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| Sujet: amoredia ✽ fade to black. Ven 14 Juin - 21:53 | |
| amoredia meredith DARKWOOD | | | Âge & Date de naissance : elle est née le jour de la fête des amoureux en deux mille cinquante-et-un, elle est âgée de dix-sept ans.
Groupe souhaité les ambitieux et rusés serpentard.
Lieu de naissance: elle est née à londres, capitale de l'angleterre.
Situation sentimentale: célibataire et libre comme l'air, du moins officiellement. parce que son coeur en dit tout autrement.
Baguette: sa baguette a été taillée dans du bois d'orme, mesure vingt-sept centimètres et possède en son coeur un crin de licorne. raide et peinte de vernis noir, elle est idéale pour les sorts qui permettent de l'application et du temps.
Epouvantard Il représente un serpent géant qui ressemble étrangement à nagini, le cher et tendre animal de compagnie de feu lord voldemort.
Avatar nina cutie dobrev, pour une fois que je peux la jouer !
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C A R A C T E R E |
C’est simple : avec Amoredia, ça passe ou ça casse. Cette fille soit on l’aime, soit on la déteste. D’ailleurs, généralement, on la déteste plus que ce qu’on ne l’aime. Rassurez-vous, elle aussi se déteste au fond. Prétentieuse, hautaine, elle fait passer ses intérêts avant celui des autres pour s’assurer son petit confort. Tant qu’elle est heureuse et qu’on la respecte, qu’on l’envie … Alors tout va bien. Qu’importe que les gens soient malheureux, ce n’est pas son problème. D’une ambition sans faille, elle est prête à tout pour gravir les échelons de la gloire et n’hésite pas à se servir des autres et les écraser pour y parvenir. On lui a toujours appris à agir ainsi, pas étonnant qu’elle n’ait pas perdu cette mauvaise habitude. Moqueuse et sarcastique, il est difficile de discuter avec Amoredia sans s’exposer aux critiques. Si on peut lui reconnaître une qualité tout de même, c’est qu’elle le fait toujours par devant : jamais ou presque elle ne critique dans le dos de quelqu’un car elle assume pleinement ce qu’elle dit et pense. Sa sûreté insolente est dérangeante : quoi qu’on dise ou fasse, rien ne semble l’atteindre. Pourtant, Amoredia est bien plus fragile qu’elle n’en a l’air. Eternelle susceptible, elle encaisse mal les critiques même si elle le garde pour elle. Elle ne supporte pas d’être faible devant les autres et évite au maximum de se dévoiler. Cela témoigne aussi d’un cruel manque de confiance envers son entourage qu’elle manipule pour le garder près d’elle. Si peu certaine d’être aimée de ceux qu’elle aime vraiment, Amoredia est obligée d’être belle et cruelle avec eux pour ne pas les perdre. Si ça marche jusqu’à présent, ça ne l’empêche pas de se sentir terriblement seule. Par ailleurs, elle a toujours été sensible aux histoires d’amour ratées de sa vie. Elle affirme haut et fort qu’elle ne s’intéresse pas à ces trucs là, mais son cœur dit une toute autre chose. Parce qu’au fond, Amoredia est juste une adolescente comme une autre, qui a été élevée à la dure et cherche à atteindre le sommet. |
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H I S T O I R E | On se demande parfois ce qu’aurait été notre vie si on était né ailleurs, dans une autre famille, à une autre époque. On se demande si on aurait été plus heureux, plus aimé, plus riche, plus beau, quel genre de personnes on aurait côtoyé. On se surprend à rêver d’une autre existence à laquelle on n’aura jamais droit, une existence illusoire qu’on pense vivre la nuit dans nos songes les plus secrets. On ferme les yeux, on se coupe du monde dans lequel on évolue pour devenir souverain d’un univers fantastique dans lequel on contrôle tout, dans lequel on a tout ce que l’on veut. Alors le matin on ouvre de nouveau les yeux et on subit notre existence avec tous les défauts qu’elle comporte, on se demande pourquoi nous et pas un autre. Pourquoi on vit ? Pourquoi on meurt ? Pourquoi on rit ? Pourquoi on pleure ? Pourquoi, pourquoi, tant de questions auxquelles on ne répond jamais. Toute sa vie on part en quête d’un grand Peut-être, toute sa vie on se demande si on a fait les bons choix, si malgré le fait qu’on n’ait pu choisir l’endroit où l’on naît et l’on grandit, on peut quand même choisir où l'on va. L'humanité souffre et je souffre avec elle.
