♦ NOM(S): Le sorcier est originaire de la famille MacAlister, l'une des plus vieilles familles de sang pur de l'Écosse. Ils furent longtemps connu pour leur implication au niveau de la fabrication de balais magique, les meilleurs dans le domaine. ♦ PRÉNOM(S): Cherchant à respecter leur origines, ses parents le nommèrent Murtagh, un prénom typiquement gaélique. Ils choisirent également Marlon comme second prénom, mais uniquement parce qu'il le trouvait joli. ♦ AGE: Notre sorcier est présentement âgé de vingt-sept ans, ce qui est relativement jeune pour le poste qu'il occupe, mais les temps sont difficiles pour tout le monde, autant pour la directrice de Poudlard qui peine à trouver de nouveaux enseignants que pour un ancien attrapeur professionnel qui ne se remet toujours pas d'une retraite anticipée. ♦ LIEU DE NAISSANCE: Il a vu le jour dans une famille relativement traditionnelle des Highlands Écossais, dans la ville d'Iverness pour plus de précision. Il est le second enfant d'une grande famille où il n'y a que des filles...  ♦ STATUT CIVIL: Techniquement parlant, il est célibataire. Au cours des dix dernières années, il a eu de nombreuses femmes dans sa vie, mais MacAlister est un romatique. Il aime une femme depuis ses seize ans, l'a quitté à dix-spet ans, et ne s'en est jamais remis. Ses relations avec les femmes n'ont jamais dépassé le premier rendez-vous parce que personne ne lui arrivait à la cheville. Un vieil amour perdu. ♦ MÉTIER : Vous avez certainement entendu le nom du joueur vedette de l'équipe de Quidditch Norvégienne des neuf dernières années, et puis entendu le scandale de sa chute, sa grave blessure à l'épaule qui ne guérie pas bien. Et puis, on a annoncé il y a un peu plus d'un an que l'étoile chez les attrapeurs était déchu, qu'il devait prendre une retraite anticipée, qu'il n'était plus en mesure de jouer. On ne l'a pas vu durant près d'un an. Il broyait du noir dans la demeure familiale, ne prenant même pas la peine de donner le moindre signe de vie. Et puis, à la rentrée,  les élèves de Poudlard ont découvert le nouveau professeur de vol et d'arts et musique magiques. Le départ de nombreux enseignants et la difficulté à les remplacer ont forcés le professeur Darlington a engager des enseignants pour deux matières, et passablement plus jeunes qu'à l'habitude... ♦ EX-MAISON: Il était à Poufsouffle en ses années à Poudlard où il était un étudiant brillant, notamment en sport. ♦ STATUT FINANCIER: Je dois vous avouer qu'il ne se situe pas dans les meilleures conditions, raison pourquoi il a accepté d'enseigner à Poudlard malgré son doute sur ces capacités. Murtagh vit toujours sur les restes de sa grande carrière, mais pas sans devoirs s'en mordre les doigts par moment. ♦ GROUPE: Ça lui sonne étrange de se dire que désormais, on l'appellera professeur. À croire qu'il y a moins des dix ans de celà, c'était lui qui était à la place des jeunes qu'il croisera chaque jour.  ♦ STATUT DU SANG: Durant de nombreux siècles, la famille MacAlister brilla pour la pureté de son sang et de leur jugement. Le père de Murtagh est tombé éperdument amoureux d'une née-moldue. Il se mit à dos l'entièreté de la famille qui croyait que d'épouser une impure était indigne de son statut. Après tout, les MacAlister avaient toujours entretenu de très bons termes avec les sorciers d'ascendance moldu, mais ils ne s'étaient jamais mélanger à eux par question de traditions. Ils étaient très portés sur la tradition dans la famille, mais Cormag MacAlister, le père de Murtagh, crut en la pureté du coeur et de l'âme plus qu'en celle du sang, il épousa donc cette magnifique sorcière née de parents moldus dont les yeux verts et la longue chevelure rousse en faisait verdirent plus d'un de jalousie. Leurs enfants, cinq filles