Nous sommes en Novembre 2075 Le froid s'installe sur l'Écosse Rapporter de nouveaux membres remporteras 100pts à votre maison ! Faites de la publicité ! Nous avons besoin de professeurs, de gryffondors et de serpentards. La version 2.3 est en place ! L'équipe tient à vous rappeler qu'un écart maximal de 8 ans est autorisé entre votre personnage et la célébrité qui le représente. |
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| SHATTERED † blake and corra | |
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| Sujet: SHATTERED † blake and corra Sam 20 Juil - 22:46 | |
| SHATTERED † blake and corra La seule chose en ce monde qui soit permanente est le changement en soit. À un moment où un autre de notre vie, il se produit un quelconque événement, un petit incident qui entraîne un changement dans notre mode de vie. Parfois, ce petit détails sera crucial alors qu'à d,autre moment, il ne sera qu'un changement parmi tant d'autre. Les plus petit des gestes peuvent s'avérer d'une très grande importance, à savoir de quel ordre sera les gestes posés aujourd'hui...
Les vacances venaient à peine de se terminer, laissant place à un éreintant voyage en train durant lequel j'avais dut supporter les bavardages des gamines qui s'étaient assises dans mon wagon. Le retour à Poudlard était à la fois un soulagement et un supplice parce que le premier jour, je ne pouvais me soustraire à cette foule d'étudiant qui se rendaient tous vers la grande salle. J'étais, disons le, sous haute surveillance avec le Archibald qui m'avait réellement à l'oeil. Ensuite était venu la première semaine de cours, à laquelle, bien évidemment, je n'avais pas assisté. Puis la seconde, où je n'avais pas plus daigné montrer le bout de mon nez. Pourtant, à mon horaire figurait uniquement les cours qui m'intéressaient le plus, mais la perspective d'être assis deux heures durant à écouter un professeur parler à l'avant avait tout pour me rebuter. Ce n'est pas que les cours ne m'intéressaient pas, seulement je trouvais le rythme beaucoup trop lent. Il y avait beaucoup trop de mots pour dire un minimum. Je préférais de loin lire par moi-même et tout apprendre. Vous n'aviez qu'à voir mes résultats aux BUSES et vous comprendrez. La direction avait tenté de me menacé l'an dernier en voulant me mettre dehors, j'avais finalement réussi à faire un marché impliquant la réussite de toutes mes épreuves aux buses. Je leur avais cloué le bec haut la main en récoltant des efforts exceptionnels et des optimals dans toutes les matières. Du coup, j'avais eu le droit de revenir cette année, et d'entreprendre les études en vu des ASPIC. Cette fois, encore, je comptais bien épater la galerie.
On était le vendredi de la seconde semaine de cours. Alors que je m'entraînais à l'extérieur, l'orage m'avait pris par surprise. Perdu au fond d'une clairière dans la forêt interdite, il m'avait fallu une bonne demi-heure pour retrouver la chaleur du château. Je mis donc les pieds, entièrement trempé, à l'intérieur du château. Le couvre-feu était sur le point d'être mis en place. Ne désirant pas me faire attraper après ce dernier, je me mis en quête d'une pièce agréable où je pourrais m'enfoncer dans mes pensées et mes réflexions seul, sans risque de me faire déranger. Il y avait bien cette mystérieuse salle sur demande, mais je n'avais toujours pas réussi à en trouver l'entrée après toutes ces années de recherches. Il ne me restait plus que la salle des trophées, endroit froid et poussiéreux, mais généralement complètement désert à l'exception d'un chat errant qui devait appartenir à un quelconque étudiant du collège.
J'escaladai les escaliers quatre à quatre, sachant qu'il me restait, tout au plus, cinq minutes pour atteindre ma cachette au troisième étage. D'un bond, je franchis le dernier palier alors que l'escalier en pierre changeait de direction. Reprenant mon équilibre sur le palier, je jetai un regard derrière moi, m'assurant que personne ne me regardais, puis je poussai le battant de la salle des trophées, le refermant silencieusement derrière moi. Je passai entre les étagères garnis de récompenses gagnés pas les étudiants de Poudlard au fils des ans, avant de trouver ma place habituelle sur le cadre de la fenêtre donnant sur le parc du château. M'y glissant habilement, je me laissai sombrer dans mes rêveries, quittant partiellement le monde réel.
