NOM(S): Northman. PRÉNOM(S): Mia Candice. AGE: 17ans . LIEU DE NAISSANCE: Ecosse. STATUT CIVIL: Célibataire. ANNÉE D'ETUDE: 7eme année. MAISON : Serpentard. STATUT FINANCIER: Père riche mère un peu moins. GROUPE: élève. STATUT DU SANG: Née moldue. EPOUVANTARD: Elle même,en toute défraîchie. Le regard éteint par une vie aussi morne qu'ennuyante. PATRONUS: Un vautour. AMORTENCIA: L'odeur du café chaud et de la plage. BAGUETTE MAGIQUE: bois de rose et crin de licorne, 28 cm. SORT FAVORI: Oubliette.
S'assoit constamment en tailleurs, même si le lieux n'est pas propice. ✜ Se gratte les poignets quand elle s’ennuie. ✜ Compte, de manière presque viscérale, le nombre de lettres qui composent le prénom de ceux qui l'entourent. ✜ Entretiens une passion relativement étrange pour les vieux sorciers qui ont virés fous. ✜ Bouge nerveusement la jambe quand elle est agacée, ennuyée, pressée ou encore frustrée ✜ Adore se promener seule, particulièrement en automne ou en hiver. ✜ Ne supporte pas personnes effacées et discrètes. ✜ Parle avec un langage cru, parfois même à la limite du vulgaire. Elle ne le fait pas exprès, cette manie l'agace. ✜ Maîtrise l'art de l'humour noir à la perfection. ✜ Est une vraie acharnée quand il s'agit d'être la meilleure. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Mia bosse beaucoup. PSEUDO/PRENOM : Margot. ÂGE : 18 ans sous peu. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Partenariat. QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Nada pour l'instant. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4 à 5/7 jours. MOT POUR LA FIN : il est énorme ce smiley
Dernière édition par Mia C. Northman le Jeu 23 Oct - 8:42, édité 4 fois
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Mer 22 Oct - 20:41
Il était une fois ...
Dire que tout répond à une logique bien précise, que chaque chose à sa raison d’être, c’est n’importe quoi.
Ma vie est une suite de péripéties plus ou moins drôle (pour les autres, pas pour moi) dont je ne vois toujours pas l’objectif final. C’est que du blabla. Que des souffrances inutiles qui ne forgent ni le caractère, ni l’esprit. Je suis fière de certains aspects de ma vie. Pas de l’intégralité. Mais je ne maitrise pas tout. Sinon, les choses auraient été tout autres. J’en suis intimement convaincue. Déjà, mes parents. Du grand spectacle. Mon père est un entrepreneur fortuné, marié à la pétasse qui va avec. Ma mère, c’est une ancienne prostituée qui vit aujourd’hui sur la pension alimentaire que lui file mon paternel tous les mois. Chic et glorieux. J’pense vraiment que je n’aurais pas pu rêver mieux. Katheline a été grassement payé pour faire semblant d’être heureuse auprès de mon père pendant bien 6 mois. Du coup, pas de doute sur mes ancêtres, même si Andrew s’est senti obligé de demander un test de paternité avant de lâcher à ma mère la pension qu’elle lui réclamait lamentablement. Lucy, l’ancienne femme de mon père, a bien mis 1 an à découvrir mon existence (faut dire qu’une potiche, ça réfléchis pas beaucoup) avant de se tirer, faussement outrée, avec une somme bien confortable suite au divorce. Du coup, en moins d’un an et demi, mon paternel s’était bien fait plumer par la gente féminine, mais ça l’a pas empêché de se remarier dans la foulée avec Isabelle, pour mon plus grand bonheur (et c’est très sérieux). De ma première à ma troisième année, je vécus chez ma mère. Dans un confort relativement respectable (merci papa), mais une ambiance plutôt lourde. Je n’étais pas désirée et je suis à peu près certaine que seule la pension alimentaire m’a retenu à la vie dans ma tendre enfance. Du coup, je passais le plus clair de mon temps sur le tapis du salon, à croquer dans les biscuits et les fruits que ma mère concédait douloureusement à m’acheter. Non pas que je m’en rappelle, mais les rares photos de cette époque le prouvent de manière assez exhaustive. A mes quatre ans, ma mère m’envoya vivre chez mon père, perdant du même coup la pension alimentaire, mais