Octobre et son vent froid, octobre et Halloween. Je ne suis pas un grand fan de cette fête et je crois que je ne participerais pas aux festivités prévue du château. Je me suis occupée des citrouilles dans le potager de l'école, elles sont toutes prête pour la soirée qui approche à grand pas. Il ne fait pas très beau aujourd'hui. J'ai couru ce matin profitant de la courte accalmie de cette nuit. Le temps était plutôt mauvais et je sens que ça ne va pas s’arranger. Les bourrasques de vent sont plus forte que d'habitude. Je revenus trempé par la pluie qui s'est mise à tomée. J'ai passé la journée à m'occuper des citrouilles à en apportée au château. Le reste de la journée je l'ai consacré regarder si des élèves s'aventuraient dans la forêt pendant que je m'entraînais au tir à l'arc. J'aime bien ce sport, il me détend vraiment et me fait prendre toute mon attention. J'oublie tout quand je suis autant concentré. Pour le moment je n'ai pas eu de plaintes concernant cette distraction.

J'ai du arrêté le tir en milieu d'après midi. Le ciel est devenu gris et la pluie s'est mise à tombée si fort qu'on ne voyait plus rien. J'ai retrouvé ma cabane et me suis séché, enlevant mon t-shirt et le posant devant la cheminée. Mon salon est moderne est chaleureux, j'ai transformé la vieille cabane d'Hagrid en quelque chose de plus sain et plus approprié à ma taille. J'ai fait apparaître des cloisons qui séparent la pièce centrale de ma chambre, de la salle de bain, de la cuisine et de la salle à manger qui ne fait qu'un d'ailleurs. J'ai tout ce qu'il me faut ici. Je me pose dans le canapé en face de la cheminée et ouvre un bouquin que j'ai été prendre à la bibliothèque. J'ai posé mon arc sur la table basse, espérant que la pluie s'arrête pour que je reprenne une activité convenable.

Je pensais être tranquille pendant un moment, mais on a toqué longuement à la porte. Intrigué j'ai posé le livre sur la table et suis allé ouvrir, sans remettre mon t-shirt. Sur le devant de la porte j'ai alors vu une demoiselle trempée, que je ne me souvenais pas avoir déjà vu depuis le début de cette année. J'étais arrivé depuis peu et je ne connaissais pas encore tout le monde. Je n'ai pas percuté qu'elle avait besoin de trouvé un abri et l'ai interrogé du regard en lui demandant :

« Y a un problème?»

Ce n'était pas très accueillant, je l'admets, mais généralement quand on vient taper à ma porte c'est parce qu'il y a un problème et c'est toujours sur moi que ça retombe et je n'avais pas vraiment envie de me déplacer par ce temps pourri.

the first time i meet you

Je n’étais pas vraiment nouvelle, j’avais déjà travaillait à Poudlard durant 1 an avant de demander ma démission et j’étais désormais revenue après 2 ans. Reprendre les habitudes était assez dur, mais j’allais m’y faire et je le devais puisque je devais être au top pour mes élèves et aussi pour moi-même, travailler aller m’aider à passer à autre chose et à prévoir un avenir, j’avais un peu changé, la jeune femme dynamique et amicale avait malheureusement disparu et avais laissé place à une femme plus distante et froide au premier abord, mais c’était une simple carapace qu’il fallait gratter pour découvrir mon cœur tendre et doux que je cachais aux yeux des hommes. Oui, je suis très méfiante et distante, je n’ai pas eu de relation depuis le décès de mon mari et je ne sais pas quand je serais capable d’en fréquenter de nouveau, j’avais tellement souffert de ma précédente relation qui avait très bien commencé pour finir en désastre donc on ne pouvait pas me qualifier de femme à hommes. Beaucoup de femmes me reprocher de ne pas assez m’amuser et de pas profité de ma beauté, certes j’étais belle et je le savais mais je n’en jouais pas au contraire ce n’était pas quelque chose pour moi, je n’étais pas doué pour parler aux hommes ni même pour draguer, le célibat est très bien pour moi.

Aujourd’hui j’avais eu quelques cours, le jeudi était un jour assez calme pour moi et j’aimais bien en profiter, pour passer à la bibliothèque et prendre des livres mais aussi me promener dans les jardins mais aussi la forêt. C’était interdit évidemment mais pour les élèves et j’en’étais plus une désormais, j’aimais bien prendre l’air frais, et c’était le cas de le dire, aujourd’hui l’air était particulièrement froid, une petite brise s'était levée après mon départ je m’étais aventuré assez profondément dans la forêt, je n’avais pas prévu qu’une tempête se déclare aussi vite. Le vent et la pluie s'étais mise à fouetter mon visage, une sensation plutôt désagréable, j’essayer de me couvrir le visage mais en vain, mon écharpe ne recouvert que mon nez, mes paupières légèrement fermer je me fraye un chemin dans le vent et les arbres.