Dernière édition par Blake C. Grimm le Jeu 12 Sep - 1:33, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Jeu 1 Aoû - 13:10 | |
| Corra aimait se promener dans le château, et même rester un peu après le couvre feu. Elle ne respectait pas vraiment les règles. Ça la gonflait à vrai dire. S'il y avait bien un truc dont elle avait horreur, c'était qu'on lui donne des ordres. Qu'allait bien pouvoir faire ce soir ? Levy s'était déjà promener dans les cuisines Lundi, elle discutait avec Mimi Geignarde Mardi, les jours suivants elle n'avait rien fait de bien particulier. Puis, elle eu comme une illumination. Pourquoi ne pas aller faire un tour en salle des trophées ? Surtout pour voir tous les trophées que les serpentards avait gagné.
Elle flânait entre les allées de vitrine en verre lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir puis se fermer. Levy sursauta et sortit sa baguette en murmurant le sort "Lumos". Au bout d'un moment, elle découvrit un jeune garçon de Poufsouffle. Ouf ! Ce n'était que Blake Grimm. Un mec auquel elle trouvait un certain charme qu'elle ne pouvait niée. Elle s'assit à côté de lui et lui donna une petite tape gentillette sur l'épaule avant de déclarer.
-Hé ! Tu m'as fait peur ! Je croyais que c'était Archibald.
Elle l'aimait bien ce gars là. Il était assez sympa pour un Poufsouffle, et surtout un 6éme année. Mais elle refusait de dire quoi que ce soit à qui que ce soit sur ses possibles sentiments. Si des gens savait quelque chose, les rumeurs se répandraient vite et son frère serrait au courant. |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Dim 4 Aoû - 19:16 | |
| Le rêve n’est rien de plus qu’un état second engendré par le subconscient dans lequel l’homme aime se perdre afin d’oublier la réalité. Je vous présente ma vrai définition du rêve, la conception que j’en fais du moins n’en est pas aussi éloignée. Vous savez, le sommeil dans lequel nous nous plongeons le soir, alors que nous croyons tomber dans les bras de Morphée n’est autre que la phase réparatrice du corps animal. Les rêves que nous croyions y faire ne son qu’une manifestation de notre subconscient. Mais à notre réveil, nos souvenirs sont souvent confus, ce qui crée une perception différente de ces manifestations. Certain vous dirons qu’il s’agit d’une manière de lire dans l’avenir, je n’en crois pas une miette parce que dans un tel cas, il nous serait impossible de nous laisser emporté par la rêverie lorsque nous ne sommes pas en phase de sommeil. Pourtant, j’aime à m’adonner à ces périodes de rêve éveillé…
J’étais justement en train d’y plongé, le regard perdu dans le paysage triste des terrains du collège engloutis sous la pluie lorsqu’une présence vint troubler mon sentiment de solitude tant apprécié. Sans retournai la tête, je sentis quelqu’un se glisser discrètement vers moi. Un corps souple et habile s’assis devant moi sur le cadre le la fenêtre passant ses pieds le long de mes jambes. Doucement, un main se posa sur mon épaule alors qu’un voix douce que je ne connaissais que trop bien me parla : « Hé ! Tu m'as fait peur ! Je croyais que c'était Archibald. » Tournant lentement la tête, sachant à l’avance à qui j’avais affaire, je la regardai un moment sans rien dire. Sous le halo diffusé par sa baguette et les rayons de la lune, ses cheveux avaient l’air encore plus sombre qu’à l’habitude, mais sa peau me semblait beaucoup plus pâle. Un peu comme de la porcelaine. Elle me regardait de ses prunelles félines dans lesquelles brillaient des paillettes dorées, dont le mince sourire qui étirait ses lèvres légèrement rosés faisait plisser le coin de l’œil. Alors que je la regardais ainsi, sans prendre la peine de me cacher, je me rendis compte qu'au final, elle était réellement très jolie. J'avais toujours eu une certaine attirance pour cette fille, mais elle me semblait si distante, si froide par moment qu'elle finissait tout simplement par glace ses sentiments en plein essor. Elle n'était peut-être pas tout à fait comme je l'imaginais...
