can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé
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Sujet: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 12:47
Mairéad Aillin Fitzpatrick
NOM(S): Fitzpatrick est un nom de famille Irlandais, plutôt commun et pourtant cette famille s'est toujours démarquée. De part déjà qu'elle existe depuis des décennies. Voulez-vous entendre l'histoire de cette famille? Oui, même si la réponse était non, ça n'aurait fait aucune différence en fait. Alors, tout commença avec l'ancêtre de Mairéad, on le surnommait Fitzpatrick le sage, il vivait en tant que paysan dans un petit village nommé Naas. Il en était pratiquement le chef, car il avait des pouvoirs, des pouvoirs magiques, les gens le respectaient, car ils le craignaient, ils savaient qu'il était capable de choses très étranges. A l'époque c'était une famille de sang-pur, elle l'a d'ailleurs longtemps été, mais les moldus se sont emmêlés et l'arrière grand-père de Mairéad en a épousé une, cassant toute la lignée pour qu'elle devienne de sang-mêlée. Le père de la jeune fille est le maire de Naas et c'est donc pour cela que la famille y est plutôt connue. PRÉNOM(S): La jeune fille a des prénoms typiquement irlandais. Le premier est Mairéad, elle ne sait pas trop comment se positionner face à son choix de l'apprécier ou non. Il est certes original, mais quelque chose la dérange dedans, peut-être parce que c'est sa mère qui l'a choisi ? Possible, c'est d'ailleurs très plausible. Son second prénom est Aillin, mais peu de personnes la surnomment ainsi, principalement sa grand-mère, qui a toujours eu un problème avec les Mairéad. AGE: peut-on dire que l'on devient adulte lorsque l'on a seulement dix-sept ans ? Peu probable, mais la jeune fille vit très bien cette nouvelle liberté qu'est la majorité dans le monde magique. Puis c'est un âge pour faire des bêtises et surtout pour rendre ses parents fous.. LIEU DE NAISSANCE: elle est née dans un petit hôpital à Naas, comme toute sa famille déjà depuis quelques années, et c'était un certain quatre mai. STATUT CIVIL: les question est difficile, aucun homme a su se l'approprier jusqu'à maintenant, elle a toujours eu cette volonté de fer de ne pas être dépendante d'un homme et de ne pas tomber amoureuse. C'est aussi très difficile de la supporter, elle a ses sautes-d'humeur et surtout son charisme peut-être un peu trop fort pour une jeune demoiselle de son âge. Aucun garçon n'a su lui mettre la main dessus ou la garder plus de un mois. Mairéad est volage, n'a jamais eu l'envie de s'engager dans une relation, croqueuse d'homme, on ne lui a jamais donné le mode d'emploi du réel et grand amour. MÉTIER OU ANNÉE D'ETUDE: elle est en septième année, sa dernière, bientôt elle devrait se jeter dans la gueule du loup, plus précisement celle du futur, celle où l'on réussit ou l'on rate. Elle ne sait pas encore ce qu'elle veut faire plus tard, mais travailler loin de chez elle, lui paraît être une bonne idée. MAISON OU EX-MAISON: un caractère de feu, une impulsivité hors du commun, un courage, enfin pour le courage on passera peut-être plus tard, une arrogance et une fierté haut de là des limites, un coeur d'acier et surtout, surtout un orgueil auquel il ne faut pas toucher. C'est une jeune femme sanguine, prête à tout lorsqu'on la lâche sur le ring, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle s'est retrouvée à Gryffondor, mais quelques uns de ses traits de caractère l'aurait bien mené à Serpentard. Mais les rouges et ors ont tendance à plus lui convenir. STATUT FINANCIER: Son père, étant le maire de Naas, ils ont obligatoirement pas mal d'argent. Ca n'a jamais été vraiment très important aux yeux de Mairéad, car leur richesse l'a éloigné de ses parents et de sa soeur jumelle. Omnubilé par tant de sous, ils se sont tous très vite rendu compte que l'argent faisait souvent un tout, mais aux yeux de la Gryffondor c'est différent. Elle mentirait en disant qu'elle n'aime pas son statut financier, mais ça ne la gênerait pas d'être moins riche, de pouvoir vivre une vie comme toutes les autres jeunes filles de Naas, proches de leurs parents. GROUPE: Gryffondor, puisque c'est celui qui lui convient le mieux. STATUT DU SANG: Peut-on juger une personne par son sang? Mairéad pense que oui, parfois elle se comporte comme une vraie sang-pure, mais elle n'en est pas une. Son sang souillé par quelques moldus passant par là, mais elle reste pourtant spéciale. Des yeux bleus comme le ciel en plein été, les cheveux blonds, un corps magnifiquement bien taillé, cela ne vous rappelle rien ? Non ? Une vélane, voilà à quoi elle est censé vous rappeller. Elle a du sang vélane qui le coule dans les veines, de part sa grand-mère qui en était une, elle ne l'est donc pas complètement, mais sa beauté peut en éblouir plus d'un. EPOUVANTARD: et bien sa plus grande peur serait sûrement de se retrouver seule, entourée de personne, elle n'aurait plus sa cour habituelle, ça lui briserait le coeur, elle ne supporte pas l'idée de l'abandon. PATRONUS: Souvent, pour un patronus, les gens qui sont sages et qui ont un coeur pur, se retrouvent avec animaux reflettant leur vraie nature. Pour ce qui est du patronus de la jolie blonde, il est le parfait exemple de sa personnalité et de ses nombreuses façettes. Il prend la forme d'un caméléon, parfois gentille, parfois garce, ce reptile met très bien en parallèle les états d'âmes de la jeune Gryffondor. AMORTENCIA: n'étant encore jamais tombé amoureuse, l'amortencia n'a qu'une odeur d'herbes coupées pour le moment. Peut-être qu'elle le découvrira plus tard, qui vivra verra. BAGUETTE MAGIQUE: sa baguette mesure vingt-six centimètres, elle est faite en bois de chêne et puise sa force d'un cheveux de vélane. Elle est plutôt performante en sortilèges et métamorphose, même si Mairéad n'en a parfois pas l'entier contrôle. SORT FAVORI: Le sort favori de la jeune fille est lumos, le noir lui fait peur, elle aime bien cette idée que l'on puisse puiser un peu de force dans sa baguette pour allumer une pièce.
