Madame Hawkins était l’équivalent d’une chieuse pour moi. En effet, elle m’a donné gentiment des cours de soutiens pour soi-disant relever mon niveau. Je n’étais pas le pire de ses élèves pourtant. Je devais faire partis de la moyenne. Mais cela ne remettait pas en cause mes capacités magiques. J’étais très doué avec une baguette, mais je n’aimais pas le montrer, sinon mes parents allaient vouloir m’en demander plus. Déjà qu’ils m’en demander déjà trop pour un élève de Septième année standard. Je n’avais pas envie de m’enquiquiner avec ceci. Surtout que d’après ce que la prof m’avait dit, ça serait cette Préfète-en-chef de Serdaigle. Et qui dit Serdaigle, dit stupide moineaux. Je ne l’a connaissait que de vue, et elle semblait très attaché au règlement de Poudlard et à son statut. Une parfaite petite Serdaigle coincée en somme.

J’avais eu confirmation de cette personne choisit lorsqu’elle m’avait envoyé un mot pendant un cours. Cela m’agaçait profondément, et je ne savais pas si j’allais venir à son rendez-vous à la bibliothèque. Surtout que c’était un endroit où je n’avais jamais mis les pieds. Un stupide première année me cherchait les livres que j’avais besoin. Entrer dans cet espace ne me plaisait pas. Au manoir, nous avions également une bibliothèque. Cependant, elle était pratiquement constituée de livre de magie noire. Alors lorsque petit, m’ennuyant comme une chouette, décidait d’aller lire un livre pour me distraire, quelle ne fut pas l’horreur en voyant un livre avec des têtes qui ressortait. Horrible. Depuis, j’évitais l’endroit, ayant toujours peur, même à mon âge. Je n’étais pas un de ces stupides courageux de Bouffondor.

Je regardais l’heure sur l’horloge de Poudlard. J’avais passé mon après-midi dans le parc à lancer des sorts à tout vas avec Perseus sur des troisièmes années. Il était dix-sept heure quinze. Avec un peu de chance, peut être que Hanswell serait partit de la bibliothèque. Je fis donc un dernier signe à mon ami de toujours, puis je partis direction la bibliothèque. Je croisais certain de mes camarades de maison sur le chemin. Je m’arrêtais pour leur parler, perdant ainsi du temps avant d’arriver devant la porte de la fameuse pièce. Je respirais un coup avant d’ouvrir la porte. J’entrais et fit un tour du regard avant de poser mes yeux sur ma cible. Elle était donc restée ? Intéressant. Je me rapprochais d’elle. Sa phrase me fit sourire intérieurement. Doutait-elle de moi à ce point-là ? Surtout que ce n’était pas dans mon habitude de manquer un rendez-vous, même s’il n’était que... Professionnel.

« Je ne manquerais au grand jamais un rendez-vous que tu m’as donnée, Serdy. » Je lui faisais un clin d’œil charmeur avant de m’affaler sur une chaise autour de sa table. Je n’avais pas emmené mes affaires. De toute manière, elle allait m’apprendre quoi cette fille ? Je pris donc un air tout triste. « J’aimerais bien qu’on revois la théorie du sortilège de lévitation. Vois-tu, je suis tellement nulle, que je n’arrive pas à effectuer un seul sort depuis mon entré à Poudlard ! » Lui demander une telle requête faisait clairement voir à quelle point je me moquais de ces capacités et de ses cours.

Je pris donc un air tout triste. « J’aimerais bien qu’on revois la théorie du sortilège de lévitation. Vois-tu, je suis tellement nulle, que je n’arrive pas à effectuer un seul sort depuis mon entré à Poudlard ! » Lui demander une telle requête faisait clairement voir à quelle point je me moquais de ces capacités et de ses cours. « Ah oui? J'veux voir la gravité de la chose » La jeune fille avait l’air un peu agacé puisqu’elle posait violement un stylo devant moi. Euh… Je me doutais bien qu’elle n’était pas une sang pur, mais de là à me mettre un objet moldu devant moi, il ne faut pas abuser. Je la regardais avec un air méprisant avant de me reculer pour mettre mes pieds sur la table. « Vas-y, je t'en prie » Elle avait un air suffisant, cela me faisait bien rire. Elle n’aurait pas le dernier mot.