sans réel regret puisqu’elle avait réussi a trouver un mec riche et qui voulait bien d’elle. Du coup, ciao maman, et bonjour le luxe et l’abondance du portefeuille de papa. Au début, c’était plutôt déconcertant. Il parait que j’ai mis presque trois jours avant d’avoir la décence de leur adresser un mot. Faut dire que ça impressionne, de changer aussi radicalement de lieu de vie et d’entourage. C’était bien la dernière des préoccupations de ma mère que d’expliquer à sa fille à peine plus grande que la table basse de son salon ce qui se passait. Mais je me découvrais un réel talent d’adaptation et me mêlais bientôt joyeusement aux 3 autres rejetons de la famille Northman-Wood (les deux autres garçons étaient les fils de l’union précédente d’Isabelle). Bon, très vite, les choses se dégradèrent. Tout d’abord, il y eu Ivan, le jardinier. Il fut retrouvé dans la chambre de Paloma, la fille de mon père et d’Isabelle, avec le caleçon aux chevilles. Il fut jeté à la porte sans plus de cérémonie. J’étais déçue. Je l’aimais bien, et après tout, c’est pas comme si il avait touché Paloma : elle n’était même pas là quand la scène eu lieu. Mais peu importe, je me remis somme toute assez vite de son absence. Faut dire qu’il n’était pas un homme des plus brillants et que je pouvais entretenir une conversation tout aussi fascinante avec les plantes qu’il avait tant chéries. Ensuite, un peu plus dérangeant, il y eu le voyage d’affaire de mon père. Il partait pendant à peu près 6 mois pendant lesquels on m’envoya chez ma regrettée mère. Je lui fis vivre un véritable enfer. Je ne supportais pas qu’elle soit aussi dépendante des hommes, aussi enfermée dans sa situation, sans faire le moindre effort pour s’en sortir. J’aurais voulu que mes parents soient des gens exceptionnel. Au lieu de ça, je m’étais retrouvée avec un portefeuille sur patte et une ancienne prostituée désemparée. Non seulement je n’avais pas la fierté que j’aurais aimé éprouver en les regardant, mais en plus, je pense que je suis passée complètement à côté de mon complexe d’Œdipe, et que ça a sérieusement nuit à mon développement. Pas de quoi en faire un drame, toutes fois. A 7 ans, donc, j’étais de retour avec Katherine, et ce n’était pas pour me plaire. Je ne me rappelle même plus du nom de mon beau-père. De toute façon, il n’était que rarement là. On avait sa grande maison pour nous et c’était le principal. Elle était un peu moins bien celle de mon père, mais clairement mieux que le pavillon dans lequel m’avait fait vivre ma mère quelques années en arrière. Je voyais cette maison comme un terrain de jeu immense pour laisser libre court à ma créativité. Je n’avais pas de problème de conscience à ruiner ça et là quelques meubles ou quelques murs, dommage collatéral de l’enfer que j’avais mis en place pour ma charmante mère. Je ne l’aimais vraiment pas. Pas plus qu’elle ne m’aimait, je pense. Nous étions forcées de vivre ensemble, mais ni l’une ni l’autre n’était prête à faire des concessions pour que la cohabitation soit viable. Du coup, c’était une perpétuelle succession de dispute et de coups tordus. J’étais passée maître dans l’art de la rendre folle. Persuadée de valoir mieux qu’elle, je me sentais dans la légitimité la plus totale de le lui faire comprendre. J’exigeais et recevais. Un enfant tyran, quoi que bien refroidie, parfois, par son ignorance à mon égard. Elle passait le plus claire de son temps à m’éviter (on ne peut pas lui en vouloir d’ailleurs, avec le temps, je me dis même que c’était une réaction plutôt intelligente de sa part). Frustrée et livrée à une solitude qui ne s’entrecoupait que par mes passages mémorables à l’école, je me renfermais dans un monde de cynisme et d’espoir que, un jour, ils se rendent compte à quel point j’étais exceptionnelle. J’en étais vraiment persuadée. Mais je n’aurais jamais pensé que ça se présente sous la forme d’un parchemin m’invitant à entrer dans une école de sorcellerie. Mais ça, on n’y est pas encore.