« Je pourrais dire la même chose de toi, mais j'ai su reconnaître les pas beaucoup plus léger. », laissais-je tomber mollement. Je la regardai encore un moment avant d'ajouter : « Je te conseille d'éteindre ta baguette sinon, ce n'est pas toi ni moi qui se fera passer pour Archibald, mais lui-même et ce ne sera certainement pas le moment le plus agréable. » Depuis le temps qu'il rêve de m'attraper..., me dis-je mentalement avant de reporter mon attention sur la cours extérieur à l'affu de la moindre lumière, du moindre mouvement suspect qui indiquerait que quelqu'un avait aperçut l'halo produit par la baguette de la serpentard. Et puis, la cours était bien moins troublante que son regard posé sur moi. Je sentais encore la brûlure de ses prunelle sur mon profil...
Dernière édition par Blake C. Grimm le Jeu 12 Sep - 1:34, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Mar 6 Aoû - 15:45 | |
| Pour vivre, nous avons besoin de quatre chose? Les trois premières sont bien évidemment manger, boire et dormir. La dernière est plus complexe, difficile à cerner et à dompter. Il s'agit de l'amour. Vous savez, ce sentiment qui vous rend triste ou heureux, même parfois jaloux. Ce sentiment plus fort que l'attirance et la haine réunie. Ce sentiment qui fait pleurer. Le même qui fait rire. Hé bien, c'est ce sentiment qu'éprouve Corra à l'égard du jeune Poufsouffle. Seulement, elle n'en a pas encore conscience. Les seuls hommes qu'elle a aimée sont son père et son frère. Pour elle, c'est juste une petite attirance, celle d'une aventure.
Il arrivait à Levy d'être un peu froide et distante avec Blake, mais si elle le faisait, c'était pour ne pas le faire souffrir en quelque sorte. Alors comme ça Grimm s'avait reconnaître ses pas ? Cela fit sourire Corra.
-Je te conseille d'éteindre ta baguette sinon, ce n'est pas toi ni moi qui se fera passer pour Archibald, mais lui-même et ce ne sera certainement pas le moment le plus agréable.
Elle en avait oublié sa lumière. La serpentard porta sa baguette à ses lèvres et murmura "Nox". Le tonnerre gronda. Levy baissa la tête et ferma les yeux, les poings serraient. Une larme coula sur sa joue. Oui, Corra Levy Glister avait peur d'une seule chose, le tonnerre. |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Mer 7 Aoû - 0:03 | |
| L’amour. Un sujet controversé depuis la nuit des temps. Comment savoir si elle est essentielle à l’humain comme l’est l’eau, la nourriture, le sommeil et l’oxygène. Aucun signe métabolique ne laisse sous-entendre que le corps à besoin d’un tel besoin, mais tout démontrer les biens faits de ces sentiments. Nombreuses sont les histoires de gens qui se donne la mort parce que leur amour n’est plus partager. Ou encore, le gens qui tombe littéralement dans la démence parce qu’ils sont seul au monde. Peut-être que c’est le manque d’affection que se porte les humains qui créent autant de problème. Parce que, lorsqu’on s’aime réellement, nous sommes heureux et épanoui.
Pour sa part, Blake n’avait jamais reçu un trop plein d’amour. Sa famille avait été complètement détruite par l’antithèse de l’amour ; la haine. Son grand-père avait détesté son père avant même que naisse le blaireau. L’amour que lui portait sa mère était si fort, que le rejet de son père pour son mari la brisa. Elle partie, laissant le gamin de quatre ans seul avec géniteur. Vous n’entendrez jamais Blake appeler son père autrement que son géniteur puisqu’au fond, un père est sensé aimé et protéger ses enfants. Hors, celui du jeune sorcier n’était autre que la source même de danger allant jusqu’à battre son fils. Tous les sentiments que portait l’homme pour la femme disparu n’étaient plus que haine pour l’enfant que cet amour avait engendré. Grandir dans une telle atmosphère n’est pas un très bon exemple pour le développement de sentiments futurs. Ce n’était donc pas si surprenant que le jeune homme soit si dérouté par cet attirance qu’il ressentait pour la jeune femme près de lui.