Mairéad vit avec la musique, elle en écoute tout le temps, que ce soit elle quand elle joue au piano, avec des viniles, c'est d'ailleurs une grande fan, elle pense que l'on peut soigner quelqu'un avec la musique. ✜ Elle n'a jamais fait croire qu'elle était de sang-pure, elle n'en a jamais ressenti le besoin, elle aime plutôt dire qu'elle est quart de vélane, elle trouve que c'est bien plus impressionnant. ✜ Lorsqu'elles étaient petites, sa soeur jumelle et elle, elles adoraient traîner ensemble, car elles avaient véritablement ce lien qui les unissait, mais maintenant qu'elles sont à Poudlard les choses ont changé. ✜ Mairéad se gratte toujours les cheveux et joue avec quand elle est nerveuse, elle ne l'est pas souvent, mais quand elle sait qu'elle n'arrivera peut-être pas à faire quelque chose, ce tic lui reprend. ✜ Elle n'a jamais hésité à envoyer les poings, même si c'est parfois irréfléchie. ✜ Sa maison de prédilection, donc Gryffondor lui convient à merveille, mais elle a l'impression que c'est ça qui l'a séparé de sa soeur, qui elle est à Serpentard. ✜ Elle a la mauvaise habitude de vouloir manipuler les gens, parfois elle peut obtenir quelque chose par la force ou tout simplement par la finesse, à choisir elle préfère la première manière. ✜ depuis toujours elle n'a pas peur de l'attachement, mais des conséquences de celui-ci, elle n'a pas envie d'être dépendante d'un homme, elle se trouverait idiote et inutile, alors elle préfère les larguer. ✜ Mairéad a toujours été le mouton noir de la famille, sa soeur jumelle s'est toujours très bien entendu avec leur mère, mais c'est tout le contraire pour la petite blonde. ✜ Elle est toujours mise de côté, on ne lui achète rien, on ne lui fait jamais de compliment, tout va à sa soeur et jamais à elle, c'est pour ça que de régner sur Poudlard est important. Elle a besoin qu'on la voit, qu'on la vénère, puisque personne chez elle, ne le fait. ✜ Cet été, elle a fait un truc horrible, victime de pulsions, elle a failli tuer son père après l'avoir vu tromper sa mère, mais ne comprend pas vraiment pourquoi elle a réagit de cette façon. PSEUDO/PRENOM : on me surnomme La reine. Non, je rigole, on me connait sous Olympe. ou sous Manon. Mais appellez moi Perse ou Mair, puisque voilà quoi.. ÂGE : j'ai plus de treize ans, donc ça va. . COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? par google, c'mon ami. QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? euuuuuh. FRÉQUENCE DE CONNEXION : au moins tous les jours en vacance, après pour les cours on verra. MOT POUR LA FIN : .
Dernière édition par Mairéad A. Fitzpatrick le Mar 27 Aoû - 1:35, édité 20 fois
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 12:47
Il était une fois ...
