Votre histoire en une vingtaine de lignes ici.
chapitre un ∞ cette deuxième moitiéBouges toi on va être en retard. Tu regardais ta cousine en se demandant ce qu'elle voulait, bon d'accord, vous n'aviez qu'un an d'écart et il avait déjà été prouvé que vous vous ressembliez beaucoup. Enfin, qu'elle ressemblait surtout à ta soeur, toi pas tant que cela, mais bon vous étiez les deux dernières à faire votre rentrée à Poudlard. En septième année pour toi et sixième pour la jeune fille, chose qui était assez sympathique, enfin d'après elle, de cette manière elle profitait d'avoir une sorte de grande soeur à l'école. Oui parce qu'elle a toujours pensé que tu la protégeais, sauf que tu ne l'as jamais fait c'était vos aînés en général, toi tu ne t'avançais pas sur ce genre de choses, par conséquent tu préférais éviter cette idée. Comme si tu étais capable de la protéger, il fallait arrêter de rêver.
Oui on sait, on fait attention et on revient avec des notes parfaites. La sixième année attrapa ton bras sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit afin que vous montiez toutes les deux dans le Poudlard Express. Ne laissant pas le temps à vos parents de vous dire au revoir, ce qui n'était pas une perte. Si l'on te qualifiait de jeune fille calme, ta cousine s'avérait être une tempête ou bien un ouragan, le calme avant la tempête d'après vos parents. Tu t'arrêtas au niveau d'une cabine simplement prise par un de tes camarades de maison, qui posa les yeux sur toi, sourire instantané, lorsque celui-ci vit Eileen.
Même pas en rêve ! C'était catégorique, elle t'entraîna de nouveau avec elle sans que tu dises non et elle te fit t'asseoir avec ses camarades, chose qui risquait de t'ennuyer rapidement. Prenant un livre, tu la laissas discuter tranquillement avec ses amies.
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Il te veux quoi ? Tu lèves les yeux en entendant la voix de ta cousine, puis tu suis son regard traînant sur Jon, chose qui te fais sourire. Cela ne la regarda pas d'après toi, alors une réponse risque d'être difficile à avoir tout de même. Elle s'assit en face de toi, sans que tu puisses parler en insistant afin que tu lui parles. Eileen sachant pertinemment que tu as tendance à éviter ce genre de conversation.
On est de la même année, on travaille ensemble pour certaines matières, on est dans la bibliothèque je te rappelle. Elle te regarde comme si elle savait que tu lui cachais quelque chose, éviter cette conversation, tu aurais préféré. Mais elle ne t'en laissera pas le choix, tu la connais trop bien.
Il ne me parle plus. Tu ouvres les yeux en grand pour comprendre de qui elle parle. Elle a du remarquer que tu avais du mal à comprendre l'allusion.
Jon. Tu acquiesces rapidement en lui faisant croire qu'elle n'avait pas besoin de s'explique. Sauf que cela t'avait tout de même servit pour une fois, le fait qu'elle parle un peu trop. Tu ne comprenais cependant pas le rapport, tu n'avais jamais remarqué que leur relation était aussi spéciale par conséquent tu la regardes en haussant les épaules.
Il est distant avec tout le monde ses derniers temps. Tu racontais ce que tu avais remarqué sur le jeune homme, de cette manière elle comprendrait certainement plus facilement.
Sauf toi, il te rejoint souvent en ce moment, je croyais que vous ne vous parliez que dans la salle commune. Il s'est passé quoi entre vous cet été ? Et voilà, tu roulas des yeux, te demandant quand elle poserait cette question là. Elle ne l'avait pas encore fait lorsque tu étais rentrée chez toi de tes vacances chez les Flowers.
Rien, il n'y a rien entre nous. Mis à part le fait que tu tombes peu à peu amoureuse.
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T'imagineras jamais ce que j'ai vu l'autre jour. Tu souris à ta cousine, étrangement, elle trouvait toujours les moments où il s'avérait que tu étais seule, pour que vous soyez tranquille toutes les deux. Alors, que tu lisais un livre d'histoire de la magie, elle l'attrapa et le mit dans ton sac. Chose qui te fit immédiatement soupirer, tu n'avais jamais aimé cette habitude qu'elle avait d'essayer de se débarrasser des choses que tu appréciais.
Tu viens avec moi, toi et non négociable, il faut qu'on s'occupe de ton style. Sans que tu ne puisses dire quoi que ce soit, elle t'emporta avec elle, tu estimais que tu t'habillais assez bien qu'elle n'avait pas besoin de faire ce genre de choses avec toi. Surtout si c'était pour ressembler à une pétasse sans rien dans le crane très peu pour toi à vrai dire. Les toilettes des filles, il y avait plusieurs de ses amies qui vous y attendaient, juste pour toi.
Non. J'ai dis non, tu ne feras pas de moi ta poupée. La moue qu'elle arborait, tu savais pertinemment comment la contrer, elle ne faisait pas peur, pas à toi. Ayant grandi avec cette gamine capricieuse, tu sais à quel moment il faut l'arrêter dans son élan.
Prends une de tes copines, moi c'est hors de question, je n'aime pas ce genre de vêtements, tu le sais. Eileen savait pertinemment que n'aimait pas les jupes, robes et tout ce qu'il y avait dans le genre. La seule jupe que tu voulais bien porter étant celle de ton uniforme parce que c'était obligatoire, elle ne te forcerait pas à en porter d'autre.
chapitre deux ∞ ferme les yeux et imagineEn même temps c'est logique, que Père veuille que tu te rapproches d'un jeune homme de ton âge. Tu regardais ton aînée qui n'avait jamais vraiment eu beaucoup d'estime pour la jeune femme que tu étais. Comme si tu n'avais jamais vraiment fait partie de la famille, c'était le sentiment que les plus âgés de ta fratrie t'avait toujours donné. Qu'ils se fichaient tout simplement de toi, tout comme tes parents, par conséquent le fait que ceux-ci aient décidé de te faire rencontrer un jeune homme t'étonnais. Quelqu'un voulait vraiment savoir ce qu'il allait arriver de toi.
Je connais Jon depuis ma première année, on est ensemble toute l'année, je n'ai pas besoin d'aller chez lui pendant les vacances. Tu l'avais appell par son prénom, chose qui avait étonné tes aînés, cela les fit sourire, tu savais que cela voulait dire qu'ils avaient compris. Et merde, il ne fallait surtout pas que tes parents soient au courant que tu t'entendais déjà avec lui et surtout que tu le trouvais plus ou moins à ton goût, au serdaigle.
Cela sera encore plus facile pour toi, alors. Tu tournes la tête pour essayer d'éviter de croiser le regard d'un de tes aînés, cela serait certainement trop pour toi. Alors, tu compris que ta cousine venait d'arriver, surtout qu'elle s'immisça assez vite dans la conversation.
Jon ? Jon Flowers ? Tu la regardes en la fusillant des yeux, elle continua tout de même.
C'est pas Morrigan qui va lui plaire, elle est trop douce pour lui, il lui faut quelqu'un qui est capable de le remettre à sa place et on sait tous que Morri ne sait pas faire ça. Tu soupiras, elle allait tout gâcher, tu savais pertinemment qu'elle parlait d'elle, de sa personnalité. Tu l'avais bien vu, souvent avec le jeune homme d'ailleurs.
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Assise. Tu soupires en regardant ton paternel en t'étonnant que ta mère soit là également, en général tu as plutôt le droit de supporter ton père seul. Obéissant en t'asseyant sur le fauteuil présent dans le petit salon tu te demandes ce qu'ils veulent de toi.
Peux-tu nous dire ce qu'il s'est passé chez les Flowers ? Tu regardes ta mère, en hésitant, tu ne leur parlerais certainement pas de ta liaison avec le fils de cette famille, préférant éviter les détails. Votre relation est loin d'être assez stable afin que tu lui racontes toute cette histoire, surtout la manière dont il te traitre. Elle estimerait que cela est indigne de ta part de te laisser faire aussi facilement par le jeune homme.
Je me suis rapprochée de Jon, comme vous l'aviez demandé. Tu baissais les yeux, incapable de laisser réellement paraître de ce dont il s'agissait en réalité, il était impossible pour toi de leur dire que tu laissais aussi facilement avoir par le jeune homme.
Il t'apprécie ? Tu acquiesces d'un simple mouvement de tête, pas besoin d'en faire plus, c'était déjà assez.
Tu ne t'es pas montrée mal polie ? Secouant la tête négativement à la question de ta mère tu te demandes où elle voulait en venir, tu avais bien suivi son éducation, ce n'était pas pour être une jeune fille exécrable.
Elisa, je doute que Morrigan serait capable de faire d'entacher notre réputation. Ton père prenait ta défense, la première fois que tu l'entendis faire cela, chose qui t'étonna, tu le regardas et il te sourit.
Notre dernière et certainement celle de nos enfants qui a été le mieux éduquée et elle sait pertinemment ce qu'elle doit faire en société. Ce qu'il disait te faisait sourire, il n'avait jamais parlé de toi de cette manière, alors cela te faisait beaucoup de bien. Surtout qu'il clouait le bec à ta mère, qui elle se fichait complètement de toi, tu le savais pertinemment, elle n'était pas très maternelle et ne le serait jamais.
chapitre trois ∞ les princes charmants Te réveiller à ses côtés était plutôt étrange, pourtant cela te plut beaucoup plus que tu ne l'aurais imaginé. Alors qu'il se leva tu regardas ton amant un instant sans rien dire.
Tu devrais repartir dans ta chambre avant que quelqu'un se lève. Comment gâcher en un instant tout ce qu'il avait construit la nuit passée, tu venais de tout lui offrir et lui, il te remballait. Comme d'habitude après tout, pour toi c'était le prince charmant, sauf que cela n'existe pas et il ne fera que te faire souffrir. Mais tu t'en fiches tu es bien, tu as besoin de lui.
Tu ne veux pas revenir au lit ? Ta plus grande envie était de te blottir contre lui, sauf que tu savais qu'il te repousserait, c'était sa façon d'être, tu es devenu, son jouet préféré en lui offrant ta première fois.
Morrigan tu n'as pas entendu ce que je viens de te dire ? Tu le regardes, sans que lui ne fasse le contraire, cherchant autour du lit tes affaires, tu n'en trouvas pas. Alors, tu pris sa chemise que tu mis sur le dos. Tu t'approches de lui un instant, mais t'arrêtes à deux pas du jeune homme qui se retourne vers toi.
Tu es encore là ? Tu n'auras donc pas le droit à ton dernier baiser. Pauvre petite fille qui vient de perdre la chose la plus précieuse que tu possédais, ton amour propre, il vient de te le prendre. Léger sourire et tu quittas sa chambre comme il le demandait, sous son regard insistant.
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Toi avec moi. Sans que tu ne puisses réagir tu te retrouvas collée au mue avec des lèvres contre les tiennes. Il tenait tes mains dans les siennes, tu ne pouvais donc t'empêcher de sourire. Il ne faisait que très rarement ce genre de choses alors que tout le monde pourrait vous voir. Il arrêta cependant de t'embrasser, bien trop tôt d'après.
Ta cousine est une garce. Il parlait de Eileen bien évidemment, tu aurais préféré qu'il ne le fasse pas, mais il fallait que tu supportes ce genre de choses tant qu'il voulait bien de toi. Tu savais pertinemment qu'elle l'était, mais tu t'en fichais tu l'embrassas de toi-même, sauf qu'il te repoussa en t'appuyant contre le mur, te tenant fermement.
Tu n'as rien à dire à propos de ça ?Tu haussas les épaules que voulait-il que tu lui dises de plus après tout ? Comme si quelque chose que tu savais pourrait l'aider. Eileen avait beaucoup plus de faculté que toi de se faire apprécier des jeunes hommes, c'était aussi simple, toi tu ne savais pas y faire. Hormis peut-être te laisser avoir aussi facilement.
Elle pense que tu l'évites, c'est tout ce que je sais, elle n'a pas vraiment supporté le fait que tu aies passé tes vacances avec moi. Et ce n'était pas à toi qu'elle en voulait mais à lui, chose qui te faisait du bien. Tu ne pouvais pas te permettre de perdre ton alliée, ta meilleure amie, la seule personne qui te connait suffisamment bien pour savoir ce que tu penses sans parler.
Tu n'as rien de plus qu'elle, elle te devrait le savoir non ? Prends toi ça, Morri. Tu le regardas, sentant tes larmes venir, il ne fallait pas que tu pleures, pas devant lui, hors de question. Tu le repoussas d'un coup, chose qui t'étonna autant qu'à lui.
Tu n'as qu'à jouer avec elle, je suis certaine que vous formeriez le couple parfait.» Il t'avait vexé sans même s'en rendre compte. Ramassant ton sac, tu le laissas planté dans le couloir, une fois dos à lui tes larmes perlèrent sur tes joues.
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Sans rien dire tu t'assis aux côtés d'une des camarades de ton année qui était à serpentard. Sachant pertinemment qu'elle ne te dirait rien étrangement entre vous, il y avait une sorte d'amitié assez spéciale qui s'était installée. Chose qui ne te dérangea cependant pas pour autant, même si tu avais fait le larbin pendant quelque temps pour elle, maintenant cette époque était révolue. Vous vous entendez même plutôt bien en ce moment. Elle a également remarqué le rapprochement avec son frère jumeau que tu ne sais pas vraiment comment gérer. Le fils Glister pour toi était une énigme, tu restais assez méfiante avec lui, surtout lorsque l'on connait ses habitudes avec les filles. Tu n'avais pas vraiment envie d'être l'une de ses conquêtes à qui il piétinait le coeur. Jon le faisait suffisamment bien, pour qu'un autre jeune homme s'y mette à vrai dire, par conséquent tu restais méfiante avec lui. Chose que sa jumelle trouvait étrange, Corra quant à elle a tendance à tenter de te pousser vers son jumeau. Ce qui t'étonnes puisque tu vois bien qu'en général elle jalouse des filles qui peuvent l'approcher. Et oui tu as le sens de l'observation, il t'emmènera certainement très loin par la suite, mais tu ne cherches pas à t'en servir ses derniers temps. Tes ambitions restant au fond de ta malle, tu préférerais travailler cette année, plutôt que te laisser avoir par les garçons. Cependant, tu cherches encore et toujours ton prince charmant, alors le trouveras-tu avec l'un des deux jeunes hommes qui te tournent autour ?