camille & hyndie

Le mardi, une simple journée pour Hyndie elle avait eu cours toute la matinée. Après le déjeuner elle avait une heure libre et elle avait décidé d’aller à la bibliothèque pour revoir le cours de potion que la belle avait eu le matin même. Une fois assise sur la table seule pour étudier, elle salua quelque amies qui était assise sur la table à côté, mais elle préféré rester tranquille pour étudié et prendre du plaisir à rire avec ses amies pour plus tard. Hyndie commence alors à sortir ses affaires de son sacs lorsqu’elle se rendit compte que son livre de potions avait disparus, elle passa une main dans ses long cheveux blond tout en réfléchissant ou elle l’avait mis, elle se souvenait de bien l’avoir ce matin même en cours. « Oh non ! » murmure la jeune Serdaigle pour elle-même. Elle range de nouveau ses affaires pour ensuite prendre son sac et repartir de la bibliothèque pour récupéré son livre dans la salle de classe, tête en l’air elle avait du l’oublié lorsqu’elle parlait avec sa meilleure amie. Arrivant finalement devant la porte, elle frappe puis entre ensuite, personne n’était là, s’approchant de sa table habituelle le livre n’était plus là « Evidemment, disparus ! Fait chier » jure Hyndie, avant de réfléchir elle passe une main sur son front et regarde autour d’elle, peut être qu’un de ses camarades avait pris son livre, mais elle devait trouver le qui. Qui était assez proche de sa table pour voir le livre, il y avait Zoey mais la brune n’était pas encore retourné en cour après son attaqué puis ton visage lui vient à l’esprit « Camille ! ». Hyndie ne t’avait jamais parlé mais elle savait ton prénom puisque celui-ci l’avait un peu perturbé, c’est souvent le prénom que l’on donne aux filles et sa l’avait marqué.

Hyndie sortit de la classe pour ce mettre à ta recherche, la voilà à parcourir les couloirs  demandant par moment à des Serdaigles si il ne t’avait pas aperçus certain lui affirme t’avoir vue dans la grande salle. La jeune fille ne mis pas longtemps à ce dirigé vers la grande salle pour voir si tu étais bien ici, lorsqu’elle passe les grandes portes elle pose son regard sur la table de sa maison, et tu étais bien là. Souriant doucement elle commence à s’approcher de toi, après avoir contourné la table elle s’installe juste en face de toi toujours ce sourire splendide sur son visage, elle pose son sac à côté d’elle. Elle n’avait jamais fait attention à toi, et maintenant que la blonde était face à toi, à t’observer elle ce demandait pourquoi elle ne t’avait jamais remarqué ni même parler, tu étais mignon. Elle commence alors à engager la conversation puisque ton visage et ton regard commencer à devenir interrogatif. « Camille c’est bien ça ? Ce matin en cour de potion je crois que j’ai oublié mon livre sur ma table tu ne l’aurais pas pris par hasard ? » Elle mord sa lève inférieur, tout en glissant une de ses mèches derrière son oreille, battant des cils elle jouait encore de son charme alors qu’en ce moment elle en avait pas vraiment besoin. « Je viens juste de m’en apercevoir, je voulais réviser un peu et je me suis aperçus que je l’avais oublié, donc j’espère vraiment que c’est toi qui l’as pris Camille sincèrement tu serais mon sauveur ! »

Camille se baladait dans les couloirs en attendant de pouvoir aller manger. Il flânait dans les couloirs à la recherche d'un signe de fatigue, il avait mal dormi, mais ça ça lui arrivait déjà depuis quelques temps. Il ne savait ni comment, ni pourquoi, mais chaque nuit il en revenait toujours au même point, il finissait par se réveiller en sursaut et n'arrivait plus à s'endormir. Ses insomnies le rendaient fou, fou de rage, car il ne comprenait pas et voulait savoir. C'était bien beau de mettre cartes sur table devant une psychologue, mais il n'avait pas l'impression que ça l'aidait beaucoup, bien au contraire. Le Serdaigle ne se rappelait pas de cette fille et pourtant elle le rendait fou alors qu'il ne reconnaissait même pas son visage, il savait juste qu'il avait mal, qu'il était déchiré par sa mort. Bien sur il ne pouvait en parler à personne, on le prendrait sûrement pour un psychopathe, mais quelque chose lui disait que ce cauchemar voulait bien dire quelque chose et il appréhendait quoi. Camille s'assit sur un des bancs et profita du