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La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie

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MessageSujet: La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie EmptyVen 15 Aoû - 20:25


La mort au bord des lèvres
Aindreas & Lucie
Lucie trouvait ses journées de travail parfois très longues, parfois très courtes, parfois ennuyeuses, et parfois parfaites lorsqu’elle partageait son service avec Darcy. Maintenant qu’elle était officiellement avec lui, elle se sentait le coeur plus léger et apte à se dresser contre n’importe qui ou n’importe quoi, mieux encore, son amabilité en avait redoublé et ses sourires aussi si bien qu’elle en avait presque mal à la mâchoire le soir venu. Bref, elle nageait dans son petit bonheur personnel et comptait bien en profiter pour le temps que ça durerait, car elle ne savait pas ce que l’avenir réservait avec tous ces mangemorts dans la nature. Comme la soirée arrivait, Lucie prit soin de ranger la salle des médicomages, elle et ses manies maniaques, elle appréciait de toujours retrouver rapidement ce dont elle avait besoin en cas d’urgence. Reposant sa blouse dans son casier qui de toute façon partirait au lavage, Lucie réarrangea ses cheveux coupés courts récemment et fière d’une nouvelle journée de travail accomplie, compta filer en direction du hall pour quitter son service après avoir rendu compte de ses heures. Mais un cri dans le dit hall, entendu au travers de la porte, lui glaça le sang.

Se saisissant de sa baguette, craignant une vile attaque -les mangemorts étaient bien capables d’attaquer n’importe où-, la française se rua à l’entrée mais pour y découvrir un spectacle tout autre. Ses yeux se posèrent d’abord sur la longue traînée de sang et la marre qui commençait à se développer, puis sur les deux individus, tous deux blessés, l’un plus gravement que l’autre. Elle voyait bien un fémur sorti de la chair d’une de ses cuisses et d’autres blessures multiples. Cet homme, elle le connaissait bien, pour l’avoir soigné plusieurs fois. Aindreas O’Brady, un loup-garou irlandais qui parfois avait tendance à se blesser lui-même assez méchamment, mais là, ça n’avait rien de blessures volontaires, il était même au bord de la mort. Ni une ni deux, elle ne prit pas la peine de réfléchir, tout comme d’autres médicomages, et courut à toutes jambes vers les blessés, connaissant le cas du brun, elle prit en charge, avec une équipe arrivée tout aussi vite, de s’occuper de son cas sans perdre de temps.

Ils transplanèrent ensemble dans un bloc du service des blessures graves. Il fallait ressouder de nombreux os, fermer des plaies et lui donner du sang au plus vite car il en avait perdu bien trop. Chacun prit place pour sa tâche tandis que Lucie s’occupait un premier temps d’endormir le blessé pour ne pas qu’il souffre trop, néanmoins, il serait à demi comateux tant il y avait à faire… Les os craquèrent par dizaines, les uns après les autres, parfois en même temps et l’estomac de la brune se souleva, n’imaginant pas à quel point il devait souffrir. Les craquements laissèrent place à des fragments d’essence de dictame pour refermer les plaies. Utilisées régulièrement par gouttes, ce qui suffisait amplement d’habitude, Lucie fut horrifiée de constater qu’ils avaient vidé deux flacons pour refermer toutes ses plaies. Mais il n’était toujours pas hors de danger, il lui fallait du sang. Ne connaissant pas son groupe sanguin, les médicomages préférèrent ne pas risquer un rejet, et, grâce à leurs faibles connaissances en génétique, prirent de ce sang qu’ils appelaient universel pour transfuser le jeune homme au plus vite. Tous restèrent là à tenter d’accélérer le processus pour qu’il s’en sorte, mais Lucie ne pouvait être sûre de rien… Un homme normal serait déjà mort depuis longtemps, mais lui avait certaines aptitudes, peut-être qu’il serait encore là demain. Pour le moment, il fallait le veiller, et changer les poches régulièrement, et la jeune femme décida elle-même de rester. Ils avaient, un jour, partagé bien plus qu’un dossier médical, elle s’était laissée aller dans ses bras et veiller sur lui aujourd’hui était le moins qu’elle pouvait faire. C’était normal.