et un garçon, sont donc tous de sang-mêlé. Une première dans la famille. ♦ EPOUVANTARD: Pour bien le comprendre, il faut vous raconter un peu son histoire. Chaque année, les étudiants de première année traverse le lac noir en barque pour se rendre au château. C'est sur cet étendu d'eau qu'ils découvrent poudlard dans toute sa splendeur. Lors de ce petit voyage, Murtagh a malheureusement été jeté par dessus bord à cause de deux gamins qui se chamaillaient dans sa barque. Bien qu'il sache nager sans problème, la surprise eu raison de lui, et il se senti couler de plus en plus profondément alors que lentement, l'eau prenait la place de l'air dans ces poumons. Durant ce plongeon qui lui sembla durer une éternité, Murtagh vit des créatures qui le troublèrent ; des strangulots, un calmar géant, des êtres de l'eau loin d'être des beautés de la nature... Ces créatures, elles lui fichèrent la trouille, et bien qu'on finit par le repêcher alors qu'il avait perdu conscience, notre jeune sorcier fut toujours terrifier par toutes les bêtes que pouvaient habiter le lac. Bien qu'il n'avait pas réellement peur de l'eau, il était terrifié par le lac noir de Poudlard, et jamais plus il n'osa s'en approcher de très près.  ♦ PATRONUS: Le furet est une petite créature doté d'un physique fort peu avantageux, mais d'une intelligence incroyablement stupéfiante. Durant son adolescence, Murtagh rappelait un peu cette petite créature. Il était très petit, assez chétif, très roux avec ddes grands yeux bleus un peu trop curieux, mais il était doux, gentil, loyal et, surtout, très attachant. Jamais il ne cessait de sourire, tout le rendait heureux et tout le monde était son ami parce qu'il n'avait aucune raison de ne pas l'apprécier. ♦ AMORTENCIA: Bien que sa famille ne soit pas riche, ni même pauvre pour autant, Murtagh n'a jamais manqué de quoi que ce soit. Les hivers de son enfance sont les moments qu'il chéri de plus dans ces souvenirs. Les nombreuses heures passées avec ses soeurs à jouer dans la neige dehors, puis les moments où ils rentraient se réchauffer près du feu qui brûlait dans la cheminée se chamaillant pour avoir le dernier biscuit au sucre que leur mère leur avait fait avec amour en le regarder s'amuser par la fenêtre de la cuisine. L'odeur du froid en hiver, celle du feu de bois et celle des biscuits fraîchement cuits sont donc celles qu'il préfère, et la seule fois où il s'est approché d'une potion d'amortencia, elle avait les odeurs de son enfance. ♦ BAGUETTE MAGIQUE: L'art de la fabrication de baguette magique, tout comme celle des balais, a toujours fasciné le jeune sorcier. Malgré qu'il ai choisit une carrière sportive plutôt qu'un carrière en recherche ou en art, il en démontre pas moins un vif intérêt. Il a notamment fait l'expertise de sa propre baguette magique alors qu'il était encore étudiant en septième année à l'école Poudlard. L'adjoint de Murtagh, comme il se plait à le nommer, est sculpté dans le bois de charme. Il s'agit de l'un des bois que l'ont pourrait qualifier de très particulier pour la constitution d'une baguette puisqu'en miroir avec son possesseur, elle sera passionné et très attachée à un code de conduite bien précis. Son coeur contient une plume d'hyppogriffe, un créature très fière qu'il ne faut insulter en aucun cas. Elle mesure environ trente centimètres et, fidèle à ce que Murtagh préfère, elle est fabuleuse lorsqu'il s'agit d'enchantement.  ♦ SORT FAVORI: Murtagh est un passionné, un romatique, un conteur... Enfin, tout ça pour dire qu'à ces yeux, la magie doit être incroyable, d'où son penchant très prononcé à l'émerveillement devant toute forme d'enchantement. Son sort favori est sans aucun doute Avis, qu'il considère comme étant de la magie pure et tout simplement magnifique.