soleil qui s'introduisit par la fenêtre et qui se posa sur ses joues. Il avait tout le temps l'impression d'être froid, d'être glacial, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur. Ce n'était pas un pessimiste, du moins dans le passé il ne l'avait jamais été, mais depuis quelques temps il était devenu encore plus ennuyeux que ce qu'il était déjà. De part par sa soif de travail, sa soif de savoir et surtout son incessant besoin de contrôle, mais aussi parce qu'il n'arrivait pas à se sortir ce rêve de la tête et que ce manque de sommeil le rendait aigri et surtout plus désagréable que d'habitude. Puis l'agression de Zoey ne l'avait pas aidé, loin de là, elle était encore fébrile et l'ambiance à Poudlard n'était pas à son beau fixe. Il avait peur d'être le suivant sur la liste surtout qu'une troisième agression avait eu lieu. Puis pour ne pas arranger le tout, c'était la saint valentin et que tous ces couples qui étaient soit-disant mignons lui donnait tout simplement la gerbe, car cela lui rappelait à quel point il était seul. Mais après réflexions c'était bien de sa faute, des filles le regardaient, mais il les ignorait tout simplement parce qu'il ne voulait pas s'attacher et être désintéressé par son but premier : de bonnes notes, son futur déjà tout tracé. Mais là encore il était ennuyeux et démuni de toute impulsivité, on pouvait lire en lui si facilement, il voulait contrôler ses faits et gestes et ceux des autres aussi s'il avait pu le faire. Mais il n'aimait pas l'imprévisible et pourtant il était tant attiré par cette qualité (ou ce défaut selon le point de vue). Les gens qui profitaient de leur liberté le fascinait et secrètement il les admirait, à croire qu'il souhaitait ressembler à ce qui l'insupportait le plus. Camille aimait les paradoxes et il en était bien un vivant. Il se leva et attrapa son sac, il se dirigea vers la Grande Salle où il allait encore devoir supporter les regards accusateurs posés sur le pauvre Gryffondor qui se prenait toutes les suspicions du meurtre et des agressions sur le dos et les lettres de saint Valentin envoyés par les amoureux transis du château. Il avait envie de dormir, mais apparemment son destin lui réservait quelque chose d'autre, quelque chose de bien plus agaçant et ça c'était le réveil constant et agité. Camille s'assit sur un banc en face de ses camarades, enfin il pouvait même les appeler ses amis. L'une des filles regarda le Serdaigle et dit en souriant malicieusement « Alors Cam, tu as reçu une lettre pour la saint Valentin ? » Le bleu et bronze fit la moue, cette demoiselle avait un faible pour lui et ça depuis maintenant des années, mais il avait toujours feint de ne rien savoir, de ne rien comprendre. De toute façon il ne s'y connaissait pas en matière de filles et il ne cherchait pas en savoir plus dans cette catégorie.. pour une fois. Il se racla alors la gorge et répondit « Tu sais je pense que je n'en aurais.. » Mais il fut coupé par une jolie blonde qui vint s'asseoir en face de lui. Il devait sûrement avoir l'air étonné, car clairement c'est ce qu'il était. D'abord parce qu'il ne s'était pas attendu que cette fille vienne lui parler et deuxièmement pas devant ses amis. Camille savait très bien qui elle était, c'était Hyndie, la seule fille ou du moins la seule qui avait réussi à vraiment le rendre fou. Indirectement bien sur puisqu'ils ne s'étaient jamais parlés avant. Elle avait ce quelque chose d'insaisissable, de mystérieux qui avait tout de suite attiré, mais en même temps effrayé le Serdaigle. Elle était belle et elle en jouait, mais elle était aussi intelligente et franche. Souriante, elle se posa devant lui, mais Camille reprit très vite sa mine sérieux, il ne voulait pas avoir l'air ridicule et surtout laisser disparaître ce mur qu'il se donnait tant de mal à garder depuis des années. Elle était peut-être très mignonne et il mourrait d'envie d'apprendre mieux à la connaître, mais devenir vulnérable ? Non merci. Lorsqu'elle lui adressa la parole, Camille se redressa un peu, jetant un coup d'oeil furtif autour de lui. Tout le monde la regardait, car sans réelle gêne elle était venue s'asseoir là, comme si de rien était. Elle connaissait déjà son prénom, hourra. Il avait envie de sourire, mais se retint, car pour avoir l'air idiot il