona pour le retrouver. Il chercha à travers toute la ruelle à moitié détruite, tituba sans même savoir où son frère avait été soufflé, espérant de tout coeur que celui-ci s’en était sorti. Plus loin, au retour vers la librairie réduite en gravas, son simple cri répondit pour lui. Gabriel était allongé contre un tas de gravas, les yeux mi-clos vers le sol, une jambe totalement écrasée et le crâne en sang. Hurlant à en mourir, Abi se jeta sur la dépouille de son frère.

— Gabi ! GABRIEL ! Réveille-toi, putain, Gabi, réveille-toi, je t’en-prie, me laisse pas… Mec, relève-toi, ouvre les yeux, FAIS QUELQUE CHOSE !

Velrose éclata en sanglots, sans même chercher à se retenir et poussa de nouveau un cri d’angoisse et de désespoir. Il secoua son frère avant de retomber contre lui. Il venait de perdre une partie de lui-même.


Abigaël se tenait le menton, installé dans un fauteuil devant la cheminée qui n’avait pas été allumée depuis l’hiver dernier, à Noël, chez ses grands-parents, à l’époque où toute la famille était encore au complet. Quand son père et Gabriel vivaient encore, quand sa mère et sa petite soeur Alix étaient encore en Angleterre et non repartis vivre en Inde, lorsque lui-même, Abigaël Velrose, n’était pas encore l’héritier de la famille. Il comptait passer le flambeau à son jumeau, plus à même de régler les futures affaires de la famille de sang-purs qu’ils formaient, mais aujourd’hui il était seul, terriblement seul. Le jeune homme avait l’impression de ne plus être que l’ombre de lui-même. Il se sentit diminué de moitié, si ce n’est diminué totalement, comme si son âme avait arrachée en deux et qu’il le ressentait encore. La douleur, de toute façon, ne partirait jamais. En tuant Gabriel, on avait tué une partie de lui et pour ça, il tuerait tous les mangemorts qui se dresseraient sur son chemin. Velrose fixait le vide, si seulement une telle chose était au moins possible, et réfléchissait à la façon dont sa vie venait de changer tragiquement. Son grand-père, qui l’avait accueilli au moins jusqu’à la rentrée, était plus taciturne que jamais et son petit-fils sentait bien que des choses se tramaient dans son dos. Seulement, personne ne mettait jamais en doute les conseils et les décisions d’Astaroth Velrose, jamais, ni ici sous son toit, ni ailleurs. Abigaël détestait les conversations sérieuses, mais il y avait eu le droit toute la semaine durant.

Alors qu’il se murait dans son silence depuis des heures, le patriarche vint auprès de lui pour lui demander de le suivre jusque son bureau. Plutôt docile, le jeune homme se leva sans trop demander pourquoi et vint au bureau comme demandé, prenant place. L’air grave de son grand-père ne lui dit rien qui vaille, mais il se devait, par respect, de l’écouter.

— Abigaël. Tu es majeur aujourd’hui, la sécurité, la fortune et la bonne réputation de la famille passera par toi lorsque je m’en irai, moi aussi. Nous avons des traditions, des codes, et il est important de les respecter, d’assurer la prospérité de la famille. Ce n’est pas un choix que je t’offre, mais ceci ne se fait pas non plus… Comment dire. Cette opportunité ne t’était pas destinée, mais aujourd’hui, le contrat est bel et bien là et il serait délicat de laisser tomber.

Abigaël haussa un sourcil, il avait eu raison de se méfier malgré tout le respect et l’admiration qu’il avait pour son ancien. Le simple fait de lui imposer une chose qui ne lui était pas destinée lui fit comprendre que Gabriel aurait été dans ce bureau à l’heure actuelle s’il était encore… vivant.

— Il s’agit d’un mariage, avec la jeune fille Goldstein. Un bon parti, une jeune femme belle, intelligente avec une bonne famille. Nous ne sommes pas comme ces familles dont le sang pur nous importe plus que tout, je t’aurai marié à une sang-pur autant qu’à une née-moldue, le fait est qu’actuellement, nous aurons beaucoup d’avantages à ce que ce mariage se déroule sans encombres.

Le jeune homme ne prit pas même une seconde pour rire jaune et se crisper dans son fauteuil. L’air perdu et choqué qu’il montrait laissa place à une étincelle de colère qui ne sembla pas surprendre le chef de famille.

— Gabriel en était amoureux, c’était lui, non ? Le fiancé ? Et vous voulez que je passe après lui, que je le remplace, comme ça, en guise de mari de substitution ?! Cette fille est une Serpentard ! Vous n’avez donc aucun respect pour mon frère ?! Il était votre petit-fils, MERDE !

Le Gryffondor se leva et envoya valser le fauteuil. Quand son grand-mère se leva à son tour, imperturbable, Abigaël le pointa du doigt, le bras tremblant de rage, les larmes aux yeux. Personne n’avait donc de considération pour Gabriel ? Ou pour ses propres sentiments ? Quel intérêt aurait-il lui, à aller se marier à une fille qu’il n’aimait même pas ? Elle, elle le détestait ! Il se sentit dégoûté et humilié, remonté au possible. Il donna un coup de pied au fauteuil renversé.

— Vous êtes fou, COMPLÈTEMENT FOU ! Votre fils et votre petit-fils sont morts, et vous, vous pensez intérêts ? Argent ? Réputation ? VOTRE FILS ! MON PÈRE ! ET MON FRÈRE ! Je dois rêver… C’est pas possible… Vous n’êtes tous que des putains de monstres d’inhumanité, vous, vos collègues, les siens, tout le monde dans ce putain de monde !
— C’est bien d’être en colère.
— Quoi ?
— C’est bien d’être en colère, ça te donnera de la force et grâce à cette colère, tu resteras debout. Mais si tu ne finis pas par t’en séparer… Elle te dévorera entièrement.

Abigaël se figea sur place, observant son grand-père sans savoir quoi dire. La nausée le prit et il eut l’impression que le sol s’était dérobé sous ses pieds. L’envie de vomir ne tarda pas, peu après, et le malaise suivit aussitôt.

Matière 1: Etude des moldus
Matière 2: Soins aux créatures magiques

Parmi les matières à Poudlard:

- Astronomie ; P
- Botanique ; A
- Défense contre les forces du mal ; O
- Potions ; EE
- Histoire de la magie ; T
- Métamorphose ; O
- Sortilège ; O
- Vol sur un balai ; O
- Études des Moldus ; EE
- Soins aux créatures ; A