Six mois plus tard, je retournais de nouveaux chez Andrew. J’aurais pu me radoucir et reprendre le cours de ma vie comme si rien ne s’était passé entre temps, mais c’était sans compter la frustration et la colère qui m’avait habité pendant mon séjour chez Katherine. Je revenais plus sauvage et plus abjecte que jamais. Aucun discours n’était possible avec l’enfant imbu de lui-même que j’étais. J’avais parfois du mal à me comprendre et à interpréter mes réactions alors comment auraient-ils pu mettre des mots sur mes attitudes, eux qui n’avaient pas accès à mes sentiments les plus profond ? Seule Isabelle parvenait à m’arracher quelques mots. Je l’aimais bien. Elle était réellement amoureuse de mon père mais menait tout de même sa vie, avec un travail confortable et des convictions profondes. Je ne suis pas sûre qu’elle sache que je l’apprécie. Je ne lui ai jamais dit et je ne compte pas le faire. Elle m’apprécie elle. Malgré mes caprices et mon égoïsme. Elle rit de mes sautes d’humeurs et de mon caractère effronté. Même si elle ne comprend pas tout, elle fait attention à moi et me considère comme sa propre fille. J’aurais aimé qu’elle soit ma mère. Elle et ses beaux habits. Elle et son port de tête fier et intouchable. Faut dire qu’elle est belle et impressionnante. Elle ne se laisse pas dicter sa conduite et rien ni personne ne la fera dévier de ses objectifs. Je ne retrouvais jamais la complicité que j’avais eue avec ses enfants. Je ne les considérais plus. Ils vivaient à mes côtés mais ne m’amusais pas comme avant. Je me détachais de tout ce que j’avais construit avec eux et n’avais plus cette notion de famille qui avait existé six mois plus tôt. Ce n’était pas par méchanceté. Juste pas un choix raisonnable : je ne voyais plus l’intérêt de les côtoyer. Ils m’en voulurent énormément et insistèrent pendant bien un ou deux mois pour que la vie reprenne son cours comme nous l’avions laissé avant mon départ. Mais quelque chose s’était brisé pendant mon absence et je n’avais ni l’envie ni la force de réparer tout ça, bien trop occupé que j’étais à m’occuper de ma propre personne. A mes 9 ans, il y eu un nouveau drame. Ma mère eu un accident de voiture qui lui fut fatal. Je me rappelle encore de la précipitation avec laquelle mon père déboula dans ma chambre un soir moi me l’annoncer. Son visage était triste, mais résolu à me soutenir. Il y avait dans ses yeux une compassion pour la peine que je ne ressentais pas. Je ne pris même pas la peine de faire semblant d’être atteinte par cette nouvelle tragique. Ça me fit tout drôle, de me dire qu’une personne avec qui j’avais vécu était morte. Je mis longtemps à me rendre compte de ce qui mourir signifiait. Après tout, je n’avais jamais vu la mort. Jamais personne dans mon entourage n’était parti aussi subitement. Mais ça s’arrêtait là. Je n’avais jamais été proche de ma mère. Je ne savais rien à son sujet. Elle n’en savait pas plus au mien. Ma réaction déconcerta le reste de ma famille qui prit peur de ce que j’étais. On ne m’emmena pas à l’enterrement. Je restais chez moi avec Isabelle et ses enfants, et vécu cette journée comme toutes les autres, alors qu’à quelques kilomètres de là, mon père et les proches de ma mère l’enterraient. On ne me considéra plus comme avant. Certain que quelque chose n’allait pas chez moi, je vis une succession de psychologues et de psychiatres qui, faute de comprendre la source du mal, confirmèrent tous les soupçons de mon père : je n’étais pas une enfant normale. J’étais dérangée, aliénée, perturbée. Les qualifiants déviaient selon les spécialistes mais ils n’arrivaient jamais à me faire changer. C’était en moi, et ça ne gênait que