Je sortais lentement ma baguette de ma cape de sorcier, la caressais avant de la pointer devant le stylo. J’exécutais rapidement le mouvement en prononçant le sortilège dans ma tête. La plume se levait alors que je la regardais avec un air ahuris. « Mais… J’ai… Pas eu le temps de prononcer le sort ! Ma baguette n’arrête pas d’en faire qu’à sa tête ! » Et pour confirmer mes paroles, je dirais le stylo vers une troisième année de Poufsouffle non loin de nous. Il lui atterrissait en pleine tête, laissant un grand trait au milieu de son front. Je me retenais de rire en la voyant regarder partout à la recherche du fautif. Puis je me retournais vers le moineau en face de moi. « Tu vois ? Ma baguette d’amour attaque même les autres élèves ! Il faut que tu m’aides ! » Je lui prenais ses mains, manquant de perdre l’équilibre et lui fit un regard bouleversé. Elle savait bien évidement que je m’en moquais de son cour. Surtout que cela me donnait une bonne occasion d’humilier d’autres camarades. Ils ne m’avaient rien fait, certes, mais c’était dans mes gênes d’aller humilier les personnes qui me sont inférieur.

Je sortais lentement ma baguette de ma cape de sorcier, la caressais avant de la pointer devant le stylo. J’exécutais rapidement le mouvement en prononçant le sortilège dans ma tête. La plume se levait alors que je la regardais avec un air ahuris. « Mais… J’ai… Pas eu le temps de prononcer le sort ! Ma baguette n’arrête pas d’en faire qu’à sa tête ! » Et pour confirmer mes paroles, je dirais le stylo vers une troisième année de Poufsouffle non loin de nous. Il lui atterrissait en pleine tête, laissant un grand trait au milieu de son front. Je me retenais de rire en la voyant regarder partout à la recherche du fautif. Puis je me retournais vers le moineau en face de moi. La jeune fille avait vraiment l’air en colère. Elle n’appréciait pas ma plaisanterie ? Et bien tant pis pour elle. Elle n’avait qu’à ne pas me donner des cours. « Tu vois ? Ma baguette d’amour attaque même les autres élèves ! Il faut que tu m’aides ! » Je lui prenais ses mains, manquant de perdre l’équilibre et lui fit un regard bouleversé. Elle savait bien évidement que je m’en moquais de son cour. Surtout que cela me donnait une bonne occasion d’humilier d’autres camarades. Ils ne m’avaient rien fait, certes, mais c’était dans mes gênes d’aller humilier les personnes qui me sont inférieur.

Je la vis retirer les siennes pour les mettre sur les miennes. Elle avait l’air compréhensif, mais je savais bien que ce n’était que comédie. « Oh mais bien sûr je vais t'aider! » Alors lorsque je reçus le stylo en pleine tête. Je me levais, faisant bouger la table. Une de ses feuilles volait par terre, mais je m’en moquais. Je la regardais avec un air méprisant. « Oh mon dieu, on dirait que ma baguette a elle-aussi du mal à se contrôler, c'est trop bête! » Elle avait l’air de s’amuser. Je me rasseyais en voyant le regard de la bibliothécaire. En y passant je ramassais sa feuille. Je lançais discrètement un sort pour que les lignes se mélange avant de la lui remettre. « Tiens, elle était tombé, j’ai voulus te faire plaisir en la ramassant. » Je lui faisais un sourire digne d’un acteur pour le visage. Vous savez, ceux pour le dentifrice ou autre. Puis je la regardais d’un air navré. « Si nous n’arrivons pas à lancer ce sort tout les deux, on pourrait lancer un autre sort ? » Je mettais ma baguette sur la table et la faisait tourner. Puis lorsqu’elle s’arrêtait sur une étagère de livre, j’eu une idée. « Hé si on faisait le sortilège Accio ? J’ai du mal aussi. »

