♦ NOM(S): Mcgrégor. ♦ PRÉNOM(S):Callie parce que ses parents aimaient l'originalité et Rose parce que la grand-mère de Callie s'appelait ainsi. ♦ AGE: vingt-huit années. ♦ LIEU DE NAISSANCE:Arizona ( Etats-Unis) . ♦ STATUT CIVIL: Divorcée. ♦ MÉTIER :professeur de botanique. ♦ EX-MAISON:Poufsouffle ♦ STATUT FINANCIER: aisé. ♦ GROUPE: professeur.  ♦ STATUT DU SANG: mêlé ♦ EPOUVANTARD:Chauve souris ♦ PATRONUS: Dauphin ♦ AMORTENCIA: Fraise et l'odeur de la mer . ♦ BAGUETTE MAGIQUE:Vingt-cinq centimètres bois d'hêtre ventricule de dragon. ♦ SORT FAVORI: assurdiato

   Ton caractèreTêtueFrancheCurieuseRancunièreAdaptableImpulsiveGénéreuseColérique

   Elle se pince les lèvres quand quelque chose l'agace.  ✜ Elle s’énerve vite pour un rien ✜ Elle ne parle jamais de ses sentiments et à du mal à dire je t'aime depuis son enfance.  ✜Elle mange des fruits le matin au petit déjeuner avec un bon, sans ça elle a tendance à être de mauvaise humeur. ✜Elle a l'habitude de marcher plutôt que de transplaner, ça lui permet de s'éclaircir les idées.  ✜ Elle est très susceptible et déteste avoir tord.  ✜ Elle aime s'amuser et profiter de la vie, mais peu aussi être très sérieuse. ✜ Elle ne réfléchit pas avant d'agir, elle a un côté très impulsif et un fort caractère qui l'a met parfois dans des embrouilles pas possibles ✜Elle chante sous sa douche et chante en faisant le ménage.✜ Elle adore cuisiner et préfère la cuisiner de façon moldu.✜ Tous les matins quand son réveil sonne, elle le balance contre le mur et doit le réparer ensuite.
   

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   PSEUDO/PRENOM : ROSE. ÂGE : 22 ans . COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Top site QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? <3. FRÉQUENCE DE CONNEXION : régulièrement. MOT POUR LA FIN : <3.

-Il vaut mieux parfois ne pas se poser de question sur notre vie. Pourquoi est-ce ainsi, qu'aurais-je pu faire autrement, qu'aurais-je dû faire autrement ?  Ce genre de question, je ne me les pose plus depuis longtemps. J'ai accepté.

Partie 1 Le commencement.

L'orphelinat, la solitude et la peur, quand on me demande d'où je viens, je baisse les yeux et ne réponds pas, mais c'est là d'où je viens.

Arizona- Il était tard cette nuit là, la nuit où j'ai atterrit dans ce triste orphelinat, miteux et sans doute peu recommandable, mais mes parents m'ont laissés, sans vraiment se soucier de savoir si je m'en sortirais ou pas, du moins c'est ce que je crois. Ils devaient avoir honte de quelques chose. Ils ont parlé longtemps avec les dames qui s'occupaient des enfants et leur ont demandés de ne pas leur dire qui ils étaient, de ne pas essayer de les retrouver. Se serait peine perdus disaient-ils. Ils ne voulaient vraisemblablement pas de moi.  Je ne me souviens pas de cette période, j'avais quelques mois seulement quand j'ai été accepté dans cet établissement et j'ai donc grandi là-bas. J'avais une chambre sous les toits. Je n'ai jamais vraiment eu trop chaud ni trop froid, j'étais bien traité, mais nous ne recevions pas vraiment d'amour et c'est sans doute ça qui m'a manqué le plus. Vivre sans famille, sans amour c'est tragique quand on est enfant. Je me souviens avoir souvent regardé les autres dans la rue, avoir espérée qu'ils me prennent, personne n'a voulu de moi. J'étais trop petite, trop chétive, pas assez grande, il y avait toujours quelque chose. Et puis j'ai grandis, dans un monde qui ne m'acceptait pas réellement. Je n'avais rien à y gagner, mais j'avais décidé que je serais quelqu'un. Quoi qu'on me dise, quoi que l'on me refuse, je franchirais les portes en les éclatants et en les franchissant, tant-pis si je devais me battre pour avoir une vie normale, au moins je vivrai. Les années furent longues et parfois compliquée et même si j'ai parfois baissé les bras, je me relevais plus forte, plus combative. Je n'étais pas très grande, mais j'avais déjà un fort caractère. Les dames qui s'occupaient de nous me punissaient souvent, j'étais de corvée de ménage. Je n'avais pas toujours le droit de sortir, mais peu m'importe, je m'imposais. Et puis à mes onze ans, cette découverte, ce changement de vie. Vous êtes une sorcière, m'avait-il dit. Le garde chasse de l'époque était venu jusqu'à moi, pourquoi poudlard, pourquoi l’Angleterre? Vôtre père était Anglais, m'a-t-on répondu.  Mon père … je ne parlais jamais d'eux, je ne les connaissaient pas, je ne savait pas leur prénom. J'avais juste hérité du nom de famille … peut-être que là-bas je trouverais des réponses à toutes mes questions les concernant, peut-être que j'aurai enfin sur qui j'étais. C'est pour cette raison que j'avais été à Poudlard, la magie en elle-même au départ ne m'intéressait pas vraiment. Je trouvais que j'avais déjà assez de différence pour être en plus une sorcière.  Et puis finalement j'ai adoré Poudlard et la magie. Je m'étais trouvé enfin une place et j'avais oublié pourquoi j'étais venue au départ.