mon entourage. Pour ma part, je le vivais plutôt bien. Arriva la lettre. Posée innocemment au milieu de pub et de factures et tout genre. Je l’ouvrais et m’en retrouvais bien ébahie. Un grande claque. Mais en y réfléchissant, c’était pas plus mal. Je l’avais, ma particularité. La suite ne fut qu’une attente frustrante pour rejoindre mes semblables. J’avais à présent la preuve que j’étais exceptionnelle et je redoublais alors de fourberie et de mépris pour ma famille. Je vivais ma vie comme la sorcière que j’étais à présent, jouant des avantages qu’allait m’offrir ma nature. Ca convenait à tout le monde, après tout. J’allais partir loin d’eux et leur permettre de se retrouver. C’était un grand soulagement, parait-il. J’avais la suffisance de ne pas les croire. J’allais leur manquer, c’était sûr et certain !
Me premières années à Poudlard se déroula selon mes attentes. C’était génial et la folie de la découverte me canalisait un peu. Je prenais peu à peu de la maturité et mon caractère, sinon de s’améliorer, devint un peu plus supportable. J’étais toujours l’être aussi égoïste et sûr de lui que j’étais, mais en un peu plus vicieux. Je me faisais discrète, observais ceux qui m’entouraient pour savoir comment ils allaient pouvoir m’être utile. J’appris à réfléchir à mes moindres fait et geste et abandonnais un peu de ma superbe pour me taire et réfléchir. Je prenais du recul sur les situations et appris a rebondir d’une habile pirouette pour toujours atteindre les objectifs que je m’étais fixée. Je bossais pour être la meilleure, avec des résultats plus ou moins concluant. Rapidement distraite, je n’étais pas pour autant la petite fille studieuse que tous les parents rêveraient d’avoir. N’allez pas croire pour autant que j’étais un monstre de manipulations et d’égoïsme. J’avais, parfois, et avec certaines personnes, un réel souci de justice. Je n’aimais pas faire du mal aux gens que j’aimais et prenais soin de la confiance qu’on m’accordait. J’étais très sociable, mais ne me mêlait qu’à ceux que j’estimais mériter ma compagnie. Sélective et méprisante, les personnes desquelles je m’entourais n’étaient jamais choisis au hasard. Ma présence devint de plus en plus supportable pour ma famille que j’appris à respecter. Si mes demi-frères ne me pardonnèrent jamais mon attitude d’antan, l’ambiance s’améliora et ce n’est qu’à ce moment-là que je me rendis compte à quel point elle m’avait pesé. J’acquis même des valeurs familiales. Toutes fois, on ne chasse pas le naturel. J’en restais tout de même celle que j’étais et continuais à ne servir que mes intérêts. Nombreuses furent les déceptions de mon père à mon égard, lui qui avait pourtant beaucoup misé sur sa première fille. Il s’était toujours dit que je reprendrais ses affaires et que je le suivrais docilement. Mais j’étais aussi sauvage que ma mère lui avait été soumise et il comprit doucement que ce ne serait jamais le cas.
Toutes fois, les sorciers s'écroulant les uns après les autres me firent l'effet d'une douche froide. J'appris qu'il y avait toujours plus fort que soit et perdait un peu la foie que j'avais posé en ma race. Même les sorciers avaient leurs tares et je regrettais amèrement cette évidence. J'apprenais à mes dépends que personne n'était intouchable, moi y comprise. L’atmosphère me pesais et je vivais mal le fait de ne pas savoir réellement ce qui se passait. Plus que la peur de mourir, c'était cette suspition ambiante et les incertitudes qui allaient avec qui me rendaient folle. J'aurais tout donner pour avoir les réponses à mes questions et n'être qu'un pion dans un mouvement que je ne devinais qu'à peine me faisait me sortir de mes gonds.