l'aurait été. Il hocha calmement de la tête, en restant figé du visage, froid, comme il l'avait toujours été. Au premier abord il était toujours glacial, un glaçon qu'il fallait seulement savoir faire fondre. Lorsque Hyndie lui demanda si il n'avait pas pris son livre de potions, il essaya de se rappeler le cours de ce matin. Il n'eut même pas le temps de répondre qu'elle poursuivit en jouant sérieusement de ses charmes. Camille fit mine de s'en ficher et regarda ses camarades se lever et s'en aller, de façon à ce qu'ils ne soient plus que tous les deux, de quoi mettre le jeune homme très mal à l'aise. Le Serdaigle cru bon de parler, car il était temps de dire quelque chose pour ne pas avoir l'air d'un abruti fini, il se racla alors finement la gorge et dit « Je suis désolé, mais j'ai pas ton livre. » Il avait dit ça froidement, mais franchement méritait-elle le Camille désagréable ? Elle n'avait rien fait et même s'il s'obstinait à à la repousser, à ne montrer aucun signe d'intérêt, cela fut difficile de se lever. Mais il prit son sac et commença et prendre ses cliques et claques et à partir. Mais soudainement il s'arrêta et se dit qu'il se comportait comme un idiot. Il tourna les talons et se dirigea à nouveau vers elle, elle le troublait et cela fût plus fort que lui, il finit donc par dire « Je crois que je vais être ton sauveur mais d'une différente manière, je n'ai pas ton livre, mais je peux t'aider à le retrouver si tu veux. » Puis il fit un sourire, ou du moins il esquissait quelque chose avec sa bouche qui pouvait ressembler à un semblant de gentillesse. Puis il finit par se lâcher et montra même ses dents et pour finir il poursuivit « Si je me rappelle bien j'étais le dernier à sortir de classe et ton livre était plus sur le bureau. T'as essayé avec le professeur ? » Il se pencha vers elle et lui tendit la main, comme pour lui faire signe qu'il était temps de se lever et de partir à la recherche de ce livre disparu.

camille & hyndie

Ses pensés étaient en fusion,  effectivement Hyndie te trouvé très beau et elle ce demander pourquoi elle n’avait jamais eu l’envie de te parler, tu étais dans sa classe et dans la même maison c’était même étrange que vous n’aviez pas encore échangé un mot.  Etrangement elle se sentait ridicule, elle venait te parler juste pour savoir si tu avait vue son livre dans d’autre circonstance elle ne t’aurait surement jamais adressé la parole et c’était stupide, elle parlait à tout le monde. A vrais dire, tu étais un garçon discret et mystérieux, elle ne t’avait jamais remarqué et peut être que c’était ce que tu souhaité, être seul.  Elle sortit de ses pensés lorsque le groupe d’étudiant assis près de vous décide de se levé et vous laissez seul, elle sourit toujours autant les regardant s’éloigné avant de reposé son regard émeraude sur ton visage, adosser sur la table avec ses avant bras elle t’observe attentivement sans gêne.  Tu avais l’air surpris que la Serdaigle vienne de parler et c’était assez amusant de te voir réfléchir à ce que tu pouvais bien lui répondre, mais rapidement tu reprends à ton tour tes esprits et tes paroles la firent lâcher un soupir. « Oh non.. ! Tu n’assure pas Camille. » Dit-elle en plaisantant évidemment, ce n’était pas ta faute si la blonde était tête en l’air après tout. Après lui avoir dire que tu n’avais pas son livre tu t’étais empresser de te levé, elle fut assez surprise de te voir t’éloigné aussi vite, elle n’avait pas était méchante dans ses paroles pourtant et elle était toujours souriante, Hyndie ne compris pas vraiment pourquoi tu avais hâte de partir. Elle te regarde t’éloigner puis hausse les épaules et glisse la sangle de son sac sur son épaule et s’apprête à se levé et partir à son tour mais une main se glisse sous son visage, elle relève son visage vers toi et te regarde attentivement un nouveau sourire se dessine sur ses lèvres cependant cette fois ce sourire était sincère elle ne jouer pas de son charme, non elle était surprise de ta réaction. Baissant ensuite son regard sur la main que tu lui tends, un geste simple qui lui donner envie d’en savoir plus sur le mystérieux Serdaigle que tu étais.  « Le professeur ? Non pas encore, quand je suis allé voir dans la salle, il n’y avait plus personne ! Tu à raison, c’est surement M. Sullivan qui à récupéré mon livre » Dit-elle en glissant sa doucement dans la tienne, se levant elle sourit tenant de sa main libre la sangle de son sac, tout en s’approchant de toi sans lâché ta main. « Dit moi, Camille comme prénom ce n’est vraiment pas courant et j’aime beaucoup tu sais. Sincèrement, ça sort de l’ordinaire. C’est ta mère qui à choisit ce prénom ? Elle voulait une fille ou c’était voulu ? » Ajoute Hyndie en souriant grandement, elle tire alors sur ta main pour t’entraîner avec elle en dehors de la grande salle ou plusieurs regard indiscret et curieux vous observé, principalement des garçons avec qui elle avait flirté. « J’ai réfléchis, et je crois que l’on à jamais parler tout les deux, et je trouve ça dommage ! On est dans la même maison, dans la même classe et on ne se connait pas, je pense qu’on va remédier à ça. » Elle te regarde et entrouvre les lèvres en te voyant la regarder de cette façon, Hyndie était assez expressive et parler tout le temps, disant ce qui lui se passe par sa tête et de nature aussi très curieuse. « Oh, excuse-moi. Je parle toujours beaucoup trop… » Murmure la jolie blonde en ce mordant la lèvre inférieure, elle hausse les épaules. Sa main toujours dans la tienne, ce contacte peut être simple ou extraordinaire mais c’était agréable et elle n’allait pas te lâché sauf si tu te sentais gêné.

Camille ne savait pas trop comment se positionner à cette situation, il faisait mine de ne pas faire attention à la jeune fille, mais il était un homme, et une attirance comme celle-ci était difficile à ignorer ! Il avait feint de partir, mais franchement il s'était très vite rétracté, les regards interrogatifs des autres élèves le firent sourire, ils devaient sûrement se demander ce que faisait l'ennuyeux Camille avait la pimpante Hyndie. Lui-même ne savait pas vraiment pourquoi, elle voulait son livre d'accord, mais pourquoi ne s'étaient-ils pas adressés la parole avant ? En réalité il avait surtout été étonné de ça, il avait bien sur refusé de lui adresser un mot, surtout depuis qu'il ressentait cette forte attirance envers elle, mais pourquoi pas avant ? Le Serdaigle était quelqu'un de pragmatique et se posait souvent des questions, le contrôle était son premier trait de caractère et en présence de cette fille il avait l'impression de tout perdre. Peut-être était-ce la raison pourquoi il ne s'était jamais vraiment approché d'elle. De toute façon c'était une croqueuse d'homme, alors déjà que Camille ne voulait pas de relation, alors un flirt encore moins. Mais cette fille était spéciale, elle avait ce quelque chose qui le fascinait qui lui donnait envie d'aller vers elle, de discuter, de mieux apprendre à la connaître. Le bleu et bronze jouait avec le feu et il le savait, elle était dangereuse, elle allait sûrement lui brûler les ailes et de lui donner la main était un pas gigantesque aux yeux du jeune homme. Il n'était pas proche des femmes, il les évitait comme la peste surtout celles qu'il trouvait jolie. Loin d'être moche il savait qu'il pouvait plaire, mais l'amour et toutes ces conneries pouvait rendre fou et ce n'était surement pas ce qu'il voulait devenir. Tourmenté par ses cauchemars et par cette satanée Serdaigle qui se trouvait devant lui tout sourire, il avait du mal à penser droit, elle l'avait comme ensorceler, mais la réciprocité il en doutait fortement. Elle avait ce quelque chose qui la rendait ouverte, mais pourtant très mystérieuse. Les garçons se retournaient à son passage, mais elle filait livre comme l'air entres eux, à croire qu'elle n'était pas intéressée, qu'elle voyait plus loin que ça. Il l'admirait, mais en même temps la détestait, car elle lui faisait ressentir tout ce qu'il détestait. La sensation de liberté et non contrôle, il avait l'impression que la situation pouvait déraper à n'importe quel moment et il était conscient que c'était dangereux, que ça allait sûrement lui causer des ennuis. Pour le moment il ne savait pas qu'elle était la jeune fille dont il rêvait si souvent et ne connaissait pas la signification de ce cauchemar, mais son petit doigt lui disait de se tenir loin d'elle. Mais il n'avait pas envie, il avait plutôt envie de rester là et de discuter, l'aider et de voir si cela pouvait mener à quelque chose ! Puis merde il devait apprendre