Depuis très longtemps la famille Adams existait et faisait régner et entendre son nom dans le monde des sorciers. Ce fût une famille d’une longue lignée de Sang pur. Et comme pour beaucoup de ses familles, ils ne veulent qu’une chose, perpétuer la race des sangs pur et surtout le nom des Adams. Ils veulent que leur nom restes à tout jamais dans l’histoire et que leur « races » reste telle quelle. Pour cela, la mère Adams faisait toujours tout pour qu’il y ait au moins un garçon dans la famille. Le garçon devait toujours trouvé une fille au sang pur, et devait tout faire pour qu’ils puissent avoir un garçon à leur tour. Mais malheureusement, la plus tard du temps il n’y avait qu’un seul garçon dans la famille et pour plusieurs fille. Le dernier couple des Adams n’ont pas eu plus de chances. Ils ont donnée naissance à une fille qu’ils prénommèrent Victoria Ellen. Ils essayèrent d’avoir un autre enfant pour avoir le garçon tant espérer de la famille mais il ne vint jamais. Suite à des examens, on découvrit alors que la mère de Victoria ne pouvait plus avoir d’enfant et que de plus son père ne pouvait plus en faire. Ils se retrouvèrent coincés. Victoria, ou Vicky pour ses parents, fût chouchouter par ses parents, ils savaient que ça serait la dernière qui porterait du sang des Adams. Dans sa jeunesse, ses parents faisaient tout pour elle et répondaient au moindre de ses caprices. Et ils en avaient les moyens, ses parents étaient des gens ambitieux et renommer. Ils travaillaient tous les deux au ministère, c’était là-bas d’ailleurs qu’ils s’étaient rencontrés. Ils se vantaient beaucoup d’être sûrs que Victoria serait une sorcière, mais au fond d’eux-mêmes, ils avaient très peur qu’elle finisse Cracmol, peur que le mode de la magie la rejette et peur que le nom des Adams soit déshonoré. Lorsqu’elle fût en âge de comprendre, ses parents lui racontèrent toutes les histoires sur les sangs purs et sur leurs lignées. Ils voulaient à tout prix qu’elle se marie avec un sang-pur mais qu’elles prennent le nom de famille des Adams pour que le nom puisse continuer à se perpétuer dans l’histoire.
Victoria était destinée à être une sorcière, ce fût pour cette raison que ses parents ne trouvaient pas l’utilité de la mettre dans une école de Moldu. Et quand on leur posait des questions, ils disaient qu’elle suivait des cours à domicile. Il ne voulait pas non plus la mettre dans une école de Moldu par peur que ses pouvoirs se déclenchent près de ses camarades. C’était pour ces deux raisons que les parents de Victoria décidèrent de s’occuper eux même de son éducation de la sorcellerie. Pour commencer, la mère de Victoria lui racontait les comtes de Beedle le barde avant d’aller dormir. Sa mère commença aussi à lui parler de Poudlard, des matières enseignées, de la vie au château ainsi que son histoire. Elle lui apprenait aussi des choses les plus simples, au début juste des définitions de certains sortilèges et de certaines créatures. Elle lui parla même du sport de tous les sorciers : le Quidditch. Tous les jours, sa mère essayait de lui faire des exercices pour déclencher ses pouvoirs. Les jours passaient et Victoria grandissait. Ses parents étaient inquiets de ne pas voir ses pouvoirs se déclencher. Victoria connaissait déjà le monde des sorciers par l’éducation de sa mère, elle ne fût que peu surprise lorsque ses pouvoirs décidèrent de se montrer. C’était un samedi ordinaire. Elle avait eu dix ans depuis quelque jour et son cadeau était une poupée représentant une fée. Ses parents travaillaient toute la journée et la trouvaient assez grande pour qu’elle puisse rester seule. La plupart du temps, elle jouait dehors. Elle se rendit seule au bord d’un fleuve, elle n’allait jamais au parc car elle n’avait pas d’ami. Beaucoup des autres enfants la trouvaient bizarre puisqu’elle n’allait pas à l’école. Ils se moquaient d’elle et de ses cours à domicile. Ils se moquaient de la richesse de ses parents. Ils en profitaient aussi pour se moquer de la couleur de ses cheveux. Victoria savait que c’était par pure jalousie. Victoria se posa sur un rocher près d’une flaque d’eau et se mit à jouer avec sa poupée. Le vent soufflait et faisait flotter ses cheveux roux dans les airs et le soleil tapait contre sa peau blanche. Lorsqu’une ombre vint perturber sa tranquillité. Victoria leva les yeux. Trois jeunes garçons, d’environ onze ans, étaient devant elle et la regarda d’un air supérieur. Victoria n’avait pas peur d’eux mais elle les détestait car c’était un peu la « racaille »de la ville. Victoria leur lança un regard de défi.
- Oh regardez, notre petite bourge a encore une nouvelle poupée
Le plus grand des garçons, lui arrache des mains
- Une fée en plus, ça n’existe même pas c’est trucs
Victoria se leva et tout en gardant son calme rétorqua
- Rends-moi ma poupée
- Quoi ? Sinon tu vas faire quoi ?
