NOM(S): Denthworth PRÉNOM(S): Iris Sara AGE: Dix-sept ans LIEU DE NAISSANCE: Weithmooth, en Angleterre STATUT CIVIL: Célibataire ANNÉE D'ETUDE: Septième année. MAISON : Gryffondor STATUT FINANCIER: Modeste GROUPE: Gryffondor   STATUT DU SANG: née-moldue EPOUVANTARD: Le rejet de sa famille à cause de sa condition de sorcière PATRONUS: Colibri AMORTENCIA: L'odeur de la pluie sous les orages, du thé fumant à la bergamotte et de la violette. BAGUETTE MAGIQUE: écrire ici. SORT FAVORI: Chauve-Furie

Ton caractèreDrôleTimideLoyaleMaladroiteGénéreuseImpulsiveDéterminéeInconsciente

Mon combat, ma famille : On l'aura compris, la famille est tout pour la jeune lionne qui n'hésite pas à rabattre le caquet à quiconque s'en prendra aux siens. Très protectrice, elle ne passe pas une seule semaine sans leurs écrire et s'empresse toujours de répondre à leurs missives, surtout celle de sa grande sœur Astrid. ✜ Raffole du sucré. Si bien que tout ce qui est à base de chocolat ou de vanille se voit être rafler par la demoiselle sans même qu'on ne s'en rende compte. Ashley la prend d'ailleurs souvent la main dans le sac lorsqu'elle tente de lui substituer son muffin en douce le midi. Quelle torture de le voir traîner dans son assiette en attendant que son amie n'ait digéré pour le manger. ✜ Contre toute attente, Iris a eu du mal à s'intégrer à Poudlard et au monde magique et a même pensé retourner chez les siens, dans le monde moldu jusqu'à sa seconde année. Toute cette nouveauté la déstabilisait tout en l'intriguant et lui faisant peur. Pourtant aujourd'hui, l'effet inverse se matérialise et Iris souhaite que sa dernière année dure éternellement. ✜ En effet, la demoiselle a peur du monde adulte et des clashs que cela va entraîner. Soyons honnêtes, les amitiés ne durent guère en dehors de l'internat. On se voit moins, on se parle moins et puis on finit par s'oublier. Etre seule la toujours terrifiée, encore plus avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête. ✜ Allez savoir pourquoi mais la demoiselle a une peur terrible de l'abandon. D'être seule. Elle ne cherche pas pour autant à être le centre de l'attention : elle ne le supporte d'ailleurs pas. Mais savoir qu'on a de vrais amis sous la main pour sortir ou en cas de pépin la rassure énormément. ✜ C'est d'ailleurs pour cela qu'Iris a énormément peur de l'amour. Cette chimère dont on parle dans les contes de fées dictant ses propres gestes et mots aux êtres soit-disant élus. En attendant, si l'amour existait véritablement, il n'y aurait pas autant de divorce et les avocamages feraient faillite. Non, l'amour n'est qu'une chimère et se doit de le rester. Imaginez-vous si quelque chose de surnaturel et d'invisible vous poussait à devenir quelqu'un d'autre. L'horreur ! ✜ Coatch de la vie quotidienne, Iris est assez connue chez les septième année pour ses bons conseils. Il n'y a qu'Ashley, sa meilleure amie, pour lui lancer fréquemment sa fameuse réplique : "Mais pourquoi tu ne fais jamais çà, toi ?!" Oui et bien pour vivre heureux mes agneaux, vous avez intérêt à faire ce que je dis et non pas ce que je fais ! ✜ Vivre dans une famille nombreuse et animée vous apprend une chose : savoir écouter, être discrète (pour ne pas se prendre les punitions des autres) et surtout : revendiquer haut et fort que vous avez raison. Ce n'est pas que la demoiselle est capricieuse ou hautaine mais seulement têtue. Vous savez, comme ses béliers qui ont tendance à vous foncer dessus parfois. La même en blonde ! C'est qu'elle peut être bornée lorsqu'elle est déterminée la Denthworth !

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PSEUDO/PRENOM : Cherrioz ÂGE : Vingt-cinq ans COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? par PRD. Maintenant que ca va être les vacances, j'ai plus de temps. QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Très joli design et mise en page ! FRÉQUENCE DE CONNEXION : Environ tous les jours ou au minima trois fois par semaine. MOT POUR LA FIN :   .