à vivre, à se lâcher un peu. Lorsqu'elle prit sa main, il fut content de voir qu'elle l'acceptait et elle avait toujours ce sourire grand et extraverti sur les lèvres, à croire que rien ne pouvait l'ébranler. La jeune fille l'extirpa rapidement de ses rêveries et lui dit que c'était sûrement le professeur qui devait avoir son livre. Il ne connaissait pas très bien le professeur Sullivan et ne savait pas s'il allait être dans ses appartements ou non. Il espérait juste, secrètement, qu'ils ne retrouvent pas rapidement ce bouquin de potions, car cela pouvait vouloir dire qu'ils n'allaient peut-être plus jamais s'adresser la parole et ça c'était une chose qu'il fallait absolument éviter ! Il se racla la gorge et lui répondit « Peut-être qu'il est dans la salle des professeurs, mais je ne suis même pas sur qu'il y en ait une en fait. Peut-être dans ses appartements ? » Il essayait de penser et se dit que si de toute façon ils ne le retrouvaient pas, il pouvait bien le prêter le sien, de bonté de cœur et seulement pour ça bien entendu.  Lorsqu'elle lui adressa à nouveau la parole sur son prénom, il sourit à son tour. Beaucoup de personnes étaient fascinée par le prénom Camille, il était déjà français et normalement attribué à des filles, mais ses parents en avaient décidé autrement. Le fait qu'il ait un patronyme bisexué le faisait beaucoup rire, puisque beaucoup de personne croyait d'abord qu'il était une femme en ne l'ayant pas encore vu. Cela pouvait porter à confusion et il en était conscient, mais parfois c'était vraiment drôle de voir les têtes des personnes qu'il ne connaissait pas à l'écoute de son prénom. Il n'aimait pas choquer en général, mais la curiosité des élèves de cet établissement le faisait beaucoup rire. Il cacha quelque peu ce sourire et reprit sa mine sérieuse, il essayait de mettre ce mur devant elle, mais franchement c'était aussi facile que de chercher une aiguille dans une botte de foin. Le Serdaigle décida donc qu'il était temps de répondre et dit « En fait mon prénom est français et là-bas on peut le donner à une fille tout comme à un garçon. Mes parents voulaient sûrement aller dans l'original, enfin je sais trop quel était leur but, mais tu n'es pas la première à demander. Et merci, je crois que tu es la première à dire que tu l'aimes bien. » Il finit pas esquisser un petit sourire puis elle le tira par le bras pour sortir de la Grande Salle et la suivit, car de toute façon il n'avait pas vraiment le choix. Les regards curieux de ses camarades le mettaient mal à l'aise, il avait envie de lâcher sa main, car être le spectacle de la Grande Salle ne lui plaisait pas des masses, surtout accompagné d'Hyndie. La jeune fille était très expressive et ouverte, ce qui étonnait beaucoup Camille. Bien sur qu'il restait avec des personnes souriantes et bavardes, mais chez elle c'était un tout autre effet, comme si elle était une bombe qui chamboulait sa vie. Lorsqu'elle lui dit que c'était dommage qu'ils n'aient jamais parlé avant, il se dit que c'était vrai. Pourquoi l'avait-il ignoré pendant tant de temps ? Même s'il était (horriblement) attiré par elle, pourquoi n'avait-il pas recherché à devenir son ami ? Elle lui dit aussi qu'ils allaient y remédier et il sourit tout en disant « Effectivement on ne s'est jamais parlé avant et tout comme toi je trouvé ça bizarre. Peut-être qu'on s'était jamais remarqué avant ? » Doux mensonge, mais ça elle n'était pas obligée de la savoir. Il poursuivit « Mais tu as raison, maintenant qu'on est là ça va être plus difficile de s'ignorer surtout que je vais être le sauveur qui va te ramener ton livre de potions ! » C'était difficile à expliquer, mais le fait que de tenir sa main le rendait nerveux, il ne le montrait pas, car il avait mis cette couverture de froideur sur ses épaules, mais il décida qu'il était peut-être temps de la lâcher, mais la jeune fille s'excusa de trop parle, par quoi il répondit « J'aime les personnes bavardes et deux personnes qui ne se connaissent pas ont beaucoup de choses à se dire je suppose ! » Mais il mit fin à ce contact qui paraissait simple, mais qui était si agréable. Il lâcha lentement sa main et la mit dans sa poche pour n'élever aucun soupçon. Sauf que quelque chose le frappa, la jeune fille avait un cil sur la joue. C'était un cliché et le monde s'acharnait sur lui. Maintenant qu'il était devant elle, il ne pouvait nier qu'elle était magnifique et regrettait d'avoir lâcher sa main. Camille était partagé, mais décida qu'il était temps de faire quelque chose et de repousser ce cil sur sa joue. Il enleva donc sa main de sa poche et montra la joue de la jeune fille en disant « Tu as un cil sur la joue, je crois que c'est le moment où tu dois faire un vœu. » Il ne pouvait pas aller dans le plus fleur bleue, mais il devait assumer ses actes et il ne risquait pas de rougir, il voulait quand même garder un peu de dignité après tout !