Tentant de se concentrer sur le paysage extérieur n’était pas chose facile. Blake aurait bien aimé engager la conversation avec la serpentarde, mais il ne savait pas trop quoi lui dire. Honnêtement, sa tendance à être seul l’avait quelque peu poussé à être mal à l’aise en présence d’autre personne, d’autant plus qu’il ne connaissait pas beaucoup Corra. À quoi bon vouloir parler lorsque le silence s’imposait de lui-même? Il tentait donc de se concentrer sur l’extérieur du château pour en oublier l’intérieur lorsqu’un éclair zébra le ciel suivit un grand coup de tonnerre. Il senti Corra se figer près de lui, sans la sentir faire le moindre autre mouvement. Alors qu’il se retournait pour voir si elle allait bien, les quelques rayons de lune s’échappant des nuages lui permirent de distinguer les larmes qui roulaient sur les joues de la jeune fille. Pour un autre, la situation aurait put sembler amusant, mais le grand cœur de Blake et sa compassion sans bornes le poussèrent à vouloir la rassurer coûte que coûte. Lentement, il prit la main de la jeune femme dans la sienne comme si c’était la chose la plus précieuse au monde. Pressant doucement ses doigts dans les siens, il lui caressa le dessus de la main à l’aide de son pouce. D’une voix douce, il lui dit tout bas, comme si c’était le plus grand secret du monde : « Chut ! Ne t’en fait pas, ce n’est rien ! » Puis marquant un pause, il reprit, à sa plus grande surprise : « Quand j’étais petit et que le tonerre m’effrayait, ma mère me disait que ce n’était que les esprits des gens que nous aimons et qui sont décédés qui faisaient ce bruit. Elle disait que c’était parce qu’ils faisaient la fête et qu’ils dansaient tous sur le placer en même temps. » Un léger sourire étira les lèvres du jeune homme. Il n’avait jamais parlé de sa mère à quelqu’un d’autre que Liam, et ce, uniquement lorsqu’il était jeune. Il ne comprenait pas trop pourquoi il l’avait fait à l’instant, ni même pourquoi ce souvenir c’était soudainement imposé à son esprit.
Dernière édition par Blake C. Grimm le Jeu 12 Sep - 1:35, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Jeu 15 Aoû - 17:41 | |
| Corra fût surprise que le Poufsouffle lui prenne la main, mais elle en était assez heureuse en fait. Elle relevant ses yeux encore empli de larme et les posa sur le doux visage du jeune homme. Oui, elle le trouvait vraiment beau. Blake essaya de la rassurer, de lui dire que ce n'était rien et qu'il ne fallait pas qu'elle s'en fasse. Elle eu un léger sourire qu'elle effaça presque aussitôt. Puis le jaune et noir reprit la parole.
-Quand j’étais petit et que le tonnerre m’effrayait, ma mère me disait que ce n’était que les esprits des gens que nous aimons et qui sont décédés qui faisaient ce bruit. Elle disait que c’était parce qu’ils faisaient la fête et qu’ils dansaient tous sur le placer en même temps.
Levy essuya les dernières larmes qui séchaient sur ses joues pâles. Elle réfléchie un moment. C'était mignon comme vision des choses. Mais pour la Serpentard, cela ne représentait rien d'autre que la mort, celle de ses parents.
-Ta mère avait l'air d'une femme bien. Moi la mienne, je ne l'est connu que cinq petites années. Après, elle est morte, un jour de tonnerre.
Elle ne savait pas pourquoi elle avait dis ça, mais tant pis. Corra regarda autour d'elle. Elle ne voyait que du noir. Même les reflets de la lune n'éclairait pas grand chose. La pièce lui parut très vite froide. Elle frissonna. Elle repensa au meurtre de Madame Clark. Bien sûr, elle ne l'aimait pas beaucoup, mais une femme morte, dans son école, c'est tout de même un peu frustrant.