Partie 2- Le début de la fin.

Angleterre- Mes études se sont plutôt bien passées. Je ne me laissais pas faire par les grandes frappes de l'école. Je me battais même avec certaines filles et traînait souvent avec des garçon. Le vieux cliché de la fille garçon manqué allez-vous me dire, oui sans doute, mais je m'aimais comme j'étais. Je n'ai jamais eu de problème pour mettre de robe ou de jupe. J'aimais être une fille. J'aime être une fille, du moins maintenant une femme. J'ai eu des amis, des ennemis comme tout le monde, mais jamais ça n'a fait basculé mon comportement où mes notes. Je n'avais pas beaucoup d'amis non, mais j'en avais assez pour savoir que je pouvais compter sur eux.  J'ai terminé mes études et puis j'ai eu envie de découvrir le monde en dehors de Poudlard avec mon meilleur ami de l'époque qui est devenu mon mari, nous avons acheter une boutique dans laquelle nous vivions, on l'avait transformé en magasin dans lequel il y avait de tout, toute sorte d'objets magique, tout sorte de chose que l'on se trouvait parfois dans la rue ou en les achetant, puis on les revendait. Notre boutique ressemblait un peu à celle de barjow et beurk, mais en moins triste et sombre. Elle n'était pas illégal. On faisait nos affaires, puis un jour à l'aube de mes vingt-trois ans, je suis tombée enceinte. J'étais heureuse et il était heureux aussi. Nous avons préparer longtemps ce moment et tout s'est mal fini. Tout était près pour son arrivé. J'étais à cinq moi de grossesse quand je suis tombée des escaliers, quand j'ai glissée et que j'ai perdu le bébé. Ce simple événement à tout balayé sur son passage. Notre amour, notre union, notre vie. Nous nous étions mariés très jeune et nous avez dit que c'était trop tôt, je n'écoutais pas à l'époque. J'aurais peut-être du. On s'est séparé d'un commun accord. J'ai gardé la boutique et il est parti chez lui en Irlande. Je ne l'ai plus jamais revu. Je ne voulais pas parlé de ça, durant des mois, j'étais presque muette, puis quelque chose m'a fait repensé à tout ce que j'avais vécu jusqu'ici. Je n'avais pas le droit de déprimer. Il y avait pire que ma situation. J'ai relevé la tête et j'ai continué à vivre, à rire et à penser à l'avenir qui serait peut-être meilleur. Le passé était derrière. Je ne sais pas où j'ai été cherché cette force mais je l'avais, avoir pleuré des jours et des jours m'a sans doute aider à comprendre que ça ne servait à rien que ça ne les ferait pas revenir.

Partie 3- Le renouveau.
Angleterre-
Je ne sais plus depuis combien de temps je suis en Angleterre, ça me semble être depuis des années. L'Arizona est loin derrière-moi et j'ai la sensation d'être plus Anglaise qu' Américaine. Je ne retournais pas chez moi, c'est ici maintenant. Je voulais changé de vie, encore. Oublier mon passé, oublier mon ex-mari. J'ai suivi une formation pour devenir professeur de Botanique. J'ai toujours aimé les plantes et j'ai toujours lu beaucoup de choses à ce sujet. Il y a d'ailleurs une étagère spéciale dans la boutique, boutique que j'ai vendue d'ailleurs. Plus rien de me retenait à Godric's Hallow. J'ai pris ma valise et suis allé m'installer à Pré-au-lard-. Ma maison n'est pas loin du château, ce qui me permet de ne pas rester le soir à l'école. Je dois être l'une des seules professeur qui préfère avoir son chez soit, mais je suis toujours mieux dans un endroit bien à moi, même si j'adore le château et qu'y vivre doit être vraiment fantastique. Pourtant je tiens à ma liberté en quelques sortes. J'ai été acceptée comme professeur pour la rentrée de septembre. Je ne me suis pas réellement posé de questions sur ce qui s'est passé avant. Je n'étais même pas au courant en fait. J'avais lu dans la gazette pour les attaques au ministère et pour celle au stade de quidditch, d'ailleurs j'y étais et je me souviens très bien des détraqueurs. Tout était noir, sombre, mais on m'a aidée. Je n'étais pas toute seule. La peur est bien là, mais j'essaie de ne pas y penser, si le monde tourne mal ça ne sera pas la première fois, pas la dernière. Nous n'apprenons pas toujours de nos erreurs ont dirait. .