Je commençais ma 7eme et dernière année toujours aussi manipulatrice et déterminée. Je voulais finir en beauté mes années à Poudlard, cherchant encore ce que je ferais de ma vie une fois mes études terminées. J’avais des ambitions que je me sentais prête à réaliser. J’étais heureuse et attendais impatiemment que la vie m’offre la chance de me dépasser.
Dernière édition par Mia C. Northman le Jeu 23 Oct - 18:30, édité 8 fois
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Mer 22 Oct - 20:45
Les compétences en cours
Arithmancie
Matière 1: Arithmancie Matière 2: Etude des Moldus
Les notes dans l'univers Poudlard:
O -> Pour Optimal E -> Pour Effort Exceptionnel A -> Pour Acceptable P -> Pour Piètre D -> Pour désolant T -> Pour Troll
Parmi les matières à Poudlard:
- Astronomie E - Botanique A - Défense contre les forces du mal E - Potions O - Histoire de la magie D - Métamorphose E - Sortilège O - Vol sur un balai P - Arithmancie (Attention Option a partir de la troisième année ) O - Études des Moldus (Attention Option a partir de la troisième année ) E
Dernière édition par Mia C. Northman le Jeu 23 Oct - 7:58, édité 2 fois
Thomas S. McHale
Dixième année en recherches Préfet-en-chef
Gallions : 588
DC? : v.e. norgarstein / j.c.foster
Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 3:57
Bienvenue sur le forum ! Personnellement, je ne trouve pas qu'Adriana fasse 17 ans, mais après tout, ce n'est que mon avis...
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 7:01
Merci! Oui je ne trouve pas non plus je suis en train de chercher une autre personne pour la remplacer mais n'ayant pas encore trouvé mieux, je la garde pour l'instant
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 7:33
bienvenue parmi nous jolie demoiselle bon courage pour ta fiche ♥
Thomas S. McHale
Dixième année en recherches Préfet-en-chef
Gallions : 588
DC? : v.e. norgarstein / j.c.foster
Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 8:46
J'aime beaucoup ton nouveau choix *.*
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 9:28
Merci beaucoup! Elle fait beaucoup plus jeune c'est plus crédible! Et puis Lindsay est *.* !
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 10:05
Bienvenue Jolie demoiselle, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 16:28
Bienvenue sur patracitrouilles !
Merci pour ton inscription !
Afin d'avoir toutes les cartes en mains pour faire ta fiche, il faudra jeter un oeil au contexte . Evidemment il ne faut pas oublier les Règles ainsi que toutes les annexes indispensables pour évoluer sur le forum et connaître la chronologie générale et celle de Poudlard, les métiers encore libres, les familles de sang pur disponibles etc. Attention, après c'est interro
Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.
Bon courage pour ta fiche ! Le staff de Patracitrouilles
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 17:14
Merci beaucoup!
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 17:21
Bienvenue !
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Jeu 23 Oct - 17:37
Merci !
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Ven 24 Oct - 10:47
Oh mon dieu j'ai envie de dire une vraie serpentard ^^
Bienvenue Mia
Te voilà validé, tu peux dorénavant commencer à RP.
Tu es Admise en septième année et les Serpentard t'accueillent avec plaisir dans leur grande famille.
N'oublies pas de compléter ton profil si cela n'est pas fait. Il te faut aussi passer ici pour référencer ton avatar et d'autres informations. Si tu es étudiant il te sera possible de poser ta candidature pour le Quidditch et peut être même devenir préfet par ici. C'est là aussi qu'il faudra ouvrir ta fiche de lien et de rp, mais tu peux aussi ouvrir ta boite à lettres : ici
Tu peux aussi voter pour le forum par ici. Tu gagneras ainsi des points que tu pourras donner à ta maison tout en suivant son évolution.
Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.
Le staff de Patracitrouilles
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Sujet: Re: Mia, sans concessions. Ven 24 Oct - 11:33