Mairéad laissait furtivement passer son regard dans toute la salle, tous ces gens qui voulaient s'occuper d'elle, qui voulaient la prendre dans leurs bras horriblement protecteur. Elle n'avait pas besoin qu'on fasse attention à elle, qu'on la traite comme une poupée de chiffon, car elle n'en était pas une. Lorsque la femme assise en face la regarda, la blonde lui dit le plus sèchement possible « Vous voulez quoi ? On vous a jamais dit que vos yeux sont d'une mocheté accablante ? » Puis elle attrapa un magasine à sa droite et commença à le feuilleter. C'était fou à quel point Naas manquait de style, surtout en mode, mais heureusement qu'elle est sa sœur remontait un peu le niveau. Elles avaient toujours été les petites starlettes du village, sûrement grâce à leur sang vélane, elles étaient souvent décrite comme les plus belles filles de toute l'Irlande. Mais ce n'était qu'une illusion et heureusement qu'ils ne les avaient encore jamais vu en colère. Mairéad regarda à sa droite, c'était malheureux que seulement elle devait aller voir un psychologue, alors que franchement, Siobhàn, sa jumelle, était dans le même cas. Certes, ce n'était pas elle qui avait pété un câble et presque tué son père, mais mentalement elle n'était pas non plus très stable. La blonde entendait toujours sa mère lui crier qu'elle n'était qu'une râtée et qu'elle ne trouverait sûrement jamais le grand amour, mais lorsqu'elle avait vu son père coucher avec sa secrétaire, elle était partie au quart de tour, peut-être pour prouver à sa conne de mère, qu'elle avait tort, que son mari et elle, ne jouait qu'un petit jeu, car lui préférait se taper plus jeune. Enfin bref, c'est vrai qu'elle l'avait pris à la gorge, aidé par l'adrénaline et qu'elle l'avait plaqué au mur avec son canif dans la main, à lui dire toujours et encore qu'il n'était qu'un abruti et qu'il détruisait la famille déjà en lambeaux. Elle ne savait pas exactement ce qui lui avait pris, et maintenant elle en payait d'ailleurs le prix. Lorsque le médecin appela son prénom, la blonde se leva d'un bond, toujours très élégamment et entra dans la salle. Il paraissait que cette psycholoque était hautement qualifiée et que ses parents la connaissaient de Poudlard, c'était donc une sorcière. La meilleure amie de sa maternelle allait écouter sa fille déglinguée parler de ses problèmes de pulsion. Quelle belle vie. La femme attrapa un cahier et un stylo et invita Mairéad à s'allonger sur le divan, celle-ci s'excécuta et regarda le plafond, qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ici ? Exaspérée elle ferma les yeux, et l'image d'elle en train de crier sur son père à la mort, la fit sursauter. La médecin à côté d'elle commença donc à dire :
« Tu peux m'appeller Sansa, après tout je te connais depuis que tu es toute petite, même si tu ne te rappelles pas de moi. Je ne veux pas que tu me prennes pour ta psychologue, mais seulement comme une amie, ou une personne à qui tu peux te confier ! »
Mairéad pouffa de rire, comme si elle allait lui raconter toute sa vie, même si elle ressentait l'envie de se confier à quelqu'un, de parler de ce qui la préoccupait et agaçait, elle avait la sensation de ne pas pouvoir lui faire confiance, elle ressentait cette envie de vouloir se cacher pour toujours. Alors, froidement elle lui répondit :
« Oui bien sûr, je vais tout vous raconter, pour que vous puissiez ensuite tout dire à ma mère, vous me prenez pour un débile ou quoi ? »
Elle était en colère d'avoir été emmenée ici, tout le monde la pointait du doigt maintenant, surtout ses parents, son père l'évitait, de peur que Mairéad pète à nouveau un câble, sa mère la fusillait du regard à chaque couloir et sa sœur se moquait bien d'elle. Malgré le fait que l'ambiance n'était pas au beau fixe dans le manoir des Fitzpatrick, la blonde avait toujours été traité de cette manière, elle n'avait jamais été intéressée par les mêmes choses que sa famille en général. L'argent, tous ces trucs futiles n'importaient que très peu aux yeux de la Gryffondor, elle ce qui l'intéressait c'était d'être respectée, d'être aimée pour ce qu'elle était et non pas par ce que ses parents pouvaient offrir à ses amis. Elle n'avait d'ailleurs pas beaucoup de camarades avec qui discuter, elle préférait le pouvoir, elle avait commencé en bas de l'échelle alimentaire, et lentement était remontée, peut-être grâce à son don et son caractère fort. La blonde n'était d'ailleurs pas allée pour rien chez les rouges et ors, attisant encore plus les foudres de ses parents et de sa jumelle qui s'était rendue à Serpentard. C'était peut-être ça qui les avait d'ailleurs si éloigné. Sansa se racla la gorge et dit :
« Tu sais, tu n'es pas obligé de me faire confiance, mais nous sommes en thérapie, et donc obligatoirement il y a un secret médical, si tu ne veux pas que je le dise à ta mère, je ne le ferai pas. »
Mairéad haussa un sourcil et se releva un peu, peut-être qu'elle disait vrai, elle avait souvent entendu parler des filles suivant un psycholoque, que personne n'avait le droit de découvrir ce qu'elle disait lors de leurs séances, c'était obligatoire et de toute façon la blonde pouvait bien lui faire payer ça, si elle osait le lui raconter. Elle prit donc une longue inspiration et lâcha :
« Vous voulez que je vous dise quoi exactement ? Que j'ai failli tuer mon père sans scrupule, aveuglée par ma propre haine envers toute ma famille, ce manque de confiance que j'ai en eux et cette impression de n'être que le mouton noir de la famille et que c'est la goutte qui a fait déborder le vase et que donc, mes pulsions déjà dangereuses, sont devenues presque meurtrières ? Parce que je suppose que ça, vous le savez déjà. »
C'était sorti d'une traite, d'un seul coup, sans qu'elle ne puisse se contrôler, elle se mit les mains devant la bouche, étonnée par son propre comportement. Elle avait d'habitude, dans l'idée de se taire, de se renfermer dans sa coquille et de lancer des immonditées à tout le monde dans le château lorsqu'elle était de mauvaise humeur, mais maintenant, elle avait seulement envie de pleurer, de se reposer, d'en finir avec cette histoire, car au fond, elle culpabilisait, c'était son père. Et malgré le fait que sa famille ne l'avait jamais vraiment portée dans son cœur, elle restait un membre des Fitzpatrick et de presque tuer son père, n'était sûrement pas un très bon signe de paix. Elle se savait dangereuse, elle savait ses pulsions enfouient au fond d'elle, c'était une part de son impulsivité et à cause de son sang vélane. Lorsqu'elle n'était pas énervée, elle était belle, belle comme un cœur, mais lorsqu'elle s'énervait, elle en devenait moche et avait cette violente envie de tout casser, marquée par une force indescriptible. La psycholoque rajusta un peu son cahier et répondit très calmement à Mairéad :
« On va commencer par parler de ton enfance, si ça ne te dérange pas, peut-être qu'en faisant ça, on comprendra d'où viennent tes pulsions et l'élément qui a tout déclenché d'accord ? »
Mairéad regarda la femme et s'allongea confortablement dans le canapé, cela risquait de prendre pas mal de temps, mais cette fois-ci, elle était d'accord pour discuter, elle voulait bien s'ouvrir à cette dame qui n'avait pas du tout l'air méchante, bien au contraire. Elle ferma donc les yeux et commença :
« Vous savez, j'ai pas eu une enfance très spéciale. Quand j'étais petite, je faisais toujours tout avec ma sœur jumelle Siobhàn, on était comme les deux doigts de la main et franchement on s'adorait. On se moquait d'autres enfants, car oui, on a toujours été des garces, on faisait des blagues aux professeurs, bref on était des vraies jumelles quoi. »
Elle marqua une pause de quelques secondes, de parler de sa relation avec Siobhàn lui faisait du mal, après tout, elles étaient un tout, mais en même temps un rien. Les choses avaient changé et c'était fou de voir à quel point elles avaient pu s'éloigner, puis se détester, puis se réconcilier et maintenant sa sœur la prenait pour une folle aussi. Alors qu'avant, elle aurait essayé de l'aider, de la comprendre, d'être sa roue de secours, en cas de panne. Mairéad reprit sa respiration et poursuivit :
« L'école primaire c'était franchement cool, on était les deux petites reines, on adorait rendre les garçons fous, vous connaissez la nature de ma mère non ? Une vélane, enfin même si elle est devenue aigrie et vieille maintenant, vous savez ce que ça peut faire. Et donc on en profitait, comme toutes les gamines de notre âge connaissant leur don. Vous savez, avec Siobhàn, on était vraiment lié, pire que des jumelles je crois, on calculait le moindre mouvement de l'autre, on adorait anticiper les paroles de l'autre, en gros on était qu'une personne, deux petites diablesses. »
La psycholoque écrivait tout, rendant Mairéad un peu nerveuse, pourquoi tout garder sur papier si elle comptait ne rien dire à sa mère plus tard ? Mais elle ne lui posa pas la question, car Sansa lui demanda :
« Tu as donc eu une belle enfance, je vois. Jamais persécutée ou tu n'as jamais été la risée de la classe ? »
La blonde sourit, elle ne s'était encore jamais retrouvée dans une situation pareille, de n'être aimée de personne, bien sûr que les gens lui tournaient le dos, mais elle arrivait toujours à s'en sortir à sa manière, sans comprendre réellement comment et pourquoi.