« Dans mon monde a moi, il y a des licornes vertes qui se baladent sur un arc-en-ciel ! » clama une petite voix innocente, fièrement. « Pffff ! Espèce de gros bébé, tu rêves encore les yeux ouverts ! » pouffa une jeune fille de sept ans en se tordant sur son lit. A ses pieds, une fillette blonde ouvrit un œil avant que ses lèvres ne forment une moue boudeuse et qu’elle ne finisse pas croiser bras et jambes en forme de contestation. « C’est pas vrai d’abord ! T’as pas de n’imagination ! T’es trop grande, tu crois plus ! » se défendit la petite tout en conservant sa mine boudeuse ce qui fit d’autant plus rire son aînée. « Et croire à quoi ?! » demanda-t-elle en tentant de contrôler son fou rire, une nouvelle fois. La petite blondinette ouvrit alors aussi grand les yeux que les bras, menaçant de tomber à la renverse par son entrain, alors qu’elle s’exclamait : « Mais en la magie des fées ! Comment tu crois qu’on va pouvoir rejoindre le monde de Peter Pan, toi, sinon ?! » L’éclat de rire de Maggie fut tel qu’il entraîna Mr Denthworth au premier étage, entrant en trombe dans la chambre des filles pour s’assurer que tout allait bien. « Papa, Maggie ne veut pas croire en la magie des fées ! » se plaignit la petite fille en pointant son horrible sœur qui osait se moquer d’elle ouvertement. « Parce que ca n’existe pas, bécasse ! » continua-t-elle sur la même lancée. « Maggie, arrête de te moquer de ta sœur voyons. » demanda Mr Denthworth dans un sourire condescendant. « A chaque fois que tu ris de la magie des fées, une fée meurt ! Tu fais un gémonide de fées ! » S’exclama la petite blonde en mettant ses poings tout serrés contre ses hanches et faisant mine de se relever. Elle fut pourtant réceptionnée au passage par son paternel qui l’assit sans effort sur le lit, se plaçant entre les deux fillettes. « Génocide, Iris. Pas gémonide ! » le corrigea-t-elle en tentant de masquer ce petit sourire moqueur alors que Maggie s’extirpait du lit, toujours en riant, afin d’aller aider sa mère à cuisiner comme elle venait de le demander. « Tu ne dois pas en vouloir à ta sœur, Iris. » « Mais papa, elle s’est moquée des fées, c’est très grave ! » commença-t-elle à s’emporter, telle une poupée en détresse. « Elle a juste grandi, Iris. Elle croit en d’autres choses maintenant. » lui expliqua-t-il avec tendresse. « Comme à se maquiller comme Maman en débordant de partout ?! » Question innocente d’une enfant innocente. « Oui, mon ange ! Comme ressembler à une sorcière un soir d’Halloween. » plaisanta-t-il avant de donner une petite tape sur l’épaule de sa fille pour l’encourager à aller aider sa mère à son tour, ce à quoi la petite fille ne se fit pas prier.

Voici comment l’ambiance chaleureuse régnait au 256 Hammond Avenue. Élevant leurs deux filles dans les valeurs chrétiennes de charité et de compassion, Edouard et Mona Denthworth sont deux moldus complètement ignorants du monde magique en-dehors des contes pour enfants qu’ils racontaient le soir auprès des filles. C’est ainsi que leur surprise fut de détail lorsqu’ils découvrirent entre-temps que leur petite cadette présentait quelques problèmes à l’école. De nature enjouée, souriante et chaleureuse, ils ne s’attendaient pas à ce qu’Iris ait du mal avec ses petits compagnons. Les maîtres d’écoles les appelaient pour rapporter des faits étranges auxquels on n’avait pas prêté attention auparavant et la petite Iris dû changer d’école primaire, une fois. Néanmoins, en-dehors de ce petit « incident », l’enfance de la demoiselle était tout aussi joyeuse que pouvait l’être celle d’une enfant. A cause de ces événements étranges dont on l’accusait à tort – car Iris était certaine de ne pas avoir poussé la chaise de son camarade pour qu’il tombe au sol alors qu’il se moquait allègrement de Sam car il était roux – la cadette des Denthworth s’assagit sans pour autant devenir introvertie. Elle ne voulait juste plus être prise pour cible de moqueries ni même qu’on ne l’a traite de nouveau de menteuse. S’il y avait bien une chose contre laquelle la petite Iris se battra toujours, c’était bien ce mensonge éhonté ! Cependant, ce fut à cause de cet épisode traumatisant pour une enfant de huit ans qu’aujourd’hui Iris n’aime guère être mise de côté comme si on l’évitait. Ne souhaitant pas non plus être le centre d’attention, elle aspire seulement à trouver de vrais amis qui apprendront à la connaître et l’aimer pour elle. Alors, elle tentait de se tenir à carreau… mais n’arrivait pas à arrêter de faire des grimaces derrière le dos de son maître d’école lorsqu’il prenait sa voix grave comme pour annoncer la fin du monde alors qu’il ne s’agissait que du rendu de copies. Non, les Denthworth n’étaient vraiment pas préparés pour ce qui allait arriver…

Deux années plus tard, une étrange lettre fut découverte dans la boite aux lettres d’Edouard et Mona Denthworth. Pensant à une mauvaise plaisanterie faite à leur fille en vengeance car certains se moquaient d’elle comme il est si courant à ces âges-là, ils jetèrent la farce aussi prestement qu’elle n’était apparu. Et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’Iris ne tombe sur un étrange Monsieur en sortant faire du vélo. C’est alors que les Denthworth apprirent l’existence du monde magique… et ne surent ni comment le prendre, ni quoi faire. Assise sur le canapé entre ses parents, la petite Iris avait des paillettes dans les yeux – pensant alors qu’elle pourrait réellement rencontrer des fées – mais n’osait pas lever les yeux vers ses parents de peur d’être rejetée. Après tout, elle était… « différente ». Or, ses parents prirent bien la nouvelle et furent même contents de savoir que leur fille n’était pas une enfant à problème mais bel et bien d’un genre nouveau. Seule Maggie eut quelque peu du mal mais elle ne fit la tête que durant deux longues semaines.