Le garçon lança la poupée qui tomba dans une flaque de boue près du fleuve. Les trois garçons riaient pendant que Victoria courrait rechercher sa poupée. Elle avait peur qu’elle ne tombe dans le fleuve et qu’elle soit perdue à jamais. Victoria réussit à reprendre sa poupée mais elle était dans un état désastreux. Les ailes bougeaient en appuyant sur un bouton mais désormais elles ne s’actionnaient plus. Une rage monta en elle. Elle avait envie de leurs faire du mal, de leur faire payer ce qu’ils avaient fait. Victoria retourna près des garçons qui continuaient de rigoler comme des hyènes. Toute la rage de Victoria se lâcha et la flaque d’eau près du rocher se mit à frémir et à s’élever dans les airs pour former une colonne d’eau qui retomba sur les trois garçons qui n’avaient rien vue, n’y rien compris à ce qu’il venait de se passer. Les trois garçons, mouillés, se mirent à courir. Victoria resta sur place en serrant sa poupée. Même si elle savait ce qu’elle venait de faire, elle n’y croyait pas. Elle resta un long moment debout puis retourna s’assoir sur son rocher. Puis elle recommença à jouer comme si rien ne s’était passé.
Pour fêter l’arrivée des pouvoirs de Victoria, ses parents décidèrent de partir en vacances en bord de mer. Dans un village où se trouve seulement des sorcières et des sorciers. Ils allèrent tous les jours à la même plage et à la même heure. Victoria, étant une fille unique, se sentaient seule et faisait toujours la même chose. Lorsque trois jour après leur première venue à la plage, un jeune garçon aux cheveux blonds s’approcha d’elle et lui parla en lui offrant une cerise. Victoria ria de ce cadeau pour entrer en contact avec elle. Il s’appela Jason. Ils restèrent un mois en vacances et se garçon aussi, ils dévernirent très proche, jouaient ensemble et parlaient beaucoup de magie. Ils devinrent les meilleurs amis du monde. Lors de leur séparation, ils se promirent de s’envoyer des courriers et de se retrouver en vacances l’année prochaine mais surtout de se retrouver à Poudlard.
Les vacances de l’année des onze ans de Victoria ne se passèrent pas comme elle voulait. Elle ne retournait pas en bord de mer retrouver Jason. Elle devait suivre ses parents au Japon, qui partaient pour passer des vacances mais aussi pour des affaires plus importantes. Ils durent rester plus longtemps que prévu pour leurs affaires, mais le problème était que la rentrée à Poudlard de Victoria approché à grand pas. Ils décidèrent de demander à des amis de la famille de faire les achats pour elle. Mais un problème se posait, le problème de la baguette magique. Victoria n’en avait toujours pas et elle voulait pouvoir avoir le temps de l’essayer et de la prendre en main. Sa mère et elle prirent une journée pour aller dans le meilleur magasin de baguette du Japon. Après de multiple essai, la meilleure baguette qui lui allait fut une baguette en bois de Cerisier avec crin de licorne et qui faisait une longueur de 26 cm. Elle a eu du mal et il lui fallut plusieurs temps avant de parvenir à maitriser sa baguette qui lui faisait de mauvais tour mais sa maitrise d’elle et de ses émotions on fait qu’elle fut rapidement possible de prendre le contrôle de la baguette.
Le jour de la rentrée, elle retrouva Jason dans le Poudlard express, elle en était très heureuse. Pendant la durée du trajet tous les deux se demandait dans qu’elle maison ils allaient être envoyées. Victoria avait peur de se retrouver à Serpentard. A la surprise de certain par le faite qu’elle descendait d’un sang pur, elle fût envoyée à Serdaigle, Victoria en était très satisfaite. Et pour continuer dans son bonheur, son meilleur ami, Jason, fût reçut à Serdaigle lui aussi. Victoria passa des moments merveilleux. Le faite qu’elle soit une fille unique se faisait ressentir par moment, car elle s’isolait souvent et restait seule. Plus elle passait de temps avec Jason plus ses sentiments grandissait et elle se rendit vite compte qu’elle en était en fait amoureuse. Elle ne voulut rien dire par peur de le perdre en tant qu’ami. Elle savait aussi que c’était un Sang mêlé et que ses parents n’accepteraient pas leur amour. Ils ont déjà eu beaucoup de mal à accepter leur amitié. Les parents de Victoria furent déçut d’apprendre qu’elle était à Serdaigle, mais ce n’était pas ce qui importait le plus à leurs yeux. Pour eux, le plus important était ses fréquentations, ses résultats scolaires ainsi que ses ambitions pour son futur métier. Pour être tranquille sur un point, Victoria mentait sur le « type » de gens avec qui elle se trouvait. Lors de son entrée en troisième année, Victoria du choisir ses options et elle décida de prendre les Arts et musique magique et l’étude des runes. Et ce fut avant les vacances de Noël de sa troisième année que ses mensonges furent révélés. Sa mère dut venir à Poudlard pour affaire et en même temps elle a pu voir et se renseigner sur sa vie à Poudlard. Pendant toutes les vacances de Noël, ses parents lui montaient la tête sur le faite qu’elle est de sang pur et qu’elle doit en être digne jusqu’au bout. Une longue et grande dispute suivit. N’étant pas d’accord avec ses parents Victoria envoya une lettre à Jason, en lui demandant de l’héberger le restes des vacances de Noël et peut être pourquoi pas, pendant les grandes vacances d’été. Elle ne voulait plus revoir ses parents. Jason lui répondit favorable, et ils se donnèrent une date et une heure de rendez-vous pour faire le transfert de ses affaires. Victoria donna la date d’un soir où ses parents ne seraient pas là et où elle serait sûre qu’ils ne l’empêcheront pas de partir. Elle prépara alors toutes ses affaires, que ce soit celle de Moldus ou celle de Sorcières. Jason et ses parents virent la chercher le jour qui était prévu. Victoria passa la fin de ses vacances chez Jason et elle passa des moments merveilleux en sa compagnie. Ses parents lui envoyèrent des lettres mais elle n’y répondit pas.