Finalement j’avais réussi à atteindre après de longues minutes dans le froid, la cabane du garde chasse, voyant de la lumière je fus soulager de savoir que tu étais bien là. Je ne t’avais pas encore rencontré, et j’avais appris que tu étais arrivé qu’il y a quelques jours. Sachant que tu étais un homme, je devais me préparer avant de venir te déranger à cette heure, j’étais trempé et j’étais trop épuisé pour monter jusqu’au château qui était encore loin. Prenant mon courage à deux mains je m’approche de la grande porte en bois et frappe fortement contre celle-ci, attendant une réponse de ta part. Pitié, Pitié ouvrez-moi, pensais-je, c’est alors que tu te décides à ouvrir. C’est là que je te découvris, posant mon regard noisette sur ton être, tu étais torse nu, mon regard arrêter pas de descendre de tes pieds à ta tête. Dieu que tu étais beau, ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps de trouver un homme de ta carrure aussi attirant et beau, bien que tes dires me firent sursauter. Je devais sortir de ma contemplation, c’était inapproprié j’entrouvre alors les lèvres et souffle légèrement pour me préparer à parler de façon normal.

« Je… je suis désolée de vous déranger mais puis-je me mettre à l’abri dans votre maison, s’il vous plais ? Je n’avais pas prévu de me retrouver sur une tempête et le château est trop loin. Je suis confuse de vous d’embêter, vraiment… »

J’avais veillé à détourner le regard pour ne pas paraître insistante, ta musculature rendait la chose encore plus difficile pour moi, et j’étais vraiment perturbé par la sensation que tu provoquais en moi. Je pensais ne plus ressentir d’attirance pour un homme et tu venais juste de me prouver le contraire et cela me faisais peur, tu me faisais peur.

La pluie tombait en déluge et je pensais avoir un moment pour moi, ne pas être obligé de rejoindre le château parce que tel où tel élève était dans un endroit interdit. J’espérais que ce tapement à la porte ne me prive pas du feu de la cheminée qui réchauffait la cabane. Il faisait bon vivre ici depuis que j'avais tout changé et il m'avait fallut à peine une demie- journée. Je suis allé ouvrir ne me souciant pas du fait que j'étais torse nu. Je ne pensais pas du tout qu'une femme pouvait venir frapper à ma porte. Pourtant lorsque j'ai ouvert, j'ai du me rendre à l'évidence. Le monde n'est pas fait que d'hommes. Poudlard ne l'est pas fait non plus.  Je lui ai donc demandé s'il y avait un problème oubliant ma gentillesse. Je peux me montrer parfois très froid envers les jolies femmes, parce que je me souviendrais toujours de mes deux dernières relations qui ont étés un désastre.

J'observe cette demoiselle que je ne connais pas encore, je n'ai pas eu le temps de faire la connaissance de tout le monde. Je ne suis là que depuis septembre et en  un mois j'ai surtout été ici et j'ai pas mal surveillé la forêt et le château et je me suis occupé aussi des fameuses citrouilles qui allaient être détruites si je ne les mets pas à l'abri. J'ai levé les yeux au ciel parce que je pensais à ça et pas pour ce qu'elle me disait, mais ça elle ne pouvait pas le savoir. Je me suis reculé pour la faire entrée tandis que je sortais à nouveau.

« Il faut que j'aille … je reviens tout de suite faites comme chez vous.»

Si je lui expliquais qu'il fallait que je protège des citrouilles de la pluie elle allait me prendre pour un fou. Je suis donc sorti comme ça, sans prendre le temps de mettre un t-shirt. Elle trouverait ça aussi étrange que le reste. Je suis resté quelques minutes dans la cours où les citrouilles prenaient l'eau. J'ai fait apparaître par magie une serre qui les protégerait le temps des intempéries. La pluie ne me permettait pas de voir autour de moi et je suis rentré après quelques minutes aussi trempé qu'au départ.

« Désolé il fallait que les citrouilles de la directrice ne prennent pas la flotte.»

Encore une phrase un peu douteuse, j'ai l'impression que je suis le seul à  dire des choses de la pire des façons. J'ai fermé les yeux me trouvant stupide, puis je suis retourné devant ma cheminée, j'ai rangé mon arc sur le côté de la cheminée plutôt que sur la table. Je n'ai regarder si elle m'avait suivi ou pas et n'étant pas très bavard le silence c'est vite installé.

the first time i meet you

Alors que tu m'observes longuement, tu décides enfin à me laisser rentrer, je souris soulager et entre en passant près de toi alors que tu sors à ton tour, pour faire quelque chose sous la pluie.

« Il faut que j'aille ... je reviens tout de suite faites comme chez vous. »

J'entrouvre les lèvres et hoche le visage, j'entre alors dans la maison que tu avais apparemment refait et le résultat était pas mal à vrais dire, enlevant ma capuche je déboutonne lentement les boutons de mon manteau, approchant de la cheminée pour me réchauffer, bon dieu que sa faisais du bien j'avais enlevé mon manteau pour le mettre à sécher devant le feu de la cheminée qui crépite. Laissant mon regard parcourir la pièce, j'étais assez curieuse de voir comment les hommes pouvaient emménager leur maison. En pensant à cela, je me rends vite compte qu'on sera tous les deux, chose qui n'étais pas arriver depuis mon mari et la peur m'envahi soudainement, je ferme les paupières et inspire profondément. Calme toi Jessie, il n'est pas comme lui, il ne te fera rien, respire. Alors que la porte d'entrer s'ouvre de nouveau pour te laisser entrer totalement mouiller et torse nu, bon dieu tu voulais me tuer ? Je détourne rapidement le regard sur le feu en me mordant la lèvre inférieure délicatement.

