♦ NOM(S): Jdanov est un nom que l'on connait bien en Russie puisque c'est celui d'un sorcier assez riche qui a su percer dans la politique moldu pour façonner ce monde à son image, le jeune homme porte ce nom par dépit. ♦ PRÉNOM(S): Fandral et Yggdrasil sont des noms typique de la mythologie nordique. Fandral un épéiste et Yggdrasil l'arbre des mondes, c'est sa mère norvégienne qui lui a donné. ♦ AGE: 24 ans ♦ LIEU DE NAISSANCE: Dans un maternité russe dans la banlieue de Moscou, un jour d'octobre. ♦ STATUT CIVIL: Célibataire. ♦ MÉTIER : Oubliator en formation ♦ EX-MAISON: Yggdrasil n'a jamais étudié à Poudlard, il vient de l'Est, il était donc de Durmstrang ♦ STATUT FINANCIER: C'est un gosse de riche évidemment. ♦ GROUPE: Mangemort, il faut dire que son père l'a bien endoctriné.  ♦ STATUT DU SANG: Sang-Mélé ♦ EPOUVANTARD: La faucheuse, l'idée de mourir maintenant l'effraie car il compte bien faire quelques chose de a vie.  ♦ PATRONUS: Ours brun, peut-être à cause de la force brute de cet animal. ♦ AMORTENCIA: L'odeur du souffre et de la fumé. Tout ce qui brûle le ravi, même la chaire humaine. ♦ BAGUETTE MAGIQUE: Sa baguette magique est en bois de chêne. Elle mesure 36,5 cm et contient un cheveu de Vélane. ♦ SORT FAVORI: Doloris, il ne l'utilise pas souvent, en effet mais il aime bien. C'est d'ailleurs les femmes qui en font les frais.

Ton caractèreFutéSadiqueSouriantSournoisRuséFauxJoyeuxMisogyne

C'est un oiseau, Yggdrasil est tout a fait volatile, il a des convictions, mais tant qu'il peut garder sa liberté et ne dépendre que de lui même il sera satisfait. Il n'a jamais eu beaucoup d'ami et ça ne l'a jamais dérangé puisqu'il préfère la solitude à l'agitation. Bien que la chaleur d'une femme ne le dérangerait pas.Pourtant sa pensé actuelle sur le sexe féminin et sa réticente à mettre au monde des petits enfants comme lui, l'empêche de penser au mariage et à une famille heureuse. ✜ Son père la reconnu par dépit, lors de la naissance de sa sixième fille. Avant cela, Yggdrasil n'avait pas de nom, ni de titre. Pour assurer sa légitimité, il a dut joué un grand rôle d'acteur, car ses "retrouvailles" avec son père avaient été filmé par les médias Russe, car ce grand politicien retrouvait son fils disparu depuis 20 ans. Mais jamais son père ne l'a aimé, c'est juste qu'une loi datant du temps de Paul Ier de Russie oblige toute succession de bien, titre et terre à un hérité mâle seulement. ✜ Il a vécu dans une maison close appartenant à la famille de son oncle maternel à Saint-Pétersbourg. Il a eu le droit à une éducation magique et moldu, car même les putins ne sont pas toutes des moldues. Peut être que c'est cette période qui lui a fait détesté sa condition d'enfant illégitime et les femmes qu'il avait le droit de snober et insulter comme il le voulais. Sa famille est à la base très machiste. ✜ Quand il a reçu un envoyé de l'école de sorcellerie scandinave, il a cru à une mauvaise farce de son père et n'a pas voulu rentrer dans cette école avant qu'on lui démontre par a plus b qu'il y été vraiment inscrit. ✜ Quand il étudiait avec son percepteur, Yggdrasil aimait beaucoup le latin et le grec, ainsi que les mathématiques et la philosophie, comme tout bon illégitime, il n'avait pas le droit d'aller à l'école, histoire qu'on ne lui trouve pas de ressemblance avec le premier ministre russe. ✜ Il n'a jamais connu sa mère car cette dernière, redoutant la colère de la femme jalouse de son amant, est retournée en Norvège son pays natal. Apparemment, elle d'appelait Frigg. C'est peut-être pour ça qu'elle a nommé son fils unique Yggdrasil. ✜ Yggdrasil est un homme d'action. Bien que sa formation d'Oubliator requière une grande finesse et patience, il préfère jouer des poings et de stratégie brusque pour surprendre les gens. Ce qui fait sa force c'est cette face d'ange qu'il aborde, car malgré tout il faut le dire, c'est un joli garçon. ✜ Quand il a une baguette dans les mains, il devient assez agile. D'ailleurs, il tient cette agilité de son magnanimement de l'arc. Il adore décocher des flèches pour les plantés dans des cibles, et quand elles sont mouvantes et vivantes, il préfère encore plus. ✜ Son père et porté sur la magie que l'on dit blanche ou du bien. C'est pour le mettre au défi et le faire chier qu'Yggdrasil s'est mis à la magie noire. Depuis il a eu un don, celui de la legilimencie, il faut dire que ceux qui pratique la magie noire à Durmstrang sont nombreux et son maître était la première personne de confiance, mais bon ... Il a préféré le tuer. Histoire de ne pas laisser de trace de son amitié et de tout ce qu'il savait à son sujet. ✜ Il déteste lire et pourtant Yggdrasil passait ses journées dans une bibliothèque à lire de vieux traités de magie noire.