Elle s’installa à côté de lui et vérifia régulièrement les transfusions sur plusieurs heures données, guettant le moindre mouvement, des yeux qui s’ouvriraient, n’importe quoi qui lui donnerait l’espoir qu’il commençait déjà à aller mieux. Mais rien ne se passait, les heures défilaient et Lucie attendait, en vain. S’il arrivait quelque chose, elle ne savait même pas qui prévenir, elle ne savait pas qui sur cette foutue planète lui était proche ou même qui il aurait envie de voir. Mais le pire, Lucie ne voulait pas y penser, elle était d’un naturel optimiste mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir peur. S’ils ne s’étaient pas vus depuis des mois et que ça n’était jamais allé plus loin que ça, Lucie désirait vraiment qu’il se remette, car c’était un homme bien, et que quelque soit la personne qui lui avait fait ça, et quelque soient ses motivations, Aindreas O’Brady ne méritait pas ça du tout.

— Par Merlin, réveillez-vous… Réveillez-vous O’Brady...

electric bird.
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MessageSujet: Re: La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie EmptyMar 19 Aoû - 5:46

La mort au bord des lèvres
Lucie
feat.
Aindreas


 

 



 

 

La vie vous réserve parfois des surprises, moi j'ai l'impression qu'elle veut surtout m'étrangler avec le ruban

Un lit. T'es cloué à un lit. C'est vraiment n'importe quoi, depuis quand tu te contentes de rester allongé, à attendre que tu guérisse ? Apparemment c'est une nouveauté et ça ne te plaît absolument pas.

T'es arrivé ici la veille, tu ne sais plus vraiment tout à fait comment tu es arrivé à St-Mangouste, tu te souviens simplement que tu étais avec Fitz sur une mission banale à la base. Vous deviez juste récolter quelques informations d'un sorcier qui avait la bougeotte, mais surtout la sale manie de s'entourer de moldus. Jusque là rien de bien extraordinaire, sauf qu'il a fallut que vous tombiez dans une embuscade. Et encore, là t'aurais très bien pu t'en sortir, si  seulement  Fitz n'avait pas été aussi maladroit. Il a bien démontré qu'il n'était pas fait pour le terrain, du moins pas pour les situations d'urgence comme celle-là, il n'avait pas les bons réflexes et il a faillit se faire tuer. Tu ne pouvais pas le laisser  se faire massacrer, tu t'es interposé. À croire que les assaillants n'attendaient que ça. Tu as pris cher, c'est le moins que l'on puisse dire. Malgré tes réflexes et ta capacité à te battre, tu n'as pas réussi à faire le poids bien longtemps, surtout avec ton coéquipier d'un jour dans les pattes. Il a voulu t'aider, mais il a certainement fait pire que mieux. Résultat, on t'as laissé pour mort – ou presque – sur le pavé. Il t'as fallut tout ton self-control et ton courage pour réussir à transplaner. T'as bien faillit te désartibuler. Il faut dire qu'avec tout le sang que tu perdais tu avais un peu de mal à te concentrer.  Heureusement tu as finis par atterrir sur le sol du hall de St-Mangouste. À partir de là, les choses deviennent totalement flou dans ton esprit. Tu te souviens de visage au-dessus de toi. Des médicomages certainement. Logique dans un hôpital.  Puis quelqu'un qui appui sur ton épaule. Là où t'as pris un coup qui aurait du t'être fatal, tu t'en rend bien compte. Peut-être que pour une fois, le loup qui est en toi t'as servi à quelque chose. Puis on t'as endormi ou peut-être que tu t'es évanouis ? Tu n'en sais rien, mais en tout cas, t'as un trou noir à ce moment-là.  Un vrai trou noir, il n'y avait rien, juste du vide et une sorte de douleur lancinante. Tu t'es cru mort pendant un moment.

Puis il y a eu cette voix, douce et ferme à la fois qui t'as tiré de ton néant. Tu t'es redressé d'un coup, reprenant ton souffle, un peu comme si tu venais de manquer de te noyer ou que ton cœur s'était arrêté l'espace d'un instant. C'est peut-être ça. T'es sûr que ton cœur a battu tout le long ? « Ma baguette ! » Au moment où t'as conscience refait surface, la douleur en fait de même. Tu portes ta main à ton épaule et une grimace. Puis tu te souviens. Le duel – si on peut appeler ça comme ça – Fitz et les sorts qui fusaient dans tout les sens. Tu te tournes vers la femme à tes côtés « Comment va Fitz ? » elle ne doit pas savoir qui il est « L'homme qui était avec moi, il était blessé aussi, il va bien ? » c'est plus fort que toi, tu ne voulais peut-être pas faire équipe avec l'oubliator, mais ce n'est pas pour autant que tu as espéré sa mort. Puis, une fois tout ça passé, tu t'attardes un peu plus sur la jeune femme qui se trouve à côté de toi. Son visage t'es familier, même si quelque chose a changé chez elle. « Lucie ? » demande-tu surpris. Tu ne t'attendais vraiment pas à la trouver ici. Bon, ce n'est pas si étonnant que ça, puisqu'elle est médicomage et que tu es dans un hôpital. Tu essaye de te redresser un peu dans ton lit, mais c'est à ce moment-là que tu ressens tes membres te tirer. T'as l'impression de revivre une pleine lune. Comme si une par mois ne suffisait pas. La brune a l'air inquiète et tu te demande  la tête que tu dois avoir. Tu dois certainement faire peur. Tu soupires. Il ne manquait plus que ça. La colère bouillonne en toi, comment as-tu pu te laisser avoir aussi facilement ? T'es un langue-de-plomb, connu pour ses talents en sortilèges et tu as quand même réussi à te faire mettre à terre. Tu pourrais te consoler en te disant que tu aurais du être mort, mais ça ne suffit pas. Non, tu veux te venger et même si tu ne sais pas encore comment pour l'instant, tu y arrivera. Foi d'O'Brady. « Tu crois qu'un jour on se croisera quand je serais en forme ? A moins que ce ne soit une ruse pour me voir à moitié nu ? » t'essaye de détendre l'atmosphère, elle a l'air vraiment inquiète et toi, tu es tendu, mais tu ne dois pas montrer ce que tu as derrière la tête, parce que tu sais très bien que tout le monde essayera de t'en empêcher.
© Gasmask


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MessageSujet: Re: La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie EmptyMar 19 Aoû - 15:14


I came back to you
Darcy & Espérance
Lucie était sur le point de s’assoupir. La nuit avait été longue et lui avait succédée l’aube puis la matinée jusqu’au midi durant d’épuisantes heures à veiller. L’état de l’irlandais n’était ni stable, ni garanti, et l’équipe de médicomages de Lucie avait fait son maximum pour sa survie. Seulement, avec tout le sang qu’il avait perdu, c’était un vrai miracle qu’il n’ait ni succombé, ni n’ait péri… La française savait qu’elle ne devait pas ça qu’à leur réactivité à tous, mais aussi à la malédiction que possédait O’Brady… Le fait d’être un loup-garou lui avait sauvé la vie, mais il demeurait encore fragile. Ce statut de sang ne faisait pas tout… Et elle craignait que son état psychologique n’en soit que plus affecté encore. Alors lorsqu’il se réveilla en sursaut, Lucie fit un bond dans son fauteuil d’hôpital et se leva aussi vite. Elle fronça les sourcils et l’invita à se rallonger.

— Couche-toi par Dumbledore ! Tu vas te démettre quelque chose ou tomber dans les pommes !

Il était encore à moitié cassé et il lui faudrait bien se reposer pour que ses muscles se remettent du choc… Surtout qu’il s’était pris un sortilège persistant dans l’épaule et que loup garou ou pas, cela mettrait des semaines… Elle leva les yeux au ciel, quand il lui demanda ce qui était advenu du jeune homme arrivé avec lui. Elle n’avait pas de nouvelles précises ni de détails, mais il était arrivé bien moins amoché et son état était stable, il sortirait bien plus vite que le langue-de-plomb.

— Il va bien, son état est stable, il devrait sortir bientôt, toi par contre, tiens toi tranquille si tu ne veux pas être cloué ici pendant un mois ! On te garde au moins une semaine, pas moins, si tout se passe bien. Et je dis bien si tout se passe bien !

Il semblait assez têtu et détester les hôpitaux -qui aimait ça après tout ?- mais il n’avait pas le choix cette fois. Il aurait à peine le temps de récupérer en plus de cela, jusqu’à la prochaine pleine lune… Et dans ces cas-là, même avec une potion tue-loup pour lui laisser bonne conscience, elle n’était pas certaine que l’hôpital veuille bien le garder, ce qui signifiait de nouveaux soins à domicile. Quand il lui demanda s’ils se croiseraient un jour sans qu’il soit en piteux état ou c’était un moyen pour elle de le voir nu, Lucie éclata de rire et se sentit plus détendue, un peu, vraiment. Elle haussa les épaules, l’air dépité.

— Désolée de te décevoir, mais c’est presque si je suis fiancée ! Alors pas de galipettes cette fois, je suis une femme fidèle. Puis tu peux parler, c’est toi qui te mets dans de beaux draps tout le temps comme ça ! Autant te dire que la prochaine pleine lune sera terriblement difficile… On fera le nécessaire pour te remettre sur pieds, moi en particulier, tu peux compter là-dessus.

Elle lui fit un clin-d’oeil appuyé et attrapa le dossier de l’irlandais pour y apposer des notes. Le voir réveillé était une bonne chose, mais rien ne disait qu’il ne tomberait pas de nouveau dans les tuiles d’ici cinq minutes ou trois heures. Il avait évité le coma, c’est déjà ça. Puis elle lui fit signe de regarder sur la table de chevet à côté de son lit où trônaient un bouquet de fleurs fraîches.

— Une jeune femme est passée pour toi en fin de matinée, mais nous n’avons pas eu le droit de la laisser entrer ici. Je ne sais pas comment elle a fait pour apprendre si vite que tu étais là, ni comment elle a su le numéro de ta chambre, mais aussitôt repartie, elle est revenue avec ces fleurs et nous a fait un cinéma pour qu’on te les pose là. J’ai pas tellement souvenir que tu aies de la famille ici, m’aurais-tu caché des choses Don Juan ? Quoi qu’il en soit tu vas devoir te reposer et on verra pour ta baguette plus tard ! Il va y avoir une enquête de toute façon, et si tu n’es pas sage, je t’attache à ce lit ! Mais tu pourras toujours courir pour que je vienne te grimper dessus ensuite ! Alors obéis.

electric bird.
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MessageSujet: Re: La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie EmptyMar 19 Aoû - 19:13

La mort au bord des lèvres
Lucie
feat.
Aindreas


 

 



 

 

La vie vous réserve parfois des surprises, moi j'ai l'impression qu'elle veut surtout m'étrangler avec le ruban

T'as frustration est à son comble, il faut l'avouer, tu n'es pas quelqu'un de passif et te savoir être obligé de rester ici à attendre que ton corps daigne bien guérir, ça te mets les nerfs. En plus de ça, tu n'as pas ta baguette et ça à tendance à te rendre nerveux, accentuant ta paranoïa et tu sais très bien que tu n'as pas besoin de ça. Du moins, maintenant on ne pourra plus te dire que t'es trop paranoïaque, parce que tu t'es quand même fait attaquer lors d'une opération de routine. Finalement, tu n'as pas tord de toujours être sur tes gardes. On ne t'y reprendra plus. Lucie te rassure en te disant que Fitz va bien, qu'il risque même de sortir bientôt, il n'a pas été touché sévèrement. T'as bien fait ton taffe finalement. Cependant, tu fais de grands yeux quand elle te dis que tu dois rester ici au moins une semaine. Non, elle se moque de toi, là, ce n'est pas possible autrement. Il est hors de questions que tu reste ici une semaine. Tu as pleins de choses à faire, des rapports à rendre, des missions à effectuer et tu dois aussi préparer la future pleine lune, ça ne va pas se faire tout seul. Surtout qu'apparemment, c'est une semaine minimum. « Je n'aime pas vraiment ton sens de l'humour. Je me sens mieux, j'veux bien rester ici jusqu'à demain, mais pas plus. » concède-tu. C'est déjà mieux que rien non ? Tu ne peux pas rester immobile plus longtemps de toute façon et puis tu dois savoir qui t'as fais ça, parce que tu te doutes que ce n'est pas pour le sorcier qui a la bougeotte, non. L'attaque était dirigé, certainement des mangemorts qui voulaient se faire des membres du ministère. Dommage pour eux, ils ont choisis la mauvaise cible. T'as bien l'intention de leur faire payer.

Un petit rire s'échappe de tes lèvres quand elle s'excuse de te décevoir. Apparemment, elle est fiancée, t'es content pour elle. L'amour c'est quelque chose d'important, il faut savoir le garder une fois qu'on l'a trouvé. C'est ce que ta mère t'as souvent répéter. « Tu n'es pas obligé de toucher, tu peux juste te rincer l’œil » rétorque-tu, taquin « En tout cas félicitations pour tes fiançailles. » tu lui souris. Tu hausses les épaules quand elle te dis que la prochaine pleine lune risque d'être encore plus éprouvante que les précédentes. Ce n'est pas comme si en temps normal c'était une partie de plaisir, alors tu n'es pas à ça prêt. Il faudrait peut-être que tu écrives à Samaël, pour lui demander quelque chose dans l'optique de limiter les dégâts. « Je ferais avec. » ce qui ne te tue pas, te rendra plus fort de toute façon.

Tu l'observes griffonner sur ton dossier, tu te demande bien ce qu'elle peut y écrire. Ton épaule te fais particulièrement mal et t'essaye de te souvenir du sort qu'on a pu y envoyer. Cependant, étant donné qu'ils t'ont attaqués en rafale, ce n'est pas simple de les identifier. Finalement, c'est Lucie qui brise ta réflexion en te montrant les fleurs qui se trouvent à côté de ton lit. Ça t'étonne toi aussi, Simon ne peut pas être au courant de ton hospitalisation et le reste de ta famille non plus. C'est peut-être Fitz qui veut s'excuser pour votre mésaventure. Elle t'explique que c'est une jeune femme qui les a déposé. Un léger sourire se dessine sur ton visage, malgré toi « Une jolie blonde ? » l'interroge-tu pour être sûr que ton pré-sentiment est le bon.  Mais c'est vrai ça, comment a-t-elle su que tu étais là ? Elle est vraiment plein de surprises. Tu iras la remercier de toi-même une fois sortie d'ici. Toutefois, l'image d'Alecia aussi agréable soit-elle a vite été effacé quand elle te reparle de ta baguette. Non, tu ne peux pas imaginer rester loin de ta baguette plus longtemps. C'est peut-être ta paranoïa qui parle pour toi, mais tu ne veux pas en être priver. On ne sait jamais quelqu'un pourrait avoir envie de finir le travail. « Attache-moi si tu veux, mais rend-moi ma baguette. S'il te plaît. » t'essaye peut-être de l'amadouer, mais il faut que tu la récupère.
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MessageSujet: Re: La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie La mort au bord des lèvres | Aindreas & Lucie EmptyLun 1 Sep - 16:05


I came back to you
Darcy & Espérance
Lucie savait bien que l’irlandais était têtu, mais elle l’était davantage quand il s’agissait du bien-être de ses patients. A trop vouloir en faire, il s’en trouverait réduit à être cassé en plus de morceaux qu’à son arrivée. Lorsqu’il fit la moue au sujet de son hospitalisation prolongée et lui dit qu’il n’aimait pas son sens de l’humour, Lucie n’avait absolument pas envie de rire du tout, et pour cause elle était très sérieuse. Le connaissant, il s’offrirait la moindre occasion de retourner chez lui avant même d’être complètement rétabli, et ce au nez et à la barbe du corps médical, alors que c’était très dangereux pour lui. Il a beau être un loup garou, être résistant et cicatriser très vite, il ne se doutait pas qu’avec le genre de blessures qu’il avait subies, ces bons points pouvaient rapidement se retourner contre lui.

— O’Brady, si tu forces trop, cette fois, même si tu as l’impression que ça va, tes blessures vont te tuer. Tu n’as même pas encore retrouvé tout ton sang, si tu essaies seulement de te lever, tu retomberas aussi sec et certainement pas éveillé, crois-moi. Ton statut a ses limites.

La française prit de nouveau place dans son fauteuil, l’air grave, se demandant si après ses paroles, l’irlandais réaliserait l’enjeu de sa condition. Elle ne voulait pas avoir sa mort sur la conscience.

— Si tu veux mourir, à ta guise, mais évite de le faire au sein de cet hôpital, dans mon service. Mais si tu veux mon avis, ta mort ne profitera pas à ceux qui te veulent du bien ou qui t’apprécient, alors réfléchis-y à deux fois.

Elle lui lança un petit regard qui voulait tout dire. Peut-être qu’elle finirait bel et bien par l’attacher pour qu’il se tienne tranquille et qu’il lui passe l’envie de faire n’importe quoi. Quand il la félicita, elle ne put s’empêcher de sourire. Bon, elle n’était pas encore vraiment fiancée, mais c’était tout comme, et puis avec Darcy, il fallait s’attendre à tout, lui faire ce genre de surprise lui ressemblait bien et elle avait appris à le connaître en plus de cela. Puis concernant la jeune femme évoquée, qu’elle pensait être Lukeither, Lucie fit une petite grimace amusée devant l’air attendri de l’irlandais.

— Si j’étais de ce bord-là, effectivement, je dirais qu’elle est vraiment mignonne. Elle te plaît ? demanda-t-elle en lui offrant un sourire malicieux. Fais en sorte d’obéir et de bien guérir si tu ne veux pas finir impuissant dans son lit !

Elle éclata de rire en imaginant le pauvre irlandais craquer de partout et causer la vexation de la jeune fille, et pourtant, Merlin savait à quel point il était efficace dans ces cas-là. Lorsqu’il lui parla de nouveau de sa baguette, la française perdit son sourire. Lorsque l’irlandais était arrivé à l’hôpital, blessé et saignant de partout, il ne l’avait pas sur lui. A vrai dire, elle n’avait pas tant fait attention à sa baguette mais plus à la façon dont elle lui sauverait la vie à temps. Au moment où il était plus ou moins hors de danger, Lucie avait reçu la visite d’aurors bien avant celle de la blonde, et ces derniers avaient demandé si le langue-de-plomb et son second s’en étaient sortis.

— Je suis désolée Aindreas, mais je n’ai pas ta baguette… Tu ne l’avais pas en arrivant ici je crois. Des aurors sont passés tout à l’heure. Ils vont ouvrir une enquête et je suis sûre qu’ils la retrouveront et te la rendront. En attendant, tu es en sécurité ici et si ça peut te rassurer, je peux passer au ministère juste après mon service pour réclamer ta baguette.

Elle lui sourit puis se releva, posant la main sur le front de l’irlandais pour vérifier sa température -la fièvre était tombée-, puis elle vérifia les perfusions et les poches de sang qu’elle changea dans la foulée pour que son malade ne manque de rien.

— Repose-toi maintenant, promis tu auras ta baguette très bientôt, en attendant essaie de dormir, tu verras, ça te fera du bien et tu auras un bon repas à ton réveil. Alors tiens-toi tranquille sale gosse, avec un peu de chances, ta blonde reviendra te rendre visite demain ! finit-elle, taquine.

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