« Désolé il fallait que les citrouilles de la directrice ne prennent pas la flotte. »

Je souris doucement à la suite de tes dires qui étaient assez amusants, mais je ne dis rien et me tourne vers toi en te souriant, bien vite le silence avait pris place et c'était assez perturbant, je pose alors mon manteau sur le dossier d'une chaise près de la cheminée pour qu'il sèche. Je m'approche alors de toi timidement et te tends ma main d'une façon à rester polie même si j'étais nerveuse, la main que je venais de te tendre trembler légèrement je ne pouvais pas me contrôler entièrement.

« Je suis Jessie McAdams, professeur de sortilège et d'enchantement, encore désolée de vous déranger à cette heure-ci... »

Je te souris doucement pour ne pas que tu remarques mon malaise et ma peur qui avais commencé à me faire devenir un peu paranoïaque. Après avoir serré ta main, je glisse la mienne dans mes cheveux lentement pour placer une de mes mèches rebelle derrière mon oreille.

« Je ne vous ai pas encore vue au château, ni même à la rentrer ! »

Je devais bien faire la conversation, tu n'avais pas l'air de vouloir le faire et même si j'étais habituellement calme et discrète je n'aimais pas les blancs comme il y avait en ce moment.

Mon attitude à du lui sembler très étrange. Je suis reparti dehors sans lui donner plus d'explications. J'ai protéger les citrouilles et suis revenu. En rentrant elle était déjà près de la cheminée à se réchauffer. La pluie tombait toujours autant et je comprenais qu'elle n'avait pas eu le courage d'aller jusqu'au château. Elle aurait pu tomber malade après ça, ou même se perdre à cause de la visibilité qui était faible. J'aurais eu du mal à lui refuser d'entrer, même si j'avoue avoir eu envie d'être seul. La solitude est une grande amie pour moi. J'ai tendance à être un mur lorsqu'il y a du monde autour de moi. J'ai du mal à parler et à me confier. Je ne fais pas confiance facilement alors je me ferme à chaque fois pour me protéger, mais ce n'est pas la meilleure des solutions je l’admets. J'essaie de me guérir, mais ce n'est pas si simple. Elle ne semble pas plus déstabilisé que ça que je sois allé m'occuper de légumes ... tant mieux d'autres se serait foutus de moi.

Je me suis approché de la cheminée et ai saisi une serviette que j'avais posé sur le fauteuil tout à l'heure. J'étais trempé et à moitié nu. Elle doit vraiment me trouver étrange. Je n'ai pas de problèmes avec mon corps loin de là, mais il est clair que ce n'est pas tous les jours que je me dévêtis ainsi et surtout devant une femme qui soit dit en passant est très belle. Je me sens un peu stupide et ce silence qui s'installe ne m’arrange pas autant que je l'aurais cru. Il est pesant. Elle me tends la main en se présentant. Jessie Mcadams, son nom de famille me fait penser à la famille adams ...

" Comme la famille Adams ... "

Cette remarque était inutile. Je le sais bien. Je suis un peu idiot parfois à vouloir faire de l'humour sans y arriver. Je dis des choses qu'une personne saine d'esprit ne dirait pas. J'ai comme l'impression que je suis loin d'être saint d'esprit. Je me parle parfois à moi même, pour vous dire ... oui je suis un peu étrange et dans mon monde, mais c'est le seul moyen que j'ai pour supporter les choses. J'ai saisi sa main pour la serrer, salutation de base en quelques sorte.

" Logan Smythe. Je suis le garde chasse, mais ça je pense que vous l'avez compris."

Elle n'était pas bête et voyait bien que j'habitais là. Je suis vraiment un crétin quand je m'y met. Enfin tout le monde ne me connait pas, donc elle ne sait peut-être pas qui je suis, du moins elle ne savait sans doute pas mon prénom et d'ailleurs elle me le confirme en me disant qu'elle ne m'a pas vu à la rentrée. Normal je n'aime pas la foule et je n'ai jamais vraiment aimé assiter à ces cérémonie, c'était cool quand j'étais élève, mais maintenant ça me rappelle trop de choses que j'ai envie d'oublier.

" En effet, j'ai préféré rester ici. Je ne suis pas très à l'aise avec la foule."

Excuses bidon, mais elles sont faites pour s'en servir et puis ce n'est pas vraiment un mensonge, c'est vrai, je ne dis juste pas tout parce que je ne la connais pas. Je fini par m'assoir dans l'un des deux fauteuil près de la cheminée. Je remet mon t-shirt parce que je ne tiens pas vraiment qu'elle pense que je suis exhibitionniste. J'ai une certaine pudeur tout de même.