-Tu penses que Bloodshire a tué la prof d'étude des moldus ? |
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| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Mer 4 Sep - 2:36 | |
| Blake avait ressenti le besoin de rassuré la serpentard lorsqu'elle avait tressaillit au son de l'orage. Le tonnerre semblait l’effrayer et sa réaction avait fait remonter des souvenirs à la surface. Des souvenirs que le poufsouffle s’était efforcé de cacher durant toutes ces années. Le départ de sa mère l’avait grandement affecté, il s’était passablement renfermé sur lui-même durant son enfance. L’attitude violente et désintéressé de son père n’avait pas aidé à faire le deuil de l’enfant, du coup, treize ans plus tard, Blake avait toujours ce sentiment de vide comme au départ de sa mère. Il avait parfois l’impression que la douleur pouvait être aussi violente que le jour de sa disparition. Dans ces moments là, il faisait le vide dans son esprit, chassant toutes les pensées et les souvenirs blessants. La main de la serpentarde toujours dans la sienne il écouta sa réponse silencieusement.
« -Ta mère avait l'air d'une femme bien. Moi la mienne, je ne l'est connu que cinq petites années. Après, elle est morte, un jour de tonnerre. »
Un moment de doute s’installa dans son esprit. Jusqu’à aujourd’hui, il n’avait jamais parlé de sa mère à qui que ce soit, donc personne n’avait jamais dit de tels propos à son sujet. Blake n’avait jamais vraiment pensé à la manière dont il voyait sa mère. Certes, il chérissait toujours le souvenir d’une femme aimante et attentionnée, mais était-elle une femme bien? Il ne pouvait en juger puisqu’il n’avait que les quelques souvenirs d’un bambin de trois ans comme exemple, mais son départ précipité ne faisait-il pas d’elle une lâche, une femme faible? Est-ce qu’une femme bien laisserait son fils et son mari seuls pour disparaître un soir et ne plus jamais revenir.
« - Je crois que tout dépend de la conception que l’on se fait du bien. Si ma mère était une femme bien, ce n’est pas à moi d’en juger. Je sais simplement que je l’ai connu que trois ans, ce qui en fait deux de mois que toi… »
Détournant le regard vers l’extérieur, Blake plongea son regard dans la nuit. Il resta ainsi un moment, la main de Corra toujours au creux de la sienne. Il ne ressentait pas le besoin de la lâcher, et au fond, il n’en avait peut-être pas envie. Distraitement, il se mit à la caresse doucement, comme s’il avait toujours agit ainsi. Il se rendit compte de son geste que lorsque la sorcière s’adressa de nouveau à lui. Il immobilisa son pouce, sentant le rouge lui monter aux joues.
« -Tu penses que Bloodshire a tué la prof d'étude des moldus ? »
Une autre notion qu’il n’avait pas pris la peine d’analyser. L’avait-il tué ou non? La question que tout le monde se posait. Blake avait toujours trouvé cet homme louche, mais pas dans le sens d’un tueur. Il était seulement étrange, mais le poufsouffle s’était toujours dit que la matière qu’il enseignait laissait bien place à l’étrangeté. Pourtant, tout le monde ne semblait pas penser comme lui. Bloodshire avait-il vraiment des raisons du tuer l’enseignante d’étude des moldus. Blake n’en savait rien, il devait avoir passé trop de temps cloîtré dans son monde et son esprit pour bien comprendre la réalité de Poudlard. Une chose à laquelle il allait devoir remédier…
« - Honnêtement, j’en sais rien. Mais, si j’étais le ministère, je ne laisserais certainement pas un meurtrier enseigner à des jeunes. Ce sont certainement des rumeurs mal fondées. », laissa-t-il tomber placidement. Un instant de silence s'installa. Il y avait une certaine tension dans l'air. Était-ce en raison du sujet de conversation ou autre chose. Un peu mal à l'aise, Blake posa tout de même la question qui lui trottait dans la tête. Il avait surtout peur de blesser l'orgueil de la serpentarde. « - Est-ce que... Ça te fait peur? Je veux dire, est-ce que ça t'inquiète le meurtre dans l'enceinte de Poudlard? »
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Sam 14 Sep - 12:03 | |
| Les moldus disaient souvent que "Dieu était amour". Corra ne comprenait pas pourquoi. Elle se disait que si il l'était vraiment, il ne s'amuserais pas autant avec la mortalitée des gens. Elle trouvait déjà ces humains dépourvu de pouvoir bizarre mais là, cela relevait de la niaiserie. Oui, Levy était étrange. Elle se posait beaucoup de questions comme celle ci sans jamais ôser les poser, sans jamais avoir aucun indice, aucune réponse.
