♦ NOM(S): Sanders. ♦ PRÉNOM(S): Robyn, Valéry. ♦ AGE: 16 ans. ♦ LIEU DE NAISSANCE: Londres. ♦ STATUT CIVIL: Célibataire. ♦ MÉTIER OU ANNÉE D'ETUDE: 6eme année. ♦ MAISON OU EX-MAISON: Serpentard. ♦ STATUT FINANCIER: Pour le moment à l'abri des soucis. ♦ GROUPE: Gryffondor.  ♦ STATUT DU SANG: Sang.......... mêlé. ♦ EPOUVANTARD: Un homme défiguré, au visage balafré ou calciné. ♦ PATRONUS: Un loup. ♦ AMORTENCIA: Le colza. ♦ BAGUETTE MAGIQUE: Une baguette de houx, au coeur de Dragon. ♦ SORT FAVORI: Confringo - Maléfice Explosif : Il fait exploser l'objet visé.

Ton caractère IndépendantSuperficielIntelligentMoqueurCurieuxPossessifInventifVolage

Après avoir eu le plaisir d'entendre la légende urbaine qui raconte comment un mec s'est mis des crayons dans le nez et s'est fait appuyer sur la tête, Robyn  a décidé que jamais il ne jouerait avec sa baguette, un crayon et son nez. Et aussi parce que c'est dégueulasse, en fait. ✜ Ce n'est pas que le jeune serpentard soit maniaque, mais il n'aime pas la crasse. Mettre les écouteurs qui viennent d'une autre oreille, serrer la main de celui qui se remet l'argenterie en place, faire la bise à qui affiche un bouton de fièvre, tout ça, tout ça... ✜ Bien entendu, il aime toujours savoir où se trouve sa soeur. Après, elle fait ce qu'il veut et il n'est pas du genre à lui dicter sa façon de vivre mais c'est juste que ça le rassure d'avoir quand même un oeil sur elle de temps en temps. Certains diraient qu'il est dépendant d'elle mais c'est juste qu'il veut savoir qu'elle va bien... ✜ Très protecteur, Robyn essaie toujours de garder son calme en toutes circonstances mais si quelqu'un insulte ou menace sa soeur, adieu selfcontrol, il viendra vous enfoncer son balai dans la bouche ✜ Sinon en cas d'ennui, Robyn soupire très souvent et fort. Il essaie d'éviter en cours alors pour passer le temps, il garde une pièce de monnaie avec laquelle il joue de temps en temps. ✜ Il porte autour du cou un pendentif qui représente un trèfle à quatre feuilles. Tenu par un fin cordon de cuir, le jeune serpentard ne le retire jamais et il dit souvent qu'il le porte uniquement pour la couleur - celle de sa maison - alors qu'il s'agit d'un cadeau que lui a fait sa mère pour son entrée à Gryffondor. Katherine Campbell est l'une des leurs au courant. ✜ Aussi, quand Robyn ne peut pas rétorquer à un professeur ou à son père, il se contente de croiser les bras sur son torse et de lever les yeux au ciel ✜ Sa chanson préférée est "Somewhere over the rainbow" ✜ Dès qu'il croise un élève d'une autre maison, il ne peut s'empêcher de le regarder et de le juger en quelques secondes. Même s'il est assez intelligent pour revoir son jugement, il estime que la première impression est des plus importantes. C'est sans doute pourquoi, il essaie toujours de ne rien laisser au hasard. Alors... on se rencontre ?

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PSEUDO/PRENOM : Charline. ÂGE : > 13 (a). COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Par Zoey. QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Bon... j'ai cherché le code de validation trois fois, je suis trop habituée je crois xD FRÉQUENCE DE CONNEXION : Journalière, normalement. MOT POUR LA FIN : BOUH !

[Sang]. « Les grandes histoires commencent dans le sang » m'a un jour dit mon père. Je contemplai mon genou égratigné, je frottai mes yeux gorgés de larmes et oubliai cette phrase des années durant. L'air sévère qu'il prit alors que je ne demandais qu'un peu d'attention fut la seule relique de cette chute de cheval qui ne ma laissa aucune cicatrice, mais eut le mérite de blesser mon orgueil déjà disproportionné.

[Famille]. Bien plus tard, au moment d'entrer à Poudlard j'imagine, j'ai repensé à ces mots. Comment je suis né ? Dans le sang de ma mère, durant sa césarière. Le 4 mai 2052. un incendie avait eu lieu non-loin de là et quelques cendres tombaient encore ici et là, laissant les enfants et les fous imaginer que quelques flocons de neige se posaient sur le printemps de cette année pas plus spéciale que les autres. J'ai poussé mon premier cri à peine une ou deux minutes après celui de ma sœur et j'ai cru comprendre que nos mains s'étaient frôlé avant qu'ils ne nous séparent. Mon père a éprouvé de la satisfaction lorsqu'il nous a vu, et ma mère un tel bonheur qu'elle s'est mise à pleurer. Je ne lui ai pas demandé davantage de détails parce que ces instants représentent peu pour moi. Cette mère nourricière que je devrais affectionner porte en elle le sang des moldus, elle a brisé une lignée de sang pur et tout un symbole avec elle. Elle est le point final d'un rêve, d'un destin, de quelque chose de grand et c'est ça que je ne pourrai jamais lui pardonner.

[Ornella]. Pourtant, depuis tout petit, nos rapports ont toujours été cordiaux mais je n'arrive pas à la prendre dans mes bras ou lui dire qu'elle compte pour moi. Enfant, je restais avec Ornella, souvent, toujours. C'est sans doute ça qui fait qu'un simple coup d’œil nous suffit pour décrypter les humeurs de l'autre. On peut rester des heures sans se parler ou passer trente minutes à se raconter une anecdote. On ne se cache rien et souvent, il nous arrive même de nous raconter nos exploits vu qu'on a tous les deux tendance à enchaîner les conquêtes. Ma sœur et moi... j'ignore si nous cherchons ou fuyons la même chose sous les draps... Toujours est-il que je ne me permets pas de la juger. Après tout, pourquoi moi je pourrais m'envoyer qui je veux et je la regarderais différemment ? Et puis c'est ma sœur, une partie de moi. J'ai une telle opinion de moi-même que je ne peux décemment pas lui manquer de respect.

[Héritage] Ah oui, vous ne saviez pas ? Je suis quelqu'un d'un tantinet hautain. Ma grand-mère paternelle appelle cela avoir le caractère des Sanders. Ma mère dit que les gens bien ne traitent pas les autres comme des chiens. Qu'est-ce que j'y peux si les Moldus valent forcément moins que les Sorciers ? Quand nous nous engageons sur ce genre de débat, je voudrais la faire léviter jusqu'à la fenêtre et la laisser tomber mais elle a eu le mérite de me porter et supporter pendant neuf mois alors rien que pour ça, je ne fais rien. Je regarde le lustre de la salle à manger en comptant le nombre d'ampoules pour la énième fois, je me demande aussi ce que j'ai mangé hier et qui puisse me donner mal au bide comme ça. Et puis je me souviens que j'ai essayé de fumer un cigare avec l'un de mes amis et que ça m'a rendu malade toute la journée.

[Sexe]. Mais parlons de quelque chose de plus intéressant. On pourrait commencer par toutes les raisons qui font que les élèves comme Dylan Nicholson ou Corey Fields devraient finir avec la tête enfoncée dans les toilettes mais ce serait leur accorder de l'importance que de parler d'eux, donc évoquons : le cul. Normal. J'ai commencé à quatorze ans avec une autre élève, de Serpentard évidemment. On s'entendait bien et puis, de fil en aiguille... Elle m'a annoncé qu'elle était enceinte puis elle a fait une chute dans les escaliers, chute qui lui a coûté la vie d'ailleurs. Elle s'appelait Samantha mais ça, tout le monde s'en fout maintenant. J'en ai eu d'autres mais qui n'ont pas vraiment compté à mes yeux et puis, je n'ai jamais promis le mariage à ces filles. Nous étions juste consentants et assez proches pour partager ce genre de moments. Pour la plupart, soyons honnêtes : elles n'étaient pas non-plus intéressées par ma « beauté intérieur ». Il faut dire que je dis partout que je suis un Sang-Pur, question de prestige. Je trie mes amis assez cruellement et je suis odieux avec ceux que je n'aime pas. Quand Ornella est avec moi, nous formons un très bon duo et dès que les pleutres nous croisent, ils baissent les regards. Les plus téméraires essaient de se mesurer à nous. Peine perdue.

[École]. Je pourrais les respecter, ces élèves qui croient que l'amour c'est beau et que la gentillesse pousse sur les arbres. Je pourrais, mais je ne le fais pas. Et les professeurs... Souvent une bande de guignols qui n'a rien à faire ici car ils ne savent pas s'engager, prendre des initiatives. Ce n'est qu'une bande de petits pantins qui obéissent et essaient d'imposer l'équité mais dans la vraie vie, la justice n'est pas de mise. Il m'est déjà arrivé de tomber sur plus forts que moi et de me prendre une bonne raclée, et d'en mettre une aussi même si je ne suis pas du tout le genre à me battre. J'ai tendance à croire que les bleus peuvent se résorber mais que les blessures d'orgueil, les trahisons et les peines y parviennent beaucoup moins bien. Je ne tire aucun plaisir de... bon d'accord, j'aime assez faire souffrir les autres. Les faibles parce que : autant qu'ils s'y habituent dès maintenant, et les autres pour qu'ils sachent bien que je ne laisserai jamais mes blessures me mettre à terre.

[Avenir]. Récemment, je me suis séparé de ma dernière copine : Katherine. Mais Katherine est spéciale et pas seulement parce qu'elle appartient à une autre maison. Nous passions de longues soirées à la bibliothèques ensembles et parlions de tout et de rien, j'avais confiance en elle et tout en elle me rendait amoureux. J'ai appris qu'elle était née moldue et le dégout pour cette nature a plié genou face à notre attachement mutuel. Autour du cou, j'ai un pendentif que ma mère m'a offert il y a quelques années. Je le garde précieusement car elle me connaît bien, et... finalement je nous découvre souvent de nouveaux points communs. Elle est aussi organisée que moi et elle boit aussi du jus d'orange à la bouteille dès le matin, avant de faire quoique ce soit. Elle m'achète des carnets, très souvent, avec des couvertures en cuir. Pour que je puisse dessiner ou écrire à l'intérieur et récemment, elle m'a glissé quelques nouveaux stylos quand je disais à notre père que les miens se fatiguaient. L'été avec elle... je ne manque pas de dire que c'est un supplice mais c'est assez reposant. Katherine ne me fait pas penser à ma mère, Angela, ce serait stupide. Elle me fait penser que les moldus ont le droit d'exister, et ça... Je ne supporte pas. J'ai quitté Katherine il y a un moment parce que cette relation commençait à me faire trop réfléchir. Je m'asseyais à table pour manger et je regardais mes amis avec le même œil inquisiteur qui me servais à juger les autres. Leurs rires sonnaient faux et leurs conversations vides. J'ai quitté la table. Et j'ai quitté Katherine.

[Échos]. Désormais, je reste fidèle à moi-même. J'ai besoin de petits moments de solitude, sans Katherine qui ne semble bizarrement pas m'en vouloir, sans les messages de mon père qui me demande de ne pas faire honte à la famille, sans Ornella qui me manque et que je ne peux malheureusement pas contrôler à ma guise... avec simplement un livre, un carnet et un stylo. Je me suis fait tatouer un Ouroboros sur l'omoplate. Il me rappelle à quelle maison j'appartiens et la futilité avec laquelle nombre d'entre nous continuons de tourner, pour nous dévorer. Je devrais arrêter de réfléchir et suivre simplement les cours... Simplement.