« Comment être la risée si c'était ma sœur et moi qui décidions qui devait l'être ? »
Ce n'était absolument pas pour se venter, mais la vérité et l'honnêteté restait quand même un des facteurs les plus important aux yeux de la blonde. Elle avait souvent joué au rôle de la manipulatrice, mais celui-ci convenait toujours mieux à sa sœur, Mairéad, elle, était moins dans la finesse, elle était l'impulsive, la courageuse, la protectrice et surtout celle qui laissait rapidement partir les coups. Mais à cette époque ce n'était que de l'impulsivité innocente, rien de très grave. La mine de la psychologue, laissa la jeune Gryffondor perplexe, elle avait l'impression d'être jugée coupable, elle savait déjà qu'elle avait été un vrai petit monstre lorsqu'elle avait été plus jeune, mais de là à ce qu'on la regarde avec des yeux si sévères, c'était légèrement exagéré, après tout, elle n'avait pas encore entendu ses années à Poudlard, où les choses étaient devenues relativement plus sérieuses. Mais Sansa ne broncha pas, elle continuait à écrire, comme si on lui dictait quelque chose de hautement important, comme si sa vie en dépendait. Mais la blonde ne s'empêcha pas de rétorquer :
« Je connais ces yeux, vous me jugez, mais laissez moi douter de votre sincérité, vous voulez bien ? En étant la meilleure amie de ma mère vous ne deviez pas être mieux à l'époque, vous deviez être une vraie petite garce de Serpentard, comme ma mère l'a été. »
Ces mots forts et injustes sortaient de sa bouche comme des insultes, elle aimait son côté franc, peut-être trop affirmé parfois, mais elle n'avait pas sa langue dans sa poche et ne se laissait pratiquement jamais faire. Première règle d'or ? Attraper celui qui avait le courage de la défier. La psychologue leva les yeux de son cahier, et patiente, comme toujours, elle posa le stylo tout en souriant :
« Je ne te juge pas Mairéad. Tu es en colère, tu ressens le besoin d'agresser toutes les personnes qui essayent de t'aider, c'est normal. Je ne suis pas là pour parler de mon époque en tant qu'élève, mais pour régler tes problèmes à toi. Maintenant parle moi de la façon dont tu as découvert tes pouvoirs. »
Hypocrite. Sale hypocrite, pensa Mairéad, mais elle ne broncha pas, après tout, c'était important qu'elle se soigne, elle le savait pertinemment, c'était un fait, elle était dangereuse. Elle releva donc un peu la tête, pour poser son bras derrière son cou, cet événement ne l'avait pas vraiment marqué, mais comme toujours il s'était fait dans la violence, c'était plutôt cliché de dire ça, mais après avoir piqué une grosse crise elle avait enfin compris qu'elle était une sorcière. Alors elle se racla la gorge et dit :
« Et bien j'avais huit ans à l'époque, quelques sorciers disent que c'est tard, mais je suis plutôt convaincu que non. Ma sœur l'avait déjà fait un an plus tôt et j'étais assez désespérée, je croyais être une cracmole et je crois que j'aurais encore plus fait honte à mes parents que maintenant. »
En réalité elle n'était pas sûre de mériter ses pouvoirs, elle avait fait de sa vie à Poudlard un vrai petit règne de peste, sans sa sœur, puisqu'à l'époque elles se détestaient, mais elle avait usé de ses charmes et de sa force. Un vrai petit tyran et elle savait qu'en étant une cracmole, elle se serait sûrement adoucie, mais ses parents la détesteraient, peut-être encore plus qu'à l'instant présent. Mais elle ne se démonta pas et dit :
« Bref, j'était donc une gamine, je crois que c'était pendant les vacances de noël, mes grands-parents étaient là et plus snob et débiles vous pouvez pas faire je pense. Tout le monde discutait tranquillement, puis est venu le sujet tabou sur la table. Mon cas. J'avais toujours été la petite risée de la famille, alors d'une manière, oui, j'ai été frustré par mon enfance, parce que mes parents me montraient déjà à l'époque à quel point ils pouvaient me haïr. Ma mère n'avait que d'yeux pour ma sœur, et mon père travaillait trop et voyait Siobhàn comme une petite princesse, alors que moi j'étais le bourrin. »
Elle réfléchit pendant quelques secondes et se dit que peut-être c'était la faute de ses parents qu'une rivalité entre elle est sa sœur s'était installée. Mais elle ne le dit pas à Sansa, c'était quelque chose qui ne la regardait qu'elle seule.
« Bon en gros ils disaient tous que j'étais trop violente, trop envahissante, j'ai un peu pété un câble et fais exploser tous les verres. En gros déjà à l'époque j'avais du mal à me contrôler si vous voyez ce que je veux dire ! »
Elle lui lança un regard pleins de sous-entendu, elle n'avait jamais été une petite fille très calme, peut-être même légèrement hyperactive, changeant du caractère posé, mais pourtant très manipulateur de sa sœur. Elle avait conscience que ses parents voulaient faire d'elle une seconde Siobhàn. Mairéad avait toujours renoncé à ce titre de jumelle de secours, elle se battait pour ce qu'elle était, une différence, une abrutie fini aux yeux de sa mère et de son père, mais au moins elle s'acceptait, du moins elle l'espérait. La psycholoque marqua le tout et releva à nouveau les yeux du cahier puis lui répondit :
« Tu as du tempérament, mais comme tu le sais, chaque découverte de ses pouvoirs se fait après un coup de colère ou encore de l'euphorie complète. Je ne pense pas que tes pulsions viennent de là. Parle moi de tes années à Poudlard, ou du moins de ton ressenti par apport à ta maison et de la réaction de tes parents à ce moment-là. »
La blonde réfléchit pendant un instant, comment résumer ses années au château ? Elle s'y était tellement amusée, et pourtant avait souffert, souffert de ne pas être là pour Siobhàn, d'être devenue comme une étrangère à ses yeux. Mais elle savait que c'était sa faute, la jalousie l'avait rongé pour ne faire plus qu'une vipère des deux, vipères qui se contre-attaquaient à chaque fois qu'elles le pouvaient. Elle prit donc une grande respiration et répondit à Sansa :
« J'était toute contente quand j'ai reçu ma lettre pour entrer à Poudlard. Ca a été comme une libération pour moi, alors que pour ma jumelle, pas du tout. Elle avait son petit confort à la maison, mes parents l'adoraient, la croyaient parfaite. Elle adorait prendre des sous à mon père, pour s'acheter des choses futiles. Mais ça ça n'a pas changé. Du coup, j'ai toujours aimé l'aventure, donc les portes du château était en quelque sorte du tout nouveau, un truc que j'avais vraiment envie de découvrir. »
La Gryffondor se rappellait encore de ses cris de joie lorsqu'on lui avait dit qu'elle allait enfin pouvoir se rendre à Poudlard, qu'elle allait être séparée de ses parents une bonne fois pour toute, un soulagement, une libération, comme elle aimait si bien le dire. Mais elle ne s'attendait pas à aller à Gryffondor, elle voulait suivre la lignée de Fitzpatrick, aller à Serpentard comme tout le monde, mais faute d'être différente, elle ne suivait en aucun cas les traces de ses ancêtres.
« J'ai été envoyé à Gryffondor, le choixpeau n'a pas hésité une seule seconde, il savait que je devais aller là-bas. Déjà par mon impulsivité, cette manie de vouloir protéger les autres, enfin ceux que j'aime, enfin je suis pas sûr de savoir encore faire ça, mon franc parlé, ma curiosité. Je pense que c'est de là qu'est venu mon éloignement avec ma sœur. »
Elle marqua une pause et s'accouda contre son genoux qu'elle avait replié. En y réfléchissant, peut-être qu'elle n'avait pas été si heureuse à Poudlard jusqu'à maintenant, et qu'elle finnissait par s'en rendre compte seulement maintenant.
« Elle est allée à Serpentard, s'est fait des amis et moi aussi, bien différents. Elle me reprochait toujours de ne pas réfléchir à mes actes, et on a commencé à se disputer, ma jalousie a pris le dessus et j'ai commencé à la détester. Vous savez, c'est horrible de savoir que ses parents préfèrent sa propre sœur à soi. Ca m'a fait mal et j'ai pas supporté, d'où le fait qu'on ne se parle plus, même si les choses se sont calmées. »
Mairéad leva les yeux vers la psychologue, bien trop concentrée sur ses notes et décida donc de poursuivre son récit, puisqu'elle était essentiellement là pour ça :
« On se menait une bataille impitoyable, et surtout à la maison quand on rentrait pour les vacances. Ce lien qu'on avait s'est brisé. Vraiment brisé. J'avais perdu ma moitié, ma meilleure amie et surtout ma sœur. Je sais pas pourquoi, mais on s'est battu lorsqu'on allait rentrer en troisième année, c'était pendant les vacances d'été. Mes parents marquaient toujours cette préférence pour ma sœur, en fait ils se moquaient de moi et s'en fichaient. Siobhàn me le rappelait sans cesse et j'ai finis pas la taper, lui donner un violent coup de poing. »
Elle avait envie de pleurer de rage, de voir à quel point sa relation s'était déteriorée avec sa sœur jumelle, ça lui brisait littéralement le cœur, la manière dont elles s'étaient aimées lorsqu'elles étaient petites, puis la façon dont elles se détestaient maintenant, c'était presque invivable, mais ça n'empêcha pas Mairéad de poursuivre :
« Vous savez, à Poudlard on a chacune menée un règne. Elle était la garce manipulatrice, et moi j'étais le tyran prêt à donner des coups, surtout après ma troisième année. Une bataille, une vraie bataille. Je pouvais plus prouver à mes parents que je valais quelque chose, alors je le faisais avec les gens au château, je leur montrais qui tenait le flambeau de la réussite et elle faisait pareil de son côté. Sauf qu'elle arrivait moins à tenir ses troupes que moi, sans vouloir me vanter, j'ai toujours eu une âme de leader, alors qu'elle non. Elle m'a encore plus détesté après ça, c'était elle maintenant qui me provoquait. »
C'était si facile de se faire un shéma complet de leur relation, jalousie, rivalités, rage et haine, voilà comment on pouvait résumer ça. Elle trifouilla ses bracelets et continua :
« Elle a fini par être jalouse de mon succès à Poudlard et moi j'étais toujours jalouse de la manière dont elle arrivait à charmer mes parents. Bon en gros pour vous résumer, mes années au château ont été que de la rage, de la haine, un règne et de l'autorité. Mes disputes et mes bagarres ne restaient jamais très longtemps inconnues aux yeux des professeurs, je me prenais pas mal d'heures de retenues, mais je m'en fichais, et je m'en fiche toujours en fait. »
C'était au tour de Sansa de parler cette fois-ci, elle avait fait son long monologue et dit tout ce qu'elle avait pu ressentir à Poudlard, cette envie de prendre le pouvoir, de l'autorité au château, pour se rattraper de son lamentable passé avec ses parents. La psychologue marqua un point final sur sa feuille et leva les yeux vers Mairéad.
« Tu sais, je me fais peut-être des idées, mais tu est dure avec toi-même. Je comprends ta relation avec ta sœur et que ça te fasse souffrir. Et comment ça s'est arrangé ? »
La blonde réfléchit, en quelque sorte, elle savait que Siobhàn avait mûrit, elle restait toujours la petite enfant pourrie gâtée, mais elle voulait se poser, calmer le jeu avec sa sœur, pour la simple et bonne raison que ça lui faisait du mal aussi !
« Et bien écoutez, ma sœur est venue me voir pendant les vacances de noël lors de notre sixième année, elle a mis au clair les choses, cartes sur table. Elle m'a avoué qu'elle s'en voulait et qu'il était temps qu'on arrête de s'entretuer de cette manière. Alors j'ai lâché l'affaire aussi. Mais c'est toujours froid entre nous et même si elle ne me tourna pas le dos après l'histoire avec notre père, je la sens réticente et je suppose que je ne peux pas lui en vouloir, même si je le fais. »
Mairéad sentit les larmes lui monter, c'était horrible de revoir sa vie défiler devant ses yeux, comme si elle allait bientôt mourir ou quelque chose dans le genre. C'était comme se retrouver nu devant un étranger, devant quelqu'un que l'on aimait pas, mais en qui on pouvait avoir confiance. Sansa reprit la parole après quelques secondes de silence :
« D'accord. Et les amours ? Une jeune fille de ton âge doit bien avoir quelques garçons non ? »
La Gryffondor pouffa de rire, jamais elle n'avait aimait ou était tombée amoureuse, son indépendance avant tout, enfin du moins c'est ce qu'elle avait en tête, pour répondre à la question de Sansa elle dit alors :
« Je ne veux pas être dépendante d'un mec, ce sont tous des cons qui veulent vous mettre dans leurs lits. Après je ne dis pas que je n'aime pas jouer de mon don de vélane, mais je ne les garde jamais longtemps, je me lasse et j'en trouve un autre. »
Comme ça, on pouvait la prendre pour une petite catin, mais au fond, elle s'en fichait de ce que les autres pensaient, elle avait, pendant bien trop longtemps, essayée de faire plaisir à ses parents, mais ça n'avait jamais marché, alors tant qu'elle était satisfaite d'elle-même, tout allait pour le mieux. La psychologue sourit, comme si elle comprenait Mairéad, et cette impression rassura quelque peu la jeune blonde. Après tout, Sansa restait une personne qui l'écoutait sans broncher et au fond, bizzarrement son avis importait au regard de la rouge et or. Elle passa furtivement un doigt sur le cahier et répondit :
« Je vois, je vois. C'est normal à ton âge, je suppose. Bon, la séance mène à sa fin, mais je pense avoir déceler ton problème Mairéad. Ca paraît compliqué aux premiers abords, mais en fin de compte c'est très simple. Tu as des pulsions, tu as menacé ton père avec un couteau alors que tu venais de découvrir qu'il trompait ta mère. Tu ne l'as pas fais pour elle, mais pour toi. Tu n'est pas égoïste, tu as juste ressenti le besoin de lui rendre la monnaie de sa pièce. C'était dangereux et complètement fou, mais tu voulais te venger, venger d'avoir souffert de cette manière. »
Elle marqua une légère pause, mais Mairéad buvait toutes ses paroles, jusqu'à maintenant elle ne parlait que peu, mais elle disait toujours les bonnes choses, les choses vraies. Alors elle la laissa poursuivre :
« Je pense que tout a commencé avec la bagarre avec ta sœur, c'était un simple déclencheur, mais avant tu me parlais que tu n'arrivais pas à te contrôler, mais tu étais jeune, c'est normal. Puis tu t'es battu avec Siobhàn et je crois qu'en quelque sorte ça a été ton déclencheur, cet éloignement, tu as perdu ta sœur, ta moitié, ta jumelle. Tu n'arrives plus à te résigner à t'arrêter de taper, de blesser parce que tu as l'impression d'avoir râté ta vie, tes relations, mais au fond tu n'as que dix-sept ans, tu es jeune. »
Mairéad avait encore cette envie incensée de pleurer, tout ce qui lui faisait mal, elle venait de le dire, ses parents la haïssant, sa sœur jumelle qui n'était plus qu'une étrangère maintenant, son envie de partir à l'aventure, mais de ressentir ce besoin de rester, son caractère trop fort, puis ses pulsions. Elle était un tas de tout, un tas de merde.
« Mairéad, je voudrais que tu te lances un défi, celui de penser à quelque chose de beau, à un souvenir, lorsque tu sens que tu vas exploser, tu peux contrôler ça et régler les choses dans ta vie, tes parents, ta sœur, tu es une fille bien, il faut juste savoir s'arrêter et tu dois apprendre. Tu n'es pas dangereuse, juste perdue. Tu vas retourner à Poudlard, une psychologue de Sainte Mangouste viendra te voir toutes les semaines, pour que tu puisses lui parler. Mais sache qu'il faut rester courageuse et entoure toi de tes vrais amis. »
Si seulement elle pouvait en avoir. Dangereuse et associable, voilà ce qu'elle était, mais ce sentiment d'abandon et de tristesse était détroné, par celui de vouloir donner raison à cette femme assise en face d'elle, qui venait sûrement de lui dire les mots qu'elle attendait de ses parents, alors, d'un bon elle se leva, elle était prête à partir et dit à Sansa :
« Merci de m'avoir écouté, j'irai voir cette femme et j'essaierai de tenir vos conseils en compte. Je ne suis pas folle je suppose. »
Puis elle se dirigea vers la porte qu'elle ouvrit, mais avant de partir elle voulait faire passer un message important, quelque chose qui la démangeait, elle se retourna donc, regarda la psychologue droit dans les yeux et dit :
« Vous pouvez dire une seule chose à mes parents, dites leur qu'ils m'ont élevé, m'ont rendu plus forte, mais que je les déteste quand même. L'argent ne fait rien, ni leur célébrité, ils sont rien, rien dans ce monde et qu'un jour tout se retournera contre eux, même ma sœur, car elle comprendra. »
Puis elle s'en alla.
Dernière édition par Mairéad A. Fitzpatrick le Jeu 22 Aoû - 21:24, édité 3 fois
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 13:32
Encore lol
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 13:45
oui, mais seulement si ça ne pose pas de problèmes bien sûr!
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 13:53
Bah non ^^ tant que t'es active partout, on va pas dire non. ça fait plaisir de voir que les joueurs se sentent bien ici
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 14:18
Rebienvenue alors
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 15:19
Bienvenue sur patracitrouilles !
Merci pour ton inscription !
Afin d'avoir toutes les cartes en mains pour faire ta fiche, il faudra jeter un oeil au contexte . Evidemment il ne faut pas oublier les Règles ainsi que toutes les annexes indispensables pour évoluer sur le forum et connaître la chronologie générale et celle de Poudlard, les métiers encore libres, les familles de sang pur disponibles etc. Attention, après c'est interro
Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.
Bon courage pour ta fiche ! Le staff de Patracitrouilles
Yeah!!!!!!!!!!!!!! <3
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 16:32
Amanda est un super choix d'avatar !
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 17:00
Rebienvenue
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 18:16
Re-bienvenue à la maison si je puis dire
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 18 Aoû - 19:31
Bienvenue tu connais la maison
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Mar 20 Aoû - 9:28
Excellent choix d'avatar Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Mar 20 Aoû - 21:32
Et ben y en a qui ont de sévères soucis de schizophrénie aiguë^^ Reuuuh bienvenue à toi en tout cas
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Mer 21 Aoû - 18:28
Rebienvenue miss
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Jeu 22 Aoû - 12:02
Merci à tous (et liam, oui je sais, je dois bientôt me faire soigner je crois! )
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 25 Aoû - 19:53
Besoin d'un délai?
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 25 Aoû - 20:14
haha, oui j'ai bien besoin d'un délai!
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Dim 25 Aoû - 20:16
pas de soucis ^^
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Lun 26 Aoû - 14:10
T'as craqué encore une fois... Mais bon c'est Teresa Palmer je peux comprendre mwehehe! Encore une fois bienvenue!
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé Mar 27 Aoû - 8:36
Je sens que ça va être soit grand amour soit très hard entre Sofia et toi, même maison et violentes lol
Bienvenue Mairéad
Te voilà validée, tu peux dorénavant commencer à RP.
Tu es Admis(e) en 7e année et les Gryffondors t'accueillent avec plaisir dans leur grande famille. Ta salle commune se trouve ici *****
N'oublies pas de compléter ton profil si cela n'est pas fait. Il te faut aussi passer ici pour référencer ton avatar et d'autres informations. Si tu es étudiant il te sera possible de poser ta candidature pour le Quidditch et peut être même devenir préfet par ici. C'est là aussi qu'il faudra ouvrir ta fiche de lien et de rp.
Tu peux aussi voter pour le forum par ici. Tu gagneras ainsi des points que tu pourras donner à ta maison tout en suivant son évolution.
Si tu as des questions nous sommes disponibles pour y répondre.
Le staff de Patracitrouilles
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Sujet: Re: can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé
can't you hear my prayer? - Mairéad -- délai accordé