camille & hyndie

Au fond Hyndie n’avait pas réellement conscience de sa réputation, elle savait que les garçons la trouvé belle et peut être même qu’ils disaient que c’était une fille facile mais elle s’en fichait à vrais dire, elle aimait sa liberté faire ce que lui passe par la tête prendre des risques un jour et ne rien regretter le lendemain. Elle voulait de l’action, du suspense et des pleures mais aussi du plaisir et du bonheur de sa vie d’adolescente, elle serait bientôt une adulte et tout aller trop vite à son goût, la belle se souvient encore de ses beaux matin d’été lorsque sa sœur et elle allez jouer dans les champs, courir à ne plus s’arrêter pour finalement s’allonger dans l’air fraiche et ne plus bouger, sentir le vent caresser sa peau douce s’est moment de tranquillité et de liberté était fini. Hyndie avait du mal à grandir, elle voulait retrouver sa maison et son jardin reprendre ses jouets d’enfant et ses histoires de magie et de princesse, elle était resté une enfant à rire constamment, son visage était doux et innocent mais personne ne savait pourquoi. Hyndie cachait une grande douleur, quelque chose de très lourd et elle avait trouvé un moyen pour que personne ne le vois, elle avait endossé un masque splendide et rayonnant. Mais aujourd’hui c’était différent, elle venait juste de te rencontré mais étrangement tu lui faisais un drôle d’effet comme si tu avais anesthésiant sur sa personne, elle ne souriait plus pour cacher sa douleur non elle souriait sincèrement, pour toi elle le voulait vraiment, tout comme te connaitre. « Ce n’est pas grave, on à cour de potion Jeudi matin, je lui demanderais à ce moment là. Puis on pourrait peut être révisé ensemble en attendant que je retrouve mon livre, enfin si tu en à envie bien sur ! » Dit-elle en souriant, elle t’observe attentivement ton regard profond, elle venait tout juste de s’apercevoir de la couleur de tes yeux, d’un vert intense tout comme le sien. «  Tu à des origines française ? J’ai toujours voulus aller en France à vrais dire je n’ai jamais vraiment voyagé, mais ce pays m’intrigue beaucoup. Vraiment ? Je suis la première à te dire sa, n’écoute pas les autres je trouve que c’est très bien de changer un peu la nouveauté fait du bien et les élèves ici on pas de bon goût ! » Elle était contente d’être la première à aimais ton prénom, les gens n’était pas intéressant toujours à critiqué la nouveauté était une bonne chose et Hyndie était pour sa, les nouvelles choses. « Eh bien, je savais que tu étais dans ma classe évidemment mais c’est que tu es très discret et solitaire alors pour être honnête je t’avais pas remarqué ! Mais rassure toi, maintenant que je te connais enfin pas vraiment mais qu’on se parle je viendrais te voir souvent, et… enfin on pourrait passer du temps ensemble pour étudié ou apprendre à ce connaitre. » Etrangement elle se sentait idiote, et pour la première fois Hyndie était intimidé par un garçon elle ne savait plus quoi dire ni comment s’y prendre puisque tu n’avais pas l’air comme les autres. Effectivement à ta place les autres garçons lui aurais déjà fait des avances ou l’aurais dragué alors que toi non, tu reste simple et tu est même gentil avec elle et c’était ce qui la rendait assez timide. Mais de ton coté tu n’avais pas l’air non plus à l’aise, tu avais même lâché sa main elle ne dit rien et te laissa faire en voulant pas te faire fuir ni même te rendre nerveux. «  Donc… J’ai pas cour cette après midi, si tu n’a pas options ou je ne sais pas si tu à prévue quelque chose on pourrait aller s’assoit près du lac pour parler un peu. ! » Ajoute la Serdaigle en retrouvant son grand sourire, dévoilant sa dentition