Une autre question qu'elle se posait. Pourquoi éprouvait-elle des sentiments pour Blake ? Il était d'un an son cadet, était à Poufsouffle et n'était même pas un sang pûre. Cependant, il était d'une gentillesse implacable et d'une beauté sans égale. Elle se le demandait mais ne cherchait pas vraiment la réponse. Elle était heureuse de l'avoir rencontré, malgré qu'elle ne le lui dira sans doute jamais tant son égo est grand.
-Je crois que tout dépend de la conception que l’on se fait du bien. Si ma mère était une femme bien, ce n’est pas à moi d’en juger. Je sais simplement que je l’ai connu que trois ans, ce qui en fait deux de mois que toi…
Les mots du jeune homme lui firent revenir à la réalitée. Elle se rendit compte alors qu'ils avaient plus de points communs qu'on aurait pû le croire. Tout les deux avaient grandis en l'absence d'une mère. Sans doute que Corra ne serrait pas devenue ce qu'elle est aujourd'hui si sa chère maman n'était pas morte.
-Oh ... Je suis désolée, je ne savais pas. S'excusa la sorcière.
Il faisait toujours aussi noir dans la pièce mais ses yeux commençait à s'adapter. Plus une larme ne roulait sur ses joues. Même si ils parlaient de choses assez tristes, elle passait un agrèable moment et n'avait pas envie qu'il se termine. Elle remarqua que Blake lui tenait toujours la main. Il la lui caressa. Elle lui posa une question sur Bloodshire, ce à quoi il répondit qu'il n'en savait rien et que si il était le ministère, il ne laisserait pas un meurtrier enseigner aux jeunes sorciers. Il ajouta que c'était certainement une rumeur mal fondée. Là, Corra fit la moue. Son jumeau avait quand même apperçus le professeur de DCFM s'enfuir du bureau de Clark après le meurtre. Certes elle ne parlait plus à Perseus mais elle devinait plus ou moins ce qu'il pensait. Un truc de jumeaux quoi.
-Hum... J'sais pas. Il n'a peut être jamais tué avant et par manque de preuve le ministère ne peut pas le renvoyer. Mais tu oublie que mon frère l'a vu, ainsi que Clark, Sanzsa et Natalys.
Puis il y eu un silence. Elle pressa la mains de Blake. Elle était mal à l'aise et cela devait se ressentir. Le Poufsouffle lui posa alors une question.
-Est-ce que... Ça te fait peur? Je veux dire, est-ce que ça t'inquiète le meurtre dans l'enceinte de Poudlard?
Elle ne savait pas trop quoi répondre, si elle disait "Oui" elle passerait pour une faible mais si elle disait "Non" elle mentirait. Corra savait mentir, ce n'était pas le problème, elle n'avait tout simplement pas envie de lui dire des bêtises pour qu'il la prenne pour une personne qu'elle n'est pas. Au bout d'un cours instant d'hésitation, elle fini par lui répondre.
-Tu promets de ne pas te moquer ?
Elle marqua une petite pause pour être sûre et reprit.
-Alors oui, j'ai peur. Si il recommençait, qu'il s'en prennait à Perseus, Elizabeth, Soan, Morrigan ou même à toi, je m'en redrais malade. Avoua t-elle. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra Mar 24 Sep - 19:14 | |
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| | | | Sujet: Re: SHATTERED † blake and corra | |
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| | | | SHATTERED † blake and corra | |
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