« Comment s’appelle cette jolie créature ? » susurra la femme au teint cireux en observant le bébé aux yeux couleur chocolat qui poussait des petits cris en secouant les bras, l’air contrarié. « Nous l’avons appelée Amoredia. » répondit la femme en caressant la joue de l’enfant du bout des doigts. « D’ailleurs Meredith, nous aimerions que tu en sois la marraine. Son deuxième prénom est semblable au tien. » ajouta son époux en passant un bras autour de la taille de Madame Darkwood. La sorcière répondant au nom de Meredith gloussa et frappa dans ses mains, visiblement ravie, ou faussement contente de pourvoir ce titre. Durant tout le mois de février, sorciers et sorcières de la haute bourgeoisie se pressèrent au manoir Darkwood pour célébrer l’arrivée d’une nouvelle sorcière dans la communauté. Il était triste de constater qu’à peine après avoir ouvert les yeux, la petite Amoredia avait une vie déjà toute tracée : elle épouserait un autre sorcier aussi noble qu'elle, vivrait dans un manoir tout aussi sombre que celui de ses parents, haïrait les Sang-de-Bourbe, nagerait dans l’argent … Oui, c’était à peu près la vie qu’on lui prêtait déjà. Et chacun semblait s’en extasier, et elle se contentait de gigoter et de pleurer, et de rire, et de manger, ne comprenant pas que son avenir n’avait rien d’excitant. Qu’il serait difficile. Et triste. Et qu’elle regretterait parfois d’être née à cet endroit-là à ce moment-là, même si ça elle ne l’avouerait jamais. Car si Amoredia Darkwood était née dans une famille différente, serait-elle celle dont tout le monde dit d’elle qu’elle est une peste, une garce, une pauvre fille haïe et enviée de tous ? Les gens la détesteraient-ils comme ils la détestent ? Et elle, serait-elle obligée de détester les autres ? « Une future Serpentard, comme ses parents. Félicitation. » déclara un Mangemort proche de leur famille en serrant la main de Monsieur Darkwood, tandis que leurs femmes respectives s’enlaçaient. Le destin des Darkwood et des Mangemorts était irrémédiablement lié. Amoredia plaqua sa main sur sa bouche, ne pouvant plus s’arrêter de tousser. De grosses larmes coulaient de ses yeux rougis, elle frappait sur la porte de sa chambre avec sa main libre, suppliant qu’on vienne lui ouvrir. La fumée épaisse l’étouffait, lui arrachait les poumons, lui faisait tourner la tête. « Papa, maman ! Je vous en supplie ! » La chaleur était suffocante, elle ne pouvait plus supporter ça une seconde de plus. Elle tomba à genoux en se tenant la gorge. Sa dernière pensée fut que mourir, ce n’était pas drôle. A ce moment-là, la porte vola en éclat et un bras puissant la souleva, tandis que tout disparaissait autour d’elle. La petite fille passa plusieurs jours à Sainte-Mangouste, on la traita pour intoxication à cause de la fumée. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? » murmura-t-elle en serrant la main de son père dans la sienne. Ce dernier sourit un instant. « Tu as eu ta première révélation magique Amoredia, ce n’est pas grave. L’essentiel, c’est que tu ailles bien. » Son père lui témoignait rarement son inquiétude. Elle ne sut pas si elle devait être heureuse d’être en vie, d’avoir des pouvoirs comme ses parents, de savoir que son père l’aimait … Ou malheureuse que sa mère coupe court à toute discussion en lâchant un : « En attendant tu as ruiné tout le second étage du manoir. Bravo, franchement. » agressif et agacé. Durant les jours qui suivirent, ses amis sorciers de son âge vinrent la voir. Debout sur son lit, vêtue de sa petite robe d’hôpital, Amoredia relatait ses aventures de façon héroïque, déclarant qu’elle avait tenté en vain de sauter par la fenêtre mais que sa route avait été barrée par une gigantesque flamme. Les filles la regardaient avec de grands yeux, fascinées. Et Hemingway, lui, se contentait de lire le magazine de mode posé sur sa table de chevet. « Hé Jaxon, tu m’écoutes ? » s’exclamait-elle, vexée. « Ouais ouais. » se contentait-il de répondre, avant de se plonger de nouveau dans sa lecture.