parfaite. Lorsque tu levas ta main pour venir montrer sa joue elle avait crus que tu aller la touché mais finalement non, au fond elle était déçu Pourquoi ? Bonne question elle aurait voulus que tu lui enlève le cil qui était sur sa joue mais peu importe, elle entrouvre alors les lèvres et ris légèrement. Un rire doux et sincère, puis de son index elle prit le cil sur son doigt et le regarde puis te regarde à ton tour, effectivement elle devait faire un vœu, fermant les paupières elle réfléchit puis après avoir fait le vœu de ne pas retrouvé son livre elle souffle sur le cil qui disparaît de son doigt. Souriant elle te regarde puis te tends sa main à son tour, espérant réellement que tu accepte de la prendre tout comme tu l’avais fait pour elle, ce geste simple était peut être une proposition plus grande que ce qu’on pouvait penser, cela pouvait être une proposition d’amitié, de partage et d’affection mais aussi de liberté et de complicité.  

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Hyndie essayer de se rapprocher de toi sans pour autant attendre quelque chose de ta personne, ce n’était ni de la drague, ni même par intérêt loin de cela elle voulait juste te connaitre un peu plus. Même si c’était votre dernière année à Poudlard, autant en profité et finir les quelques mois et devenir ami sa ne vous ferais pas de mal après tout. Elle avait donc proposé d’étudier avec toi, une excuse comme une autre évidemment puisqu’au fond c’était juste pour passer du temps avec toi. Son regard n’avait pas lâché ton visage, t’observant attentivement depuis de longues minutes. Cependant, ta réponse à sa proposition la fait levé les yeux au ciel amuser la belle blonde fait une petite moue craquante avec son visage et hausse ses fines épaules « Camille, si je te le propose c’est que j’en ai envie, enfin sa pourrait être sympas et on apprendrait à ce connaitre. De plus, je suis aussi très perfectionniste avec les notes, donc tu vois on à déjà quelque chose en commun. Ont dirait pas comme ça mais je suis très sérieuse dans ma réussite scolaire tu sais ! » Dit-elle en prenant un air fière, puis elle rit doucement et perd son sérieux, elle n’arrivait jamais à rester calme un sourire trône toujours ses lèvres. Aujourd’hui une lueur qui n’était jamais apparus dans son regard étinceler étrangement son regard émeraude, ta rencontre peut être ou simplement le reflet du soleil mais elle était bien à ce moment précis, Hyndie se sentait elle-même et simple en ta présence de plus tu n’avais pas l’air d’être le mec qui va la draguer ou lui proposer des choses assez inapproprié. Lorsque tu lui parlas de tes origines elle était encore plus surprise, d’apprendre que tu étais français et elle aimait beaucoup en savoir plus sur les autres pays et leurs cultures « Vraiment ? Ton plat préféré français mais anglais aussi, dit le moi ! » Demande-t-elle intrigué et très curieuse, c’était de nature Hyndie ne s’avait pas s’arrêter de parler et de posé des questions, c’était instinctif peut être pour évité au gens de lui posé des questions à leur tour, elle n’aimait jamais parler d’elle et de son passé les souvenirs son trop douloureux et elle préfère avancer que de repenser à tout ce qui c’était passer. Sans même attendre ta réponse la blonde serre ta main puisque tu avais finalement saisit la sienne, marchant à tes côtés vous vous diriger vers le lac, le vent froid caressant vos visage mais c’était un vent qui était agréable bien que la couleur rouge pris place sur les joues de la jeune fille. « Allez-arrête, dit moi ton deuxième prénom Camille. Je suis sur qu’il est aussi bien que le premier ! » Murmure Hyndie près de ton oreilles, elle avait froid et elle c’était inconsciemment agripper à ton bras comme pour se protéger du vent, son visage à proximité du tien. « Mon prénom ? A vrais dire je ne sais pas, ma mère à du le trouvé dans un livre, je n’ai jamais demandé ! Je l’aime bien alors moi ça me vas. » Ajoute-t-elle en souriant grandement, après quelques minutes de marches vous arrivez près du lac, s’approchant d’un grand arbre elle t’entraîne avec elle près du tronc pour se protéger du vent. « Je suis désolée, j’aurais du choisir un autre endroit finalement, je ne pensais pas que le vent était aussi glacial et fort à cette heure-ci de la journée ».

camille & hyndie

C’était devenue rare que Hyndie se sente aussi bien en compagnie d’un garçon qui pour une fois n’avait pas essayé de la draguer ou même de l’embrasser, une sensation étrange qui lui faisait du bien elle avait l’impression que tu la prenais au sérieux et que tu t’intéresser réellement à sa personne et pas à son corps.  Extravertie et souriante comme toujours la belle blonde marche à t’es côtés jusqu’au lac pour finalement se cacher du vent frais sous un arbre, elle s’assoie sur l’herbe juste au pied du tronc et t’attire près d’elle sans avoir relâché ta main une seule fois.
« Des escargots ? C’est comestible ? » Dit-elle en faisant une grimace mais rapidement elle lâche un doux rire amusé, elle en avait déjà entendu parler même ses parents lui parlait de la nourriture française qui était assez spéciale pour les étranger, elle avait gouter aux baguettes françaises et c’était très bon mais des escargots c’était pas très appétissant mais elle aimait faire de nouvelle choses et ne pas rester bête comme beaucoup de personne qui n’aime pas faire ou même goûté de nouvelles chose et en ce qui concerne ton plat préféré en Angleterre le fish & chips c’est un plat typique que Hyndie adore manger, du moins elle adorais manger avec ça sœur lorsque celle-ci était encore près d’elle, elles leurs arrivaient de partir toutes les deux pendant les vacances pour aller se promener en ville c’était de bons souvenir qui faisait souffrir Hyndie désormais « Tu à raison c’est délicieux.. Ça fait longtemps que je n’en ai pas manger » Dit-elle plus calmement en souriant tristement elle baisse le regard sur l’herbe en glissant le bout de ses doigts sur le tapis de verdure. Puis elle te demande alors de lui dévoilé ton deuxième prénom,  elle n’allait pas se moquer de toi puisque déjà elle aimait le prénom Camille, qui pour un garçon rester original et qui n’était pas banal. « Camille Alain Desmoulins, c’est mignon.. » Ajoute la belle en souriant d’avantage en tournant son doux visage d’ange vers toi, soutenant ton regard perçant qui l’observer avec une attention étrange, puis le prénom ne fait pas tout la personne qui le porte peut très bien le rendre merveilleux ou tout le contraire et toi tu le rendait merveilleux, elle ne te connais pas beaucoup mais elle avait déjà cette impression de te connaitre depuis des années et de te parler normalement, elle pouvait s’ouvrir à toi et te faire confiance elle le savait.

Hyndie, un prénom qui provenait de l’imagination de sa mère ou d’un livre mais qui était assez originale on lui avait souvent dit et fait des compliments sur son prénom. Tes dires la fit sourire grandement, dévoilant ses dents une blanches « Exotique ? On me l’a jamais dit cela c’est gentil même si je n’ai pas l’air d’une femme des îles ! » Ajoute Hyndie en haussant doucement ses fines épaules, soutenant ton regard elle ce mord la lèvre et se penche vers toi, venant poser sa tête contre ton épaules son bras glisser sous le tiens ta présence et ta proximité lui offrait de la chaleur malgré le vent froid qui c’était un peu calmé. « Non, garde ta veste je ne veux pas que tu attrape froid par ma faute… tu devras rester enfermer à l’infirmerie si tu tombe malade et on ne pourra pas passer du temps ensemble.  Tu es si gentil alors qu’on ne sait jamais parler, on est dans la même maison depuis des années et je n’ai même pas chercher à te connaitre je suis idiote… »