" Vous pouvez vous assoir, je ne vais pas vous manger."

Je lui ai souris espérant ne pas avoir été trop nul. Je ne suis pas cannibale et pourtant j'ai l'impression qu'elle a un peu peur de moi sans que je ne sache vraiment pourquoi.

the first time i meet you

Avec chance tu avais sentit mon mal être à te voir dénudé face à moi, tu avais remis ton t-shirt je fus déçu secrètement évidemment même cette sensation m’étais étrangère maintenant, je n’avais pas ressentit de l’attirance pour un homme depuis maintenant, c’était une sensation qui m’avais coupé légèrement le souffle lorsque tu m’as ouvert la porte torse nu, ta carrure viril m’ayant chatouillé les hormones qui c’était endormis depuis 2 ans. A tes dires sur mon nom, j’entrouvre les lèvres en te regardant, personne n’avais encore fait le rapprochement, ni même un élève, cette comparaison à la famille Adams me fis rire, une petit rire doux. C’étais devenue rare que je puisse me laisser aller de cette façon mais ta manière de le dire, si simplement et sans même réfléchir m’avais calmé, mais nerfs et mon tremblement c’était calme, je ris doucement et passe mes doigts sur mes lèvres pulpeuse avant de faire un hochement d’épaule.

« Comme la famille Adams... »

« Eh bien, on m’a jamais faite cette remarque Monsieur Smythe… C’est bien trouvé ! »

Je me mords la lèvre inférieure doucement en souriant, et regarde le fauteuil qu’il me montre de la main, puis m’assoie pour ne pas rester debout, à vrai dire j’étais épuisé j’avais beaucoup marché contre le vent et la pluie et j’avais mal dans les jambes. Je frotte doucement mes mains contres mes cuisses mon jean était encore un peut humide mais je m’étais peu à peu réchauffer, ta cabane était très chaude, la cheminée offrait vraiment une bonne chaleur agréable.

« Je comprends, vous devais être au calme et tranquille aussi loin du château… Je n’étais jamais venue par ici. Je vous ai interrompus dans votre lecture non ? »

J’avais posé le regard sur le livre ouvert sur la table basse près du sofa, je te regarde et le prend doucement dans mes mains pour regarder la page de couverture en gardant évidemment ta page pour ne pas la perdre en refermant le livre.

« Je vais attendre que la pluie cesse pour rentré au château, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps ! »

C’étais vrais, j’avais toujours l’impression de m’incruster alors que ce n’était pas vraiment le cas j’avais juste besoin d’un abri le temps de la tempête et de me séché un peut. Mais tu avais l’air assez distant et froid comme homme, et cela me rendait assez mal à l’aise, je ne voulais pas t’importuner d’avantage. Je me lève alors du fauteuil en m’approchant de la fenêtre qui se trouve près de la porte d’entré pour observer l’extérieur, la nuit était tombé lentement sur l’horizon le château n’était même plus visible.

Nous étions tous les deux au sec et je plains celui qui est dehors en ce moment. Au chaud devant la cheminée, j'ai remis mon t-shirt reprenant un peu de ma pudeur, même si ça ne me dérangeait pas qu'elle m'ait vu torse nu. Je n'y ai pas prêter tant attention. Je lui ai fait remarquer que son nom me faisait penser à la famille Adams. J'ai essayer d'être drôle, mais il y a encore du travail pour que je le sois réellement. Généralement quand je commence à sortir ce genre de remarque c'est que j'essaie de me mettre à l'aise et de paraître gentil. Je ne suis pas méchant pour autant, c'est juste que j'ai du mal avec les gens. Elle a rit à ma remarque, j'ai souris. C'est la première fois que ça arrive, qu'on ne prenne pas pour un nul à la suite de ce que je dis. Elle me dit même que c'est bien trouvé.

« Vous trouvez? Ce n'était pas tellement approprié pourtant.»

Je n'ai pas le sens de ces choses là. J'ai été un peu à l'écart du monde ces derniers temps, à ma façon certes. Je sortais moins, parce que j'avais besoin de me retrouver seul et d'oublier certaines choses. Ça m'a aidé à faire mon deuil, mais pas à être totalement un autre. J'ai toujours des envies de vengeances, malgré tout ce qui a pu arrivé. Je m'étais assis près de la cheminé et lui avait proposé d'en faire autant. Je ne sais pas pourquoi, mais je la sens hésitante. Je lui ai donc fait remarquée que je ne le mordrais pas. J'ai un caractère plutôt calme, bien qu'il ne faut pas me pousser à bout non plus. Je sais encaisser pas mal de choses et rester calme ça perturbe pas mal de monde d'ailleurs. Elle m'indiqua ne pas m'avoir vu à la rentrée et je lui ai expliquer pourquoi, je ne suis pas du genre à aimer la foule, voilà mon excuse. Elle m'avait interrompue dans ma lecture … le livre qu'elle tenait en main, c'était un livre de Ian Fleming, l'auteur des james bond. Je ne savais pas qu'ils avaient ça à la bibliothèque, c'est plutôt amusant. J'aime bien lire des romans moldus et j'adore les histoires d’espionnage.