« Darkwood ... lança la voix inquisitrice de la Directrice. Amoredia fit un pas en avant, mais fut coupée en plein élan, ... Mélissandre. » Amoredia se figea sur place, observant la fille qui avançait vers le tabouret. Sa mâchoire se décrocha. Comment cette fille pouvait lui ressembler autant et porter le même nom qu'elle ? « C'est marrant, on dirait presque des jumelles. » lança Jaxon en enfonçant ses mains dans ses poches, l'air las. Contrairement aux autres, il ne les dévisageait pas tour à tour. Elle fut envoyée à Gryffondor et vint le tour d'Amoredia. « Darkwood Amoredia. » La demoiselle s’avança d’un pas confiant vers le Choixpeau magique, sachant déjà où elle irait avant même qu’on le lui dise. Au fond, elle appréhendait quand même : et si jamais elle était envoyée ailleurs, dans une autre maison ? Est-ce que ses parents et ses amis lui en voudraient ? Le vieux bout de tissu fut posé sur sa belle chevelure d’ébène et la sentence ne tarda pas à tomber : « Serpentard ! » Un sourire ravi illumina son visage et elle sautilla gracieusement jusqu’à la table des vert et argent, sous un tonnerre d’applaudissement. Amoredia adorait qu’on lui accorde autant d’importance, qu’on la regarde. Elle tenait ça de sa mère, il fallait croire. Elle s’assit à côté des élèves de sa maison, surexcitée. Parce que son arrivée à Poudlard fut comme une seconde naissance pour cette petite, terrifiée par sa mère qui la méprisait et l’élevait rudement et strictement, pourrie jusqu’à la moelle à onze ans à peine par le désir de pouvoir, de perfection, par l’argent. C’était devenu son principal but, dans la vie. Or à Poudlard, elle pourrait redevenir, momentanément, l’enfant qu’elle n’avait pas été. « Jaxon à Gryffondor ... Jaxon à Gryffondor ... J'arrive pas à le croire. » marmonna celle qu'elle considérait comme sa meilleure amie. Pansy se tourna vers elle et posa ses poings sur ses hanches. « C'est n'importe quoi tout ça ! D'abord cette fille qui me ressemble tellement que tout le monde pense qu'elle est ma jumelle et porte le même nom que moi, maintenant Jaxon qui va à Gryffondor ! Il peut pas aller à Gryffondor, ce sale traitre ! » Ses amis hochèrent la tête et éclatèrent de rire. Bon d’accord, Amoredia ne serait peut-être pas aussi innocente qu’elle aurait voulu l’être. Pouvait-elle vraiment le devenir ? Non, il était trop tard. Chaque parcelle de son être semblait atteinte par le vice de ce monde, et la grande part d’humanité en elle était bien enfouie dans son cœur et dans son esprit. L’amour, l’amitié, tout ça la détruirait. Oui, un jour, Amoredia ne serait plus bourreau mais victime.
Amoredia était recroquevillée sur le canapé et fondit en larmes. Deux Serpentard donnaient des tapes amicales sur son épaule, l’air gêné. Toutes deux étaient ses meilleures amies, même si on répétait partout qu'elle n'était qu'une hypocrite et qu'elle les détestait. Or les demoiselles ne savaient absolument pas comment calmer la brune qui sanglotait depuis le début de la soirée. « Bon Amor, faudrait peut-être nous dire ce qu’il y a … » bougonna l'une d'elle, qui commençait légèrement (voire beaucoup ?) à perdre patience. Très mauvaise idée. La demoiselle se moucha bruyamment et releva ses yeux rougis vers ses amies, avant d’exploser : « Qu’est-ce qu’elles ont de plus que moi ces filles, hein ?! » Le silence se fit dans la salle commune des vert et argent, et tous décidèrent de fuir avant de subir le courroux de Miss Darkwood. « Je veux dire, regardez moi : je suis la reine des Serpentard, tous les garçons me veulent et je suis pas une attardée mentale ! Et à quoi j’ai droit ? Rien ! » Elle faisait de grands gestes théâtraux et les filles suivaient davantage ses bras des yeux qu’elles ne faisaient attention à ce que disait Amoredia. De toute façon, pour elles, ça n’avait aucun sens. Alors elle se mit à parler de Jaxon Hemingway, ce sale traitre parti à Gryffondor. Tous deux étaient extrêmement proches autrefois, même si Jaxon avait toujours donné l'impression d'être distant. Amoredia ne se faisait pas d'idée, ils étaient réellement amis. Jaxon, peu démonstratif, préférait garder sa tendresse et sa confiance pour les cas d'extrême urgence. Lorsqu'il avait été envoyé à Gryffondor, Amoredia fut si choquée qu'elle considéra ça comme une trahison et malgré les années elle ne réussit pas à s'en remettre. Le pire qui pouvait arriver, c'était voir ces filles autour de lui et d'être impuissante. Jaxon LUI appartenait, à elle et personne d'autre. Alors pourquoi était-il même plus proche de cette garce de Mélissandre que d'elle ? C'était tout bonnement insupportable. « Pense pas à ça chérie, c'est un idiot, point. C'est quoi cette histoire à propos de Mélissandre dont tu voulais nous parler, aussi ? Je vois pas le rapport entre les deux. » Amoredia acquiesça, avant de se calmer totalement. « Je vais vous raconter. »
« Alors, ça vous amuse de m'avoir menti toutes ces années ?! » hurla Amoredia à l’adresse de sa mère, avec qui elle se disputait depuis un moment déjà à ce propos. Mais visiblement, cette fois, elle était allée beaucoup trop loin. Elle avala sa salive avec difficulté et fronça les sourcils en la voyant s’approcher d’elle d’un pas lent, pas certaine de ce qui allait se passer. Quand la main de sa mère s’abattit violemment sur ses deux jours, Amoredia bascula et se cogna la tête contre l’armoire. « Ne me parle plus jamais sur ce ton Amoredia Darkwood. Tu m’entends ? Plus jamais. » La demoiselle hocha vigoureusement la tête et se réfugia dans ses draps. Elle n’en sortit que lorsque l’elfe de maison vint la chercher pour qu’elle se prépare. « Mélissandre et sa famille sont là, il faut vous habiller et descendre. Sinon votre mère va se mettre en colère. » dit la créature avec bienveillance. Amoredia la foudroya du regard et répliqua : « Ne me dis pas ce que j’ai à faire. Je n'ai aucune envie de la voir ! » Seuls les adultes parlaient, les enfants, eux, se taisaient. En fait, Amoredia ne savait pas si elle était plus blessée qu’on lui apprenne à son âge qu'elle avait été séparée de sa soeur jumelle à la naissance parce que son oncle et sa tante ne pouvaient pas avoir d'enfants, ou le fait qu’elle semble totalement dégoutée d'être la soeur d'Amoredia Darkwood. Parce que oui, Mélissandre la regardait d’un air froid, voire légèrement distant, comme on regarderait un truc bizarre. Quand elles eurent l’occasion de se retrouver seules toutes les deux, elle pointa un doigt accusateur vers sa jumelle. « Au risque de te briser le cœur, je dois quand même t’annoncer que je me fiche éperdument de toi, et ne compte même pas te considérer comme ma soeur ! » Elle haussa les épaules et détourna le regard, peut sensible à ses menaces. « Ok. » répondit-elle simplement. Amoredia écarquilla les yeux. « Quoi, ok ? C’est tout ?! » s’écria-t-elle. Elle hocha la tête. « Je ne compte pas considérer comme ma soeur jumelle une fille méchante et sans pitié, morte de jalousie parce que son amoureux me préfère à elle. » Il fallut venir les séparer, sinon Amoredia l’aurait sans doute tuée. Durant les deux années qui suivirent, les choses ne changèrent pas. Pas du tout. Amoredia continuait de foudroyer Melissandre des yeux quand elle la croisait, elle continuait d’entraîner ses meilleures amies dans des plans foireux, continuait de coucher avec des garçons dans l’unique but de rendre Jaxon jaloux, continuait d’obtenir de bonnes notes, d’avoir peur de sa mère. La jeune fille refusa de retourner chez elle pour les vacances de noël, terrifiée à l’idée de voir sa génitrice. Elle ne supportait plus sa présence, sa voix, tout l'agaçait. Et elle en voulait terriblement à ses géniteurs de lui avoir menti, de lui avoir caché l'existence de Melissandre. Amoredia était sans conteste la fille la plus populaire de Serpentard, et pourtant elle se sentait plus seule que jamais. Elle avait également peur à l’idée de quitter l’école, il ne lui restait plus qu’un an. Sept ans de sa vie qui partiraient en fumée. Sept ans, dont il faudrait tourner la page. Ses plus belles années, l’époque où elle avait vraiment compris ce que signifiait exister. Pourtant, les choses n’étaient plus les mêmes à Poudlard. La paix qui avait durement été gagnée par Harry Potter semblait basculer de nouveau, et autour d'elle, les Mangemorts s'agitaient ...
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V O U S . . . | Pseudo: Alaska pour vous servir (a)
Depuis quand êtes vous sur des forums RP? J'en fais depuis que j'ai onze ans, il y a donc plus de sept ans aujourd'hui ! Je suis une habituée du genre !
Avez vous des commentaires? Remarques? J'aime bien le contexte, le design ... Même si il gagnerait à être plus travaillé au niveau du codage et notamment celui du profil ! J'espère que ce forum va marcher ! J'espère aussi que les modèles de scenario arriveront bientôt (a)
Etes vous un double compte? Non, pas encore ! La prochaine fois, je ferai un mââââle héhé.
Age: Dix-huit piges, tu piges ?
Ou avez vous connu le forum? Grâce un top-site m'dame !
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© Devin is Pedantic at ATF. |
Dernière édition par Amoredia Darkwood le Sam 15 Juin - 18:34, édité 14 fois |
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