A la rentrée des vacances de Noel, elle réfléchissait un peu plus à sa fugue et à son retour chez ses parents, elle se rendit compte de ce qu’elle avait fait et que ses parents pourraient être très inquiets mais Victoria avait besoin de cette pause. Ça lui avait fait beaucoup de bien. Lors des vacances suivantes, elle avait déposé ses affaires chez Jason mais elle voulut passer une journée chez elle, pour revoir ses parents, et leur donner une explication, elle espérerait de tout cœur qu’ils comprenaient ce qu’elle avait fait et qu’ils ne lui en voulaient pas. Mais quand Victoria voulut rentrer chez elle, au moment où elle voulut pauser la main sur la porte elle reçut comme une décharge lui parcourir la main et elle ne parvenait pas à ouvrir la porte. A son deuxième essaye, une lettre sortie par le bas de la porte. Victoria se rendit compte que s’était une beuglante. Ce fût la voix de sa mère qui résonna dans la rue. Cette dernière lui reprocha d’être partie de la maison sans prévenir personne et sans donner signe de vie par la suite, sa mère savait aussi où elle s’était réfugiée et elle lui reprocha de fréquenter ce sang-mêlé, que c’était indigne par rapport à son rang. Sa mère termina en disant qu’elle était la honte de la famille et que désormais pour eux, ils n’avaient plus de fille. La beuglante se déchira en mille morceaux. Victoria quant à elle, été restée figée sur place. Des larmes coulèrent de ses yeux les longs de ses joues. Elle n’en revenait pas de la réaction de ses parents. Elle ne savait pas comment elle avait fait mais elle était rentrée chez Jason. Elle lui avait raconté la beuglante de sa mère. Les larmes ruisselaient toujours sur ses joues. Victoria ne s’était pas vue mais elle sentait ses yeux fatiguées, ils devaient être très rouges. Jason la prit dans ses bras et avec l’accord de ses parents, lui offre l’hospitalité.
Victoria ne voulait pas s’imposer aux parents de Jason, donc elle rentrait que lors des grandes vacances. Mais ce qui m’était le plus mal à l’aise Victoria se fût l’achat des fournitures scolaires. Les parents de Jason avaient énormément insistés pour lui payer et au final elle accepta. L’amour que Victoria ressentait pour Jason grandissait au fur et à mesure qu’ils passaient du temps ensemble mais elle savait qu’elle ne lui dirait jamais car ça pouvait tout changer et désormais ils étaient trop ensemble pour qu’elle se permette ce genre d’entrave.
Victoria arriva avec beaucoup de difficulté en cinquième année, le chemin avait été compliqué pour elle l’année précédente et beaucoup d’élèves avaient connaissance de sa situation. Mais elle s’est accroché à ce qui comptait le plus pour elle.
A force de se retrouver seule et de ne pas voir ses parents, Victoria se posa beaucoup de questions à leurs sujet. Pourquoi ils étaient tellement obsédés par le fait de garder une lignée de sang Pur ? Elle ne comprenait pas non plus en quoi être de sang pur pouvait être un avantage et serait mieux considères. Victoria ne pleurait plus en pensant à ses parents, elle pensa même que c’était la meilleur solution pour elle. Et tout ce qu’elle espérait c’était que ses parents n’étaient pas des adeptes de la magie noire, elle n’avait plus aucune nouvelles d’eux. Elle savait que des nouvelles rumeurs sur une nouvelle force du mal faisait rage et elle devait avouer qu’elle avait peur que s’est parents se retrouvent impliquée dans cette affaire, de gré ou de force.
Dans ses moments de doute, elle était perdue entre le faite de devoir garder de l’affection pour eux dans l’espoir de les revoir un jour ou de les oublier à tous jamais.