Youu make me wanna go
Feat. Richard

Richard envoya le stylo sur une Poufsouffle non loin de nous et suivit le stylo du regard en se retenant de rire, voyant la tête de l'élève. Il se retourna vers moi, l'air faussement paniqué. Plus je le regardais et plus j'avais envie de me révolter. « Tu vois? Ma baguette d'amour attaque même les autres élèves! Il faut que tu m'aides! » dit-il en prenant mes mains et en me lançant un regard faussement boulversé. Je retirais mes mains et les posais sur les siennes, un air faussement compréhensif sur le visage. « Oh mais bien sûr je vais t'aider! » dis-je faussement joyeuse. Je sortais à mon tour ma baguette et lançai exactement le même sortilège que lui. Le stylo arriva rapidement et cogna le derrière de la tête de Richard. Je lui lançai une moue, là encore fausse, désolée. « Oh mon dieu, on dirait que ma baguette a elle-aussi du mal à se contrôler, c'est trop bête! » déclarai-je avant de finalement lancer un vrai sourire. Sans le vouloir cette situation m'avait vraiment amusée.

Richard se releva brusquement, faisant bouger la table. Il me regardait avec ce regard méprisant et cela m'amusait réellement. J'étais de nature douce et gentille, mais quand je voyais quelqu'un comme ça, j'avais juste une envie folle de le remettre à sa place. La bibliothécaire passa à côté de notre table et le serpentard se rassit. Il ramassa même ma feuille qu'il avait fait tomber. « Tiens, elle était tombée, j'ai voulu te faire plaisir en la ramassant » déclara-t-il avec un faux sourire avant de me tendre la feuille. Je pris un air faussement étonné. « Oh merci! » repondis-je en prenant ma feuille avant de me rendre compte qu'il avait mélangé toutes les lignes. Génial, ça allait me prendre au moins 45 minutes pour tout remettre dans l'ordre. Je lui lançai un regard noir et rangeai mes feuilles dans mon bouquin. Il me lança alors un regard navré, mais tout n'était que jeu et comédie chez lui. « Si nous n'arrivons pas à lancer ce soirt tous les deux, on pourrait lancer un autre sort? » proposa-t-il en mettant sa baguette sur la table. Je fronçais les sourcils, en essayant de voir où il voulait en venir. « Hé si on faisait le sortilège Accio? J'ai du mal aussi » ajouta-t-il en pointant sa baguette sur l'étagère de livre derrière moi. Je posais à mon tour ma baguette sur la table en haussant les épaules. « Aah tu sais, je sais pas trop.. Je m'en voudrais que tu finisses tout mouillé.. » dis-je en lui lançant une moue victorieuse alors que je pointais ma baguette sur le distributeur d'eau au bout de la table où nous étions.

© zuzuu

H.S:

Je me rasseyais en voyant le regard de la bibliothécaire. En y passant je ramassais sa feuille. Je lançais discrètement un sort pour que les lignes se mélange avant de la lui remettre. « Tiens, elle était tombé, j’ai voulus te faire plaisir en la ramassant. » Je lui faisais un sourire digne d’un acteur pour le visage. Vous savez, ceux pour le dentifrice ou autre. Elle avait un air faussement choqué. Elle s’amusait, ça se voyant. « Oh merci! » Puis je la regardais d’un air navré. « Si nous n’arrivons pas à lancer ce sort tous les deux, on pourrait lancer un autre sort ? » Je mettais ma baguette sur la table et la faisait tourner. Puis lorsqu’elle s’arrêtait sur une étagère de livre, j’eu une idée. « Hé si on faisait le sortilège Accio ? J’ai du mal aussi. » Elle posait également sa baguette sur la table. Je la voyais la diriger vers le distributeur d’eau. J’haussais les sourcils. « Aah tu sais, je ne sais pas trop… Je m'en voudrais que tu finisses tout mouillé... » C’était donc ça, son idée, me ridiculiser ? Je la regardais dans les yeux, avec un air séducteur. « Je savais que c’était le fantasme de beaucoup de fille, de me voir avec un t-shirt mouillé, moulant ainsi mon corps parfait. Mais je ne savais pas que c’était le tiens aussi ! » Je me retenais de rire. Ce n’était pas un secret pour tout le monde, que j’attirais le regard de nombreuses filles. Alors taquiner la Serdaigle sur ça me faisait rire. Elle n’était pas la fille coincée, qui ne vivait que par les livres. Elle n’était pas la fille que j’avais imaginée avant notre « cours ». Je lui faisais une moue déçue. « Mais c’est dommage… Je voulais vraiment m’exercer pour pouvoir remonter ma moyenne. Mais si tu es aussi incapable que le professeur… Comment je vais faire ? » Je savais que remettre en cause les capacités magiques de cette maison était une des seules choses à ne pas faire. Mais je m’en moquais. Je voulais la mettre sur les nerfs. La voir exploser dans le lieu du savoir. Je la regardais avec un air mauvais. « De toute manière, ça ne m’étonnes pas. Vus ton sang… » Je n’avais aucun préjugé sur le sang, mais je devais garder mon apparence de pro-sang pur.

« Mais c’est dommage… Je voulais vraiment m’exercer pour pouvoir remonter ma moyenne. Mais si tu es aussi incapable que le professeur… Comment je vais faire ? » Je savais que remettre en cause les capacités magiques de cette maison était une des seules choses à ne pas faire. Mais je m’en moquais. Je voulais la mettre sur les nerfs. La voir exploser dans le lieu du savoir. « J'sais pas... Si t'arrêtais de jouer à l'abruti déjà, ce serait un progrès » me répondit-elle. Elle ne manquait pas de mordant. J’aimais ça. Elle venait tout de même de me traiter d’abruti. Et je n’allais pas laisser ça passer. Je la regardais avec un air mauvais. « De toute manière, ça ne m’étonnes pas. Vus ton sang… » Je n’avais aucun préjugé sur le sang, mais je devais garder mon apparence de pro-sang pur.

Elle était à bout. Je le voyais. Sa respiration était devenue rapide pendant un moment, et son poing se resserrait autour de sa baguette. C’était tellement facile de la mettre hors d’elle. La preuve, elle rangeait ses affaires. «  Mon sang n'a rien à voir avec mes capacités intellectuelles et magiques, mais crois ce que tu veux pour t'aider à dormir ». Je gardais mon air mauvais, mon sourire accentuant qu’elle était inférieur à moi. « Il n’y a que la vérité qui blesse. Et vus ta réaction, j’ai touché vrai. » Je savais que beaucoup de née-moldue ou sang-mêlé en avait plus que marre d’être rabaissé, d’entendre qu’ils n’étaient pas assez intelligent pour faire de la magie, que seul les sangs purs l’étaient. Je ne le pensais pas, mais je devais garder les apparences. Je devais satisfaire ma famille. « Dis donc, je sais pas ce que t'as vécu dans ton enfance pour être aussi suffisant que ça mais.. Waoh, ça t'a marqué on dirait. Allez racontes. Maman ne t’a pas acheté le dernier balai? La fille que tu veux absolument te résiste? Papa te voit comme un simple pion dans son ascension à la pureté de sa descendance? » Et elle souriait en plus. Pathétique. Je baillais, montrant que cela ne me préoccupait pas et que je m’en moquais. J’avais appris à ne pas écouter ce que les autres disaient, surtout si c’était pour critiquer. « Ma pauvre, tu n’as donc que si peu d’estime de toi pour attaquer une personne sur son passé ? Et puis, tu as du bol, puisque tout est faux.» Je me relevais de ma chaise puis j’époussetais ma robe de sorcier. « Tu vois cette poussière sur ma cape ? Tu es comme elle, insignifiante. » Je sortis ma baguette et mouilla son sac. « Ça, c’est pour le stylo. Aller, à plus petite Serdy. » Et je partis sans un regard en arrière. Les choses à venir aller être très intéressante.