« Je venais seulement de commencer, je connais l'histoire par cœur, j'ai du voir les films autant de fois. »

Ça allait lui paraître étrange tout ça, en même temps je suis né moldu, ça fait partie de la culture que j'ai connue. Elle ne voulait pas me déranger, c'est mignon de sa part. Je ne sais pas quoi lui répondre et fini par lui dire :

« Vous ne me dérangez-pas, si c'était le cas je vous aurez refermer la porte au nez. »

J'étais très sérieux, si on m'aurait vraiment déranger c'est ce que j'aurais fait. Je suis quelqu'un d'assez honnête alors autant qu'elle le sache.

the first time i meet you

Je m’étais finalement levé du canapé pour m’approcher de la fenêtre regardant l’extérieur attentivement alors que tu m’expliquer que tu avais déjà lus le livre plusieurs fois mais que tu t’en lasser jamais de le lire. Je souris doucement et tourne mon visage vers toi te regardant attentivement. J’étais pareil, à relire encore des bouquins que je connaissais déjà par cœur, c’était toujours amusant de revivre une histoire et de retrouver des personnages que l’on à connus. Je crois mes bras sur ma poitrine en hochant lentement le visage, même si je ne te déranger pas je n’aimais pas être imposante et être dans un endroit qui n’était pas habituellement connu pour moi, mais se soir je n’avais pas eu vraiment le choix, j’aurais étais malade le lendemain si j’avais pris la peine de remonter jusqu’au château sous cette tempête.

« Je comprends, je relis souvent les mêmes livres. Surtout ceux que j’ai adoraient, j’aime beaucoup me retrouver dans l’histoire et revivre l’aventure. »

Je ne voulais pas rester silencieuse, même si bientôt se serais le cas, étant assez insociable depuis 2 ans du moins j’avais toujours du mal à parler aux hommes ou même aux gens en générale mais je gardais le même sourire, un masque que j’avais réussis à créer pour duper les gens.  Je regarde la pièce de nouveau en observant chaque détail, curieuse de nature j’aimais essayer de connaitre les gens à leur habitude et leur endroit de vie c’était amusant. Le silence fus de courte duré puisqu’un bruit sourd venait de l’extérieur de la cabane, je me recule après avoir sursauté regardant la porte et la fenêtre que je venais d’approcher il y à quelque minute. Non, bon d’accord j’étais une peureuse mais pas totalement j’avais réussi à me promener dans la foret interdite toute la journée. Il y à avais du soleil, c’est sur que je n’aurais pas eu l’idée de faire cette balade pendant la nuit. Restant près du canapé ou tu étais encore assis, j’inspire profondément alors que la seconde d’après vous vous retrouver dans le noir complet, juste les flammes dansante dans la cheminée brillait et éclairais le canapé.

« Le courant à sauter… »

Dis-je en soupirant doucement, me mordant la lèvre je commencer vraiment à paniquer, en espérant que la tempête se calme très vite et nous laisse du calme jusque demain matin. Je fini par m’asseoir près de toi, tournant mon visage vers toi savoir si tu aller faire quelque chose ou pas, c’était risquer de sortir dans le noir et en plus dans une tempête qui pouvait faire n’importe quoi, il manquerait plus que tu perdes connaissance à l’extérieure sans que je ne le sache, vaudrais mieux que je sorte avec toi si tu décidé de sortir.

Je ne suis pas passé pour un idiot cette fois, j'ai souvent cette impression ces derniers temps, hors ce n'est pas forcément le cas. Je suis donc plutôt content qu'elle m'avoue faire la même chose. Lire est devenu un passe temps depuis un certain moment, enfin ce n'est pas ce que je préfère, je suis plus dans l'action, mais lorsqu'on a pas le choix comme aujourd'hui alors ça me fait passer les heures. Le silence s'est à nouveau installé. Nous n'avons pas grand chose à nous dire. Je ne sais pas comment meubler la conversation. Je ne suis pas très doué pour les bavardages. J'ai tendance à les fuir plutôt qu'a les créer alors les heures risquent d'être très longue si on ne fait pas quelque chose. Je regarde les flammes qui dansent dans la cheminé sans trouver quelque chose à dire jusqu'à ce que tout s'éteigne. Il n'y a plus que le feu de cheminé qui nous éclaire. La boîte électrique est dehors évidement, à l'abri de la pluie puisque j'ai utilisé un sort d'imperméabilité, mais ça n'empêche pas les coupures de ce genre. Je regarde la porte me demandant si c'est intelligent d'aller voir pourquoi ça a sauté, la réponse est évidente, non je serais fou de sortir maintenant. C'est toujours dans des situations pareil qu'un événement étrange arrive, enfin dans les films d'angoisse, alors je préfère rester ici tandis que tu te rapproche lentement de moi. J'ai esquisser un sourire et puis j'ai finis par demander:

« Tu as peur?»

Je me rends compte que la question était stupide, c'est comme demander s'il pleut dehors, je le vois qu'elle est un peu surprise et qu'elle a l'air légèrement peu rassurée. Je ne sais pas vraiment pourquoi, ce n'est pas moi qui vais lui faire du mal, enfin pas si elle ne m'en fait pas, parce que oui je suis capable d'en faire, mais pas sans raison. Je suis du genre à ne pas me laisser faire quand on m'attaque, ça a toujours été ainsi, je ne parlais pas beaucoup étant élève, mais je ne me suis jamais laissé faire. J'avais envie de la rassurer, mais je ne savais pas trop comment faire, ça non plus ce n'est pas mon fort. Je pourrais peut-être passer mes bras autour d'elle, mais je ne suis pas vraiment tactile avec les gens, donc je continue de ne rien faire, n'osant pas tellement la mettre mal à l'aise, parfois les filles ont des réactions étrange quand on se rapproche trop, ou elles se laissent faire, mais je connais à peine Jessie alors je préfère ne pas être maladroit, surtout qu'elle ne me laisse pas indifférent.

the first time i meet you

Jessie n’était déjà pas très rassurée. Elle était revenue au château il y à quelques mois pensant être prête à reprendre sa profession et la voilà enfermer dans une cabane, près d’un homme inconnu et en plus de cela dans le noir, le destin se jouait d’elle c’était certain ou il faisait exprès pour voir si ses nerfs étaient à chaud et si elle était vraiment remise de ce qui lui était arrivé. Toujours assise près de toi après la panne elle ne savait pas réellement comment réagir, si elle devait s’éloigner, ou te faire confiance en restant à proximité de toi après tout si il lui arriver quelque chose tu serais là pour l’aider, mais que pouvait t-il lui arriver ? Elle devait garder son sang froid et ne pas paniquer, tu étais un membre de Poudlard et même si tu étais nouveau la directrice de te faisais confiance donc elle aussi, du moins elle essaye. Sa main posé sur son genoux, effleuré la tienne sans qu’elle ne le fasse exprès puisqu’elle était surtout préoccupé par le vent et la tempête qu’il y avait  dehors, mais malgré tout une présence masculine la rassurée, elle avait beau ce dire qu’elle ne ferait plus jamais confiance à un homme, c’était plus fort qu’elle, autant rester enfermer chez elle pour arrêter de croire en personne, vivre ne voulais pas dire se privé de tout, et surtout d’un homme tout les homme ne sont pas comme .. lui.

Elle se l’était souvent dit, il était son passé plus son avenir, au contraire c’était à elle de décidé de ce qu’elle voudrais faire, continuer à vivre dans la peur que tout recommence, que ce cauchemar l’empêche d’avancer ou de faire de nouveau confiance en quelqu’un pour faire ce don elle rêve depuis toute petite. Maintenant qu’elle était là, et que tu n’avais pas bougé peut être que c’était le bon moment pour se laisser aller, et faire taire ses peurs qui la pétrifie depuis 2 ans. Tu venais de lui demander si elle avait  peur, évidemment elle avait peur mais de quoi réellement ? Tu parler du noir, de la situation du vent et de la pluie qui frapper dans les volets en bois, mais au fond ta question avais des réponses plus large, elle aurait pus te répondre qu’elle avait peur oui, mais pas de la pluie, pas du noir mais des hommes en général, de toi, sans vraiment que sa te concerne directement. Tournant lentement son visage vers toi, la lueur des flammes éclaire ton beau visage ainsi que le sien, elle t’observe attentivement pendant quelque secondes avant d’entrouvrir les lèvres pour te répondre.

« Oui… mais ça va aller ! »

C’était pour te rassurée, même si au final c’était aussi pour se rassurée elle-même, comme si le dire à voix haute la rendrait plus forte et la ferais réaliser qu’elle devait y croire vraiment.

La tempête n'était pas prête de finir. Le vent soufflait fortement et je craignais que les tuiles ne tiennent pas toutes à cette allure là. Je jetais parfois un œil à la fenêtre. Les volets claquaient contre la vitre qui jusque là résistait aux intempéries. Ce n'était pas très rassurant tout ça et ça le fut encore moins lorsque le courant se coupa brusquement. Sortit ne servirait à rien, se serait trop risqué et puis j'avais des bougies et la cheminée éclairait une bonne partie de la pièce tout en nous réchauffant, mieux valait rester ici. Je comprenais qu'elle puisse avoir peur, peur que la cabane ne finisse par s'écrouler, ou peur de moi? Ça je n'en savais rien. Je ne mordais pas, enfin plus en tout cas.

« Oh oui ça ira, ne t'en fais pas, j'ai des bougies et la cheminée n'est pas là de s'éteindre. Je crois seulement que si vous comptiez repartir vers le château ça risque d'être compliqué. Vous n'aurez qu'a dormir dans ma chambre, je prendrais le canapé il est confortable et puis il me reste deux trois trucs dans le frigo, je peux improvisé un repas sauf si vous n'aimez pas le fait maison.»

J'étais sans doute un peu trop entreprenant, mais il n'était pas tôt et autant qu'elle reste ici cette nuit. La tempête et l'orage ne s'arrêterait pas avant demain au moins. Je ne suis pas expert, mais vu comme ça grondait dehors c'était logique et puis elle n'avait vraiment rien à craindre de moi. Je suis carrément anesthésié des sentiments alors bon, je n'allais pas lui sauter dessus, même si j'aurais pu le faire avant ou du moins la draguer parce qu'elle était très jolie, vraiment très jolie. D'ailleurs je me suis rendu compte que je l'observait un peu trop. Je me suis levé pour remettre des bûches dans la cheminée. Je n'osais pas trop ouvrir la conversation, je n'ai jamais été doué pour ça et puis à chaque fois que j'avais envisager d'aller plus loin avec une fille ça s'était mal fini alors je ne croyais plus vraiment à tout ça, mais elle était différente des autres et si on devait rester là pendant des heures autant qu'on ne joue pas au roi du silence, parce que j'étais très fort à ce petit jeu alors autant qu'on parle un peu, puis je ne connais pas grand monde on finirait peut-être par bien s'entendre qui sait, rien n'est impossible.

« Alors tu … tu es professeur ici?»

Non sans blague, elle me l'a dit en arrivant. Je n'avais rien trouvé d'autre à dire. Je n'étais plus habitué à avoir une conversation avec une femme.

the first time i meet you

La belle brune était assez inquiète, la cabane que tu avais retapé était pas aussi solide qu’on pouvait le croire, les bruis fracassant des volets et le vent dans le toit était assez effrayant, on aurait pus croire que les tuiles et tout le dessus de la maison aller s’envoler. Jessie était près de toi, plus les rafales de vents étaient puissante contre les fenêtres plus la belle se rapprocher de toi, son épaule touchant la tienne muscles et chaude, elle tourne son visage vers toi te trouvant à l’observer attentivement ton regard intense et mystérieux la perturber elle aurait voulus pouvoir lire dans tes penser et savoir ce que tu penser d’elle.

« Oh oui ça ira, ne t'en fais pas, j'ai des bougies et la cheminée n'est pas là de s'éteindre. Je crois seulement que si vous comptiez repartir vers le château ça risque d'être compliqué. Vous n'aurez qu'a dormir dans ma chambre, je prendrais le canapé il est confortable et puis il me reste deux trois trucs dans le frigo, je peux improvisé un repas sauf si vous n'aimez pas le fait maison.»

«  Oh, non… enfin ça ne me dérange pas de rentré au château, je ne voudrais pas te déranger toute la nuit, puis le vent va surement se calmer un quart d’heure pour me permettre de remonter jusque dans mes appartements.. »

Elle ne voulait pas te déranger, réellement elle n’avait plus peur de toi tu avais l’air de quelqu’un de gentil et incapable de lui faire du mal sinon tu lui en aurais déjà fait. Alors que tu te lève pour remettre des bûches dans le feu elle se sentit soudainement seule sur le canapé, ta présence la réchauffé et la rassurer, ce mordant la lèvre elle ne te quitté plus du regard glissant ses mains sur  mon jean qui était sec maintenant tout comme mon manteau qui était encore prés de la cheminée à prendre la chaleur.

« Oui, j’étais déjà professeur il y à 2 ans de cela mais… j’ai démissionné pour problème personnel et maintenant que tout va mieux je suis revenue, la directrice ma gentiment redonner le poste. Tu faisais quoi avant d’être garde chasse ? »

Elle était curieuse c’est vrais, mais c’était aussi pour faire la conversation pour pas que tu sois le seul à lui poser des questions tu avais l’air de quelqu’un de plutôt discret et silencieux tu avais surement envie de la voir partir au plus vite.

Si elle savait à quel point elle ne me dérangeait pas, elle serait surprise. Ça fait un moment que je n'ai pas eu l'occasion de parler à une demoiselle de son âge, enfin de son âge, disons qui ne soit pas élève surtout, pour la plupart d'entre eux ils ne n'osaient pas me parler, mais certains n'hésitaient pas, enfin bref, tout ça pour dire que d'avoir un peu de compagnie n'était pas une mauvaise chose. Je n'avais pas de mauvaises intentions envers elle, mais elle avait l'air d'avoir envie de partir au plus vite et cela m'intriguais. Je sais bien que je ne suis pas le plus bavard du monde, que je suis assez maladroit avec les femmes et que je n'ai pas ne très bonne réputation, mais de là à la faire fuir ... ce ne serait pas la première fois cela dit. J'ai haussé les épaules puis lui ai dit d'un air détaché comme si cela ne me touchait pas.

" Il faudra attendre un peu tout de même, je ne voudrais pas que tu t'envoles ou qu'il t'arrive quelque chose sur le chemin, on ne sait jamais avec les temps qui courent même Poudlard devient moins sur."

Je ne sais pas trop pourquoi j'ai dit cela si simplement, ça ne la rassurerait sans doute pas, mais se serait plus sécurisant si elle restait et l'idée de passer une soirée en sa compagnie ne me déplaisait pas le moins du monde, surtout qu'elle était jolie femme et qu'elle avait l'air tout de même sympathique, en tout cas j'ai l'impression que le courrant entre nous restera un peu compliqué à cause de notre discrétion à tous les deux. Ca risque de ne pas être simple d'engager la conversation. Elle a répondu à ma question idiote, oui elle était professeur, elle me l'avait déjà dit pourtant, j'aurais du faire plus attention, mais je suis un peu nerveux, comme toujours lorsqu'une jolie femme est dans les parages. J'ai ainsi appris qu'elle était professeur et qu'elle était revenue après des problèmes personnels réglés. Je me demandais bien ce qui avait pu lui arriver et me disais aussi que la vie n'était facile pour personne. Je ne connais que trop bien les problèmes personnels.

" Oh ... je reviens de New-York. J'y ai habité pendant cinq ans, suite à quelques problèmes personnels également. Je ne faisais pas grand chose, ayant une famille plutôt aisé, je me suis comme qui dirait laissé vivre."

Je ne suis pas très fier de dire ça comme ça et d'avouer que je n'ai même pas travailler avant de trouver ce travail-ci, mais après tout pourquoi le cacher? Ma vie a toujours été un peu hors du commun alors j'ai l'habitude qu'on me juge. Je me fiche un peu de ce qu'on pense en générale, mais étrange je crains qu'elle trouve que c'est une raison de plus pour retourner dans ses appartements du château. D'ailleurs je crois qu'elle va pouvoir le faire, la pluie a l'air de s'être calmée, il pleut toujours, mais moins fort. Je ne la retiendrais sans doute pas si elle souhaite réellement partir, c'est son choix et j'aurais sans doute fais la même chose à sa place.

the first time i meet you

Jessie te regarde en souriant timidement, tes dires l’avais fait rougir. Tu étais donc inquiet pour elle, ce qui était normal le temps dehors n’était pas fait pour se promener et de plus il se passer beaucoup de chose en ce moment à Poudlard, mais la belle brune devras bientôt rentrer. Regardant la cheminé reprendre vie à chacune des bûches que tu rajoute, elle penche lentement le visage en t’observant faire elle ce mord la lèvre inférieur la chaleur venant caresser son visage déjà bien rougis avec la chaleur enivrante de la cheminée mais aussi avec ta présence masculine qui lui faisais tourner la tête, étrangement.

Lorsque la brune te demande alors ce que tu faisais avant elle était surprise d’entendre que tu venais de New York, cette ville si vaste et impressionnante, elle aurait tant aimais y aller quelque temps pour découvrir toute les belles choses de la vie elle était resté enfermer trop longtemps près de son ex-mari qui arrêter pas de la battre et de la traité comme une moins que rien, finalement sa vie avais était triste et sans but jusqu’à ce que tout se fini.

«  New-York ? Sérieusement, mais c’est génial… Sa doit vraiment te changer d’être ici, je veux dire au calme et seul… enfin tu n’es pas vraiment seul, puisque je suis là… nous sommes là, tes collègues mais enfin je suppose que sa doit te faire un grand changement ! »

Elle parlé vite, et maladroitement. Pourtant le fait que tu n’es jamais travaillé ne sembler pas la distraire ou même la perturber au contraire si tu étais assez riche pour ne pas te tuer au travail autant en profité puis maintenant tu étais ici, ce qui voulais dire que tu prenais un nouveau départ. Secouant le visage pour ce calmé, Jessie regarde par la fenêtre puis se lève du canapé pour s’approcher et observer l’extérieur, c’était calme et il ne pleuvait plus. Elle ce mord la lèvre, c’était donc le bon moment pour rentrer au château, mais en avais telle vraiment envie ? Elle se sentait bien ici, avec toi, même si ce n’était pas le cas en arrivant désormais elle était au chaud et en bonne compagnie, tu étais même prêt à la laisser dormir ici, mais elle est t-elle prête à vraiment rester une nuit entière en compagnie d’un homme inconnus, à vrais dire vous veniez juste de vous rencontrer et elle ne savais pas grand-chose sur toi, tu était mystérieux et incroyablement séduisant sa tout le monde pouvait le dire.

Lentement elle se tourne vers toi, en ce tripotant les doigts, elle s’approche de la cheminée la ou tu étais encore, puis elle prend son manteau tout chaud et l’enfile en te regardant, soulevant ensuite ses cheveux bruns pour les laisser tomber dans son dos et ses épaules.

« Bon, je vais te laisser… Merci pour ton accueil Logan, c’est très gentil de ta part de m’avoir laissé entré ! Je te souhaite la bienvenue à Poudlard, et en espérant te revoir au château bientôt ! »

Dit-elle sincèrement et timidement, elle s’approche de toi et dépose un doux baiser sur ta joue, un geste affectueux que la brune n’a pas eu envers un homme depuis très longtemps. Au fond elle était agréablement surprise et contente de cette nouvelle rencontre. Te souriant, elle récupère son sac puis sort de ta cabane, refermant son manteau pour ne pas attraper froid, elle reprend le chemin en direction du château, jetant un dernier regard sur ta cabane.