Poudlard, ah Poudlard ! Si Iris n’était pas à l’aise lors de ses premières années – le mélange entre les deux mondes fut difficile à s’accommoder pour la gamine qui ne savait si elle était normale ou… sorcière (problème sur la définition de normalité) – aujourd’hui, le malaise est passé et la gryffondorienne se revendique entièrement sorcière. Adolescente classique, Iris ne fait que très peu de vague au château. Elève assidue mais un peu dissipée, elle ne peut cependant rivaliser avec MacLane qui amuse si bien la galerie. Ils auraient pu être amis, comme bon nombre de gryffondoriens ensemble, cependant allez savoir pourquoi, ce n’est pas tout à fait le cas. La cause en est simple : Iris a quelque peu du mal à s’habituer à la grosse tête de MacLane. Toujours à devoir la ramener et faire son intéressant. Or, Iris s’amuse à l’ignorer, voyant très bien que cela l’embête. Quoi ?! Ne la regardez pas comme çà. Ce n’est pas comme si ses piques étaient si méchantes que cela. Allez donc voir ce que disent les serpentards sur son compte ou bien celui de la demoiselle… vous en faire rougir vos oreilles ! En attendant, Iris arpente parfois les couloirs de l’école avec nostalgie, guettant le moment où elle devra quitter ses lieux ainsi que toutes les personnes l’accompagnant au quotidien.

Dès votre troisième année de votre scolarité vous devez choisir deux matières optionnelles aux choix parmi celle ci dessous. Veuillez mentionnez les vôtres dans ce sujet. Nous pouvons refuser votre premier choix s'il y a déjà trop d'élèves dans cette option.

Arithmancie
C'est une branche de la magie qui concerne les propriétés magiques des nombres. Elle est décrite comme une matière très difficile, qui requiert d'importants efforts de mémorisation et des calculs compliqués.

Arts et musique magiques
Contrairement aux arts et à la musique moldus étudiés en cours d'étude des moldus, il s'agit ici de l'étude d'arts sorciers. Les cours consistent en l'étude d'artistes (écrivains, musiciens, peintres, photographes ou encore sculpteurs) sorciers et de leurs œuvres. On y apprend également l'art de donner vie aux personnages des tableaux et des photographies.

Divination
C'est l'art de prédire le futur. Plusieurs méthodes sont décrites, parmi lesquelles lalecture des feuilles de thé, les boules de cristal, la chiromancie, la cartomancie (dont le tarot), l'astrologie et l'interprétation des rêves. Les adeptes de ce domaine affirment qu'il s'agit d'une science inexacte qui requiert des dons innés, tandis que ses détracteurs considèrent la matière comme superfétatoire et mensongère.

Étude des Moldus
Le cours consiste à étudier les Moldus « du point de vue des sorciers » : leur culture, leurs technologies…  Ce cours est devenu obligataire – temporairement – durant le règne de Voldemort. A cette époque, les moldus et les nés-moldus sont dépeints comme des êtres inférieurs aux sorciers, presque sous-humains.

Étude des Runes
C'est une matière principalement théorique, consistant en l'apprentissage, la lecture et la traduction de l'alphabet runique. c'est une matière difficile, qui demande beaucoup de concentration.

Soins aux créatures magiques
Les cours de soins aux créatures magiques se déroulent en dehors du château – le plus souvent dans le parc de Poudlard, quelquefois dans la forêt interdite. Le cours consiste en l'étude des diverses créatures magiques : leur aspect (être apte à les reconnaître), leur mode de vie, leur lieu de vie, leur nourriture, etc. Les élèves apprennent parfois comment s'occuper de certaines créatures, les soigner ou les décrire. Ce cours comporte beaucoup de pratique.

Matière 1: Etude des Runes
Matière 2: Soin aux créatures magiques 

Il va être dorénavant obligatoire pour tous les études de Poudlard de mentionner vos résultats dans les matières qui s'afficheront dans les feuilles de vos personnages.

Les notes dans l'univers Poudlard:

O -> Pour Optimal
E -> Pour Effort Exceptionnel
A -> Pour Acceptable
P -> Pour Piètre
D -> Pour désolant
T -> Pour Troll


Parmi les matières à Poudlard:

B.U.S.E.S d'Iris Denthworth :

- Astronomie A
- Botanique A
- Défense contre les forces du mal E
- Potions E
- Histoire de la magie P
- Métamorphose E
- Sortilège O
- Vol sur un balai P
- Études des Runes A
- Soins aux créatures E

Vous devez faire ce choix le plus rapidement possible et il ne sera plus possible de changer après sauf exception avec accord du staff. Nous vous rappelons que c'est obligatoire. De plus le staff validera votre choix pour pas qu'on ait des super-héros et c'est lui même qui le mettra dans votre profil.