Murtagh est une personne :SagaceTêtuHardiLoyalRancunierPassionnéDésorganiséRéfléchitCompétitifRêveurArtistiqueExcellent conteurGourmandCourageuxSocialProtecteur

Le sorcier porte souvent un kilt. Si vous lui demandez pourquoi, il vous dira que c'est parce qu'il est traditionnel, mais en fait, il le porte parce que ça choque certaine personne. Ne vous en faites pas, il met des sous-vêtements dessous, mais encore une fois, si vous lui posez la question, il dira être nu.  ✜ Il est le second enfant d'une famille de six, mais attention, Murtagh n'a que des soeurs. Il s'avère qu'il soit le seul garçon, mais il ne laisse pas sa place. C'est un frère très protecteur qui a un code de conduite bien déterminé et ne permet aucun écart. Il tient énormément à sa famille, c'est certainement la chose qui lui est la plus chère au monde. ✜ Le sorcier a hérité du côté traditionnel de la famille. Il aime s'en tenir aux traditions, notamment le port du kilt qu'il applique depuis son entrée à Poudlard. Au début, c'était surtout pour braver l'autorité, mais après que ce fut accepté, il le portait pour choquer les gens aux moeurs trop légère. De plus, il est croyant et pratiquant, comme ces ancêtres. Il ne met pas de côté la religion, et ne se cache pas pour prier s'il en a envie. Vous devez tout simplement faire avec.  ✜ Malgré ces efforts, Murtagh n'a jamais réellement perdu son accent fort en provenance de l'Écosse. En réalité, le fait qu'il parle norvégien durant près de dix ans n'a fait qu'attiser son accent guttural qui lui donne un peu l'air d'un sauvage. Certain trouveront cet accent tout à fait charmant alors que d'autre le trouveront agacent. ✜ Il est du genre bordélique, mais pas dans son travail. Bien que ces appartements donne l'impression d'un grand désordre, notre écossais se retrouve très bien dans ce désordre. Il y a une organisation où il ne semble pas en avoir. ✜ Être enseignant à Poudlard n'était pas une option à ses yeux, mais une technique pour s'éloigner de tout. Il sait très bien le danger qu'il court à venir s'enfermer dans les murs du château alors que l'auteur de toutes les attaques ayant eux lieux l'an dernier n'a toujours pas été attrapé, mais il s'en fiche un peu. Là où il est rendu en ce moment, il n'a plus aucune différence à ces yeux entre la vie et la mort. Il se dit qu'il le fait pour rendre service, bien qu'il doute largement avoir les compétences nécessaires à cette tâche qui l’encombre. Il doute avoir assez de maturité également... Enfin, il s'est engagé dans un tâche un peu plus suicidaire, ce qui a eu pour effet de mettre beaucoup d'inquiétude dans le coeur de ses soeurs et ses parents. Au moins, il pourra garder un oeil sur les deux dernières qui arpentent toujours les couloirs du château à l'heure actuelle. ✜ Il adore l'hiver, c'est sa saison favorite. Il adore également Noël, qui est sa fête préférée. Il adore les arbres de Noël, les retrouvailles en famille, toutes les sucreries que l'on cuisine pour cette fête, ainsi que les décorations et la joie de vivre qui illumine le visage de chacun en cette période. ✜ Il aime beaucoup la musique classique, surtout celle de son folklore patrimonial. Il adore également les histoires, les aventures que l'on raconte près d'une cheminée ou autour d'un feu entre amis. Il n'est pas très porté sur les grandes fêtes très officielle.

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PSEUDO/PRENOM : Blackbeauty ÂGE : vingt ans COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? C'est encore moi ! QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Je l'aime tellement que j'en suis a trois personnages xD FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5 jours sur sept MOT POUR LA FIN : Hâte de vous faire découvrir ce personnage !!!

De l'air. J'avais besoin d'air, et pas qu'un petit peu. Je me sentais étouffer. Je sentais de l'eau s'infiltrer dans mes poumons, ou était-ce simplement l'air qui s'en échappait malgré mes efforts pour qu'elle y reste? Il faisait complètement noir. J'essayai d'ouvrir les yeux, mais sans grand résultat, mes paupières refusaient de m'obéir. Elles restaient obstinément close. Je tentai de bouger un bras, mais rien à faire, mon corps de m'obéissait plus. J'entendais des voix. Elles étaient pourtant si lointaine qu'il m'était impossible de distinguer ce qu'elles disaient. Je ressentais toutefois cette vague de panique qui semblait émaner de tout le monde à la fois.  Et puis, comme par magie, je saisis le terme « mort » quelque part dans mon esprit. Comme s'il émanait de quelqu'un d'autre. La panique m'envahie aussitôt. Elle n'était plus seulement une impression, mais bel et bien en moi. J'aurais voulu leur crier que je n'étais pas mort, que j'étais toujours là, mais je n'y arrivais pas. Je ne pouvais pas parler, pas bouger, pas ouvrir les yeux et l'air continuait de s'échapper de mes poumons sans que je ne puisse rien faire contre. Étouffer. Je me sentais comme étouffé.

C'est à ce moment que je m'éveillai, me redressant d'un coup sur la banquette, laissant finalement l'air pénétrer dans mon poumon. Visiblement, j'avais du retenir mon souffle tout le long de ce rêve. Un rêve que je faisais pour au moins la millième fois depuis deux ans. Chaque fois que je fermais les yeux, je revivais ce moment où je m'étais crut mort. Où le monde m'échappait, et la vie, prisonnière de mon corps mutilé, criait au secours. Je n'étais pas mort, mais j'avais passé tout prêt de l'être. Dans les jours suivants l'accident, qui remontant à deux ans déjà, on m'avait gardé à l'hôpital, inconscient. Quand je m'étais réveillé, on m'avait malheureusement annoncé que je ne pourrais plus jamais utiliser mes jambes. Que ma chute m'avait briser la colonne vertébrale et que, malgré le travail des médicomages à ressouder mes os, on doutait fortement que j'allais être en mesure de marcher de nouveau. À l'époque, j'étais le joueur vedette de l'équipe de Quidditch Norvégienne. Je jouais au poste d'attrapeur depuis huit ans. J'avais même pas encore terminé mes études à Poudlard lorsqu'on m'avait approché pour me recruter dans leurs rangs. J'étais alors capitaine de l'équipe de Poufsouffle, et malgré que je rêvais depuis mon enfance de percer dans le sport professionnel, ce n'étais justement qu'un rêve. J'avais finalement tout laissé derrière moi pour vivre ce rêve qui me semblait trop grand pour être réel. Huit ans plus tard, on m'annonçait que j'allais peut-être terminer ma vie dans une chaise roulante. Trop obstiné pour terminer comme une poupée de chiffon, j'avais travaillé très fort en réadaptation pour retrouver l'usage de mes jambes. Le travaille porta fruit, mais il m'était encore trop dangereux de remonter sur un balais. J'avais vingt-six ans lorsqu'on m'annonça que ma carrière d'attrapeur professionnel était terminée. Il n'y avait plus d'espoir à avoir, je ne pourrais tout simplement plus jamais être le joueur que j'avais été par le passé. Mon rêve avait été merveilleux durant huit ans, et du jour au lendemain, il se terminait en éclat de verre. Complètement anéantis, je rentrai chez mes parents humilié, blessé et déprimé. On m'offrit de nombreux emplois comme assistant-entraîneur de l'équipe Irlandaise ou rédacteur des sports magiques à la Gazette de sorcier. Mon expertise dans le domaine du Quidditch pouvait être un atout pour de nombreuses personnes, mais la blessure était encore trop fraîche. Il m'était une torture de me tenir comme un subalterne aux côtés de sorciers qui m'avaient admirés pendant tant d'année. Leur regard, leur pitié me rendait malade.

Je tournai la tête, regardant le paysage extérieur qui, en dix ans, n'avait aucune changé. Toujours aussi magnifique, les terres de mon Écosse natale était bel et bien un territoire magique tout comme le château de Poudlard qu'elles abritaient. Je me souvenais de mon dernier voyage en direction de l'école de magie lors de mes dix-sept ans. À l'époque j'étais un adolescent très fier. J'aurais aimé dire que l'arrogance m'avait épargnée, mais ce serait un mensonge. Les couleurs de Poufsouffle n'avaient jamais été aussi respecté qu'en cette époque louable où chacun était mon ami. J'avais une petite amie également. Une fille au caractère de feu, un visage d'ange, de longs cheveux sombres et un regard aussi bleu de l'océan. La poursuite de mes rêves me l'avait brutalement arrachée. Je savais que tout était de ma faute, mais à l'époque j'étais un peu trop égoïste, ne cherchant que la gloire éphémère. J'en avais plus perdu que je ne pourrais jamais me l'avouer. Elle hantait encore mes souvenirs depuis le temps. Je n'avais jamais pu me pardonner de l'avoir autant fait souffrir. Au fond, je savais que j'avais encore des sentiments pour elle puisque je n'avais jamais été en mesure d'apporter la moindre fille dans mon lit, me sentant trop coupable de coucher avec l'une d'entre elle alors que le visage d'Aslinn O'Malley flottait dans mon esprit.

Les heures s'écoulèrent ainsi alors que je ressassais le passé. Le Poudlard express finit par entrer en gare de Pré-Au-Lard. Les étudiants sortirent du train avec une ferveur nouvelle, comme si tout ce qui avait put s'abattre sur eux l'an dernier n'était qu'au mauvais rêve oublié depuis longtemps. Personnellement, j'avais un peu de mal à mettre toute cette histoire de côté. Mes parents n'avaient pas compris mon intérêt à accepter ce poste d'enseignant que l'on m'offrait à Poudlard. Je me mettais volontairement en danger m'avait dit ma mère. Elle avait même douter de permettre à Magara et Kennocha de retourner à Poudlard terminer leurs études après tout ce qui c'était passé l'an dernier. Oui, je m'exposais à un plus grand danger, mais maintenant que j'avais le sentiment d'avoir tout perdu, je ne me sentais pas effrayé par un risque de mort possible. Du moment que mes petites soeurs étaient en sécurité grâce à mon aide, je partirais simplement en paux. Je n'avais pas été très affecté par tout ce qui se passait dans le monde magique faisant l'ermite depuis un an. Certes, j'avais eu quelques inquiétudes pour mes proches, c'est un peu pour cette raison que j'avais accepté ce poste d'enseignant qui, honnêtement, ne me convenait pas totalement. Je n'avais pas l'expertise nécessaire à combler ce poste, mais on verrait bien ce que ça donnerait.

Je finis par descendre du train, laissant ma valise à bord. On s'occuperait de l'apporter dans les appartements qui m'étaient alloués. Traversant la foule de mon mieux, attirant les regards de quelques étudiants sur mon passage, je finis par m'installer dans la première calèche du cortège. Magara vint me rejoindre en compagnie de certaines de ces amies qui ne cessèrent de discuter tout au long du trajet. Dans moins d'une heure, la directrice du château allait me présenter à tout le monde comme étant le nouveau professeur de sport, arts et musique magiques. La carrioles tressautait sur le chemin de terre battue me menant à ce qui me semblait être l’échafaud...