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PSEUDO/PRENOM : Comme vous voulez je n'en ai pas vraiment ÂGE :J'ai 20 ans et toutes mes dents !. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Partenariats QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? Le rose c'est bien et les anciennes versions étaient top ! FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7, je pense même si je ne réponds pas je regarde la nouveauté ♫ MOT POUR LA FIN : Winter is coming

L'enfance ...

On m’a donné une vie. Ni noire, ni blanche, car tout à un début. On dit bien souvent que les bébés sont neutres et blancs comme la neige. Il n’y a pas à dire, j’étais fait comme tout le monde, sauf que même à ma naissance, j’étais différent. Ni blanc comme la neige qui tombait ce jour-là. Ni noir comme le charbon qu’un domestique mettait dans le poêle. J’étais déjà d’une couleur bien définie, j’étais jaune. Pas littéralement, non, juste que je représentais déjà une haute trahison, j’étais ce genre d’enfant qu’un père ne veut pas. Ce genre d’enfant qui tache la vie d’un homme. Un homme qui n’a pas eu le courage de tuer cet enfant que j’étais, car j’étais un homme. J’étais le seul fils qu’il pourrait à jamais avoir, alors il m’a gardé en vie dans l’espoir que je lui serve un jour si sa véritable femme ne lui donnait pas un fils dans les mois qui suivaient. Et déjà, je commettais un meurtre.

Je m’affirmais, ou le destin s’affirmait pour moi, c’est ivre de rage que cette pauvre femme du nom d’Elena fit fausse couche alors que mon père biologique lui annonçait la dure nouvelle. Et il n’en fut pas moins déçu ce père quand il eut appris la nouvelle, c’était un fils que sa femme portait, un héritier digne de son rang. Et sa lâcheté avait entraîné tout ceci, la mort de son véritable fils alors que moi, je vivais bien sagement dans les bras de ma mère. Cette mère qui m’abandonna pour sauver sa vie. Je savais bien qu’elle n’était pas comme moi, pas magique parce que sinon elle se serait défendue face à cette femme moldu qui avait épousé mon père.

Frigg c’est comme ça qu’elle s’appelait selon mon oncle, Dimitri. Il s’appelait comme ça lui aussi. C’était un homme bon qui lui a eu le courage de me prendre sous son aile, un bras sorcier qui défiait son frère cadet, qui défait mon père biologique. D’ailleurs lui il se nomme Alexey et sa femme Victoria. J’avais selon mon oncle, six sœurs aînées : Diana, Leona, Shona, Fiona, Aniva et Syra. Aucune d’elles n’avait de pouvoir magique, du moins c’est ce que mon oncle me disait. Il faut dire que je ne les ai jamais vus avant mes années au Château. Mes sœurs et ma famille illégitime étaient un sujet tabou. On me disait souvent : « — Tu sais gamin, ce ne sont que des jeunes filles gâtées par leur mère, elles ne t’apporteront rien de bon. » Et moi, je grandissais dans un milieu bien particulier. Une maison close. J’étais entouré du matin jusqu’au soir de jeunes catins qui vendaient leurs corps pour de l’argent, des jeunes catins, de vieilles catins et de belles catins comme l’était ma mère à ce qu’il parait. Je ne l’ai jamais vu, même pas en photographie et elle ne m’a jamais réclamé disant que j’étais l’objet d’un funeste destin. Et pour moi maintenant, c’est vrai.

J’ai donc grandi dans une banlieue chic de maison close de  Saint-Pétersbourg. Jamais mon père ne venait me rendre visite et je commençais à croire que je finirais ici le restant de mes jours. Mon Oncle Dimitri était d’un grand secours et le soir il me nourrissait de cette magie dont j’étais fait, je n’ai jamais nié appartenir à un monde différent, je provoquais le malheur autour de moi et de ce fait, personne ne m’en voulait, car j’étais : le petit neveu trop chou du patron. Les habitués avaient pour habitude de me donner des bonbons et de me nommer « Le gamin ». C’est vrai que personne ne m’appelait par mon prénom, trop long et trop peu typique en Russie pour cela. Je servais pour mon oncle, j’envoyais des lettres et distribuait les soldes des catins en fin de mois, car mon oncle leur versait une petite rente et ça en attirait beaucoup, la maison de mon oncle était un endroit doré et plein de luxure. Comme devait l’être chaque maison, mais celle de mon oncle était trop différente des autres. Il y a avait de tout pour tout le monde, si c’était un enfant que l’on demandait, on obtenait un enfant, si c’était un cadavre que l’on demandait, mon oncle se pliait en quatre pour en trouver un. Et son frère étant premier ministre du pays, la justice fermait les yeux sur ses agissements douteux. Bien que des femmes mortes de froid on en trouvait beaucoup dans les quartiers pauvres.

Jusque-là, je n’avais pas tellement d’amis, je ne sortais que lors des rapts ou pour faire quelques commissions pour la maison, souvent cela se situait dans le quartier et je ne sortais pas de ma tour d’ivoire. Jamais mon Oncle ne me le permis, alors j’étais ami avec les rejetons que les catins souhaitaient gardé, mais pas bien longtemps, car mon j’étais « Le gamin du patron » et que si un enfant de catin me faisait une misère, la mère ne le revoyait plus, une fois on a tenté de me prendre un bonbon donné par un riche politicien, l’enfant, on lui a coupé la main, car le crime c’est comme ça qu’il le punit mon Oncle, on coupe ce qui a été l’objet du crime et la catin et son fils ont été renvoyé dans une autre maison, mais moi on m’adorait toujours autant parce que j’avais un visage d’ange. Un jour, une catin m’a dit que je devais descendre d’un dieu pour être aussi beau à neuf ans et peut-être n’avait-elle pas si tord… En-tout-cas à dire cela, elle fut grassement récompensée. Elle fut achetée par mon oncle Dimitri et ce dernier en fit sa femme, Sif qu’elle s’appelle. Et elle est devenue ma mère adoptive par la même occasion.

Cette maison, je l’aime encore et aujourd’hui j’aimerais bien y retourner pour voir ce qu’il advient de Sif et de mon Oncle Dimitri.



Durmstrang ...

Durmstrang, c’est l’endroit où j’ai vécu pendant longtemps, sept ans exactement, comme dans l’école anglaise, nous avons sept années de formation avec un diplôme en cinquième et septième année. Il faut dire que ma première année m’a marqué. Pour la première fois de ma vie et le jour de mes onze ans, c’est mon père, le grand premier ministre qui est venu me chercher dans la maison close de mon oncle Dimitri. Très franchement, ce jour-là j’avais envie de lui cracher à la figure et de me cacher dans un coin de la maison pour ne pas partir avec lui, mais c’est mon oncle qui m’a dit : « — Tu dois assumer le fait d’être un sorcier gamin, tu entends, rends nous fier de toi. » Et quand il disait « Nous », j’avais bien compris qu’il parlait de Sif et de lui-même. Je n’ai pas pleuré, j’en avais terriblement envie c’est vrai. Mais je me suis dit que si je pleurais, Sif aussi pleurait. Donc je me suis retenue jusqu’à monter dans la grande voiture de mon géniteur.

Tout le long du chemin, il me parla de la distinction entre la bonne et la mauvaise magie, ce que je savais déjà depuis longtemps. Il se plaça comme un bienfaiteur qui se servait uniquement de la bonne magie pour faire le bien du pays dans le secret absolu et m’avertit que je ne devais rien dire à propos de ma magie à moi. C’est vrai qu’une fois j’ai fait éclater le flacon de parfum d’une catin sous la colère et c’était passé bien près d’une artère. Puis dans cette même voiture, mon géniteur me demanda avec ses traits fins et froid : « — Comment t’as ton nommé dans la maison de ton oncle ». Ce jour-là, je lui ai répondu qu’il devrait le savoir, car j’étais sa chair et son sang. Puis il me gifla, rouge de colère peut-être de honte. Sans l’avoir vu en onze ans, je détestais cet homme et je m’étais déjà dit que je serais l’inverse de lui : un mage noir. Et d’ailleurs, l’école de magie que j’allais intégrer n’était pas réputée pour sa pureté d’âme bien au contraire. J’étais à onze ans un petit bonhomme chétif… Ce qui m’attira beaucoup de bizutage à mon arrivée, il faut dire que les filles étaient séparées des hommes, car certains n’hésitaient pas à les violer… L’été de mes douze ans, je me suis donc mis au sport et durant cette seconde année, j’ai trouvé un ami, quelqu’un de bien plus vieux que moi qui me promis mots et merveille si j’arrivais à lui dégoter une fille. Il était en cinquième année et il s’appelait Sergei. C’était quelqu’un d’assez large et il m’entraina lui-même, il faut dire qu’en deux ans, il m’apporta plus qu’un corps d’homme. Dans ma quatrième année, j’étais beau jeune et fort, mais je refusais l’avance des filles, trop dégouté par l’amour que l’on pouvait vendre.

Sergei m’apprit aussi à lire dans les pensées des gens, c’était tous les mardis soirs dans un sale de torture que l’on utilisait dans une époque médiévale… Il faut dire que cette branche peu active de la magie noire était un pouvoir que l'on recherchait beaucoup. La Légilimencie était un pouvoir bien difficile à maîtriser et encore aujourd'hui, je ne suis pas maître dans l'art de lire les pensées. C'était un parcours long et lent, je dois encore m’entraîner dur... Mais à l'école ce fut un plus pour certaines choses futiles, aujourd'hui ça devient plus avantageux. Personne ne venait jamais et de jour en jour, en deux ans, je faisais de grands projets. Sergei me racontait les récits, les aventures du plus grand mage noir de tous les temps. Il faut dire que je ne me lassais pas de lire des ouvrages historiques qui parlaient des époques sombres du monde magique. Enfin, en deux ans de pur apprentissage, je maîtrisais un peu la technique, mais pas parfaitement, j’arrivais à lire quelques souvenirs de filles, mais jamais sur les hommes, mais je m’entrainais sur des nouveaux qui avaient peur de moi en échange d’un sou. C’était si facile qu’à ma sortie de l’école, diplôme en poche et pas si mauvais élève que cela, je maîtrisais ce don et j’en avais déjà tiré parti. Je devenais vraiment quelqu’un d’insondable quand je le voulais mon visage pouvant être doux, pouvant lire dans les souvenirs comme je le souhaitais, j’étais en bonne voie pour devenir un homme du mal… j’étais, je suis le diable avec un visage d’ange, un ange noir.



Légitime ...

J’avais donc 17 ans quand je suis sorti de l’école et il faut dire que ma vie entre ce moment et ma nouvelle identité n’a pas été bien facile. Il faut dire que l’ascension au pouvoir était dure. Souvent j’étais encore le gamin et Sergei en paya un prix assez fort. Car la petite eau en Russie n’était pas dénudée l’alcool bien au contraire et il n’en fallut pas moins pour le provoquer en duel, je devais avoir 18 ans quand cela arriva. Je vivais à Moscou depuis mes onze ans et je connais bien la ville et les quartiers sorciers. Sergei venait de la campagne et vivait ici depuis un mois grâce à un job trouvé depuis peu, il faut dire qu’il était bien provocant. Peut-être voulait-il voir ce que j’avais dans le ventre depuis qu’il était parti de l’école.

Et il n’a pas été déçu du résultat, j’étais plus jeune, plus fort que lui et un duel de sorcier sans mort en Russie ne sont pas une chose courante, on combat à mort ou non, bien que la mort ce fut une mort avec strangulation. Je ne voulais pas être mis en prison maintenant. Pourtant, on me chercha quelques poux, mais la main de mon père était vite mise sur une justice qui n’avait plus rien pour m’arrêter. D’ailleurs, mon géniteur avait fait cela dans un but bien précis… Garantir la succession. Bien qu’il se fasse vieux, il pouvait encre être utile et j’avais déjà bien en vue ce qu’il avait dans le crâne, m’apporter un nom, moi qui jusqu’à présent n’en avais pas. D’ailleurs le mois de mes vingt ans, il annonça à la presse qu’il avait retrouvé l’enfant qu’on avait enlevé à sa femme dès sa naissance. Cette fausse couche provoquée par mon arrivée était désormais ma naissance… J’étais depuis lors le fils légitime de Alexey Alexandrovitch Jdanov… Et c’est là que je dus faire comme si j’étais heureux de retrouver ma famille et j’ai d’ailleurs rencontré mes six sœurs… Aucune n’était digne de valeur… Juste des enfants gâtées comme me l’avait déjà dit mon Oncle.

Puis, c’est sur les coups de mess 23 ans que mon père préféra m’envoyer à Londres au cœur du système magique pour que j’étudie un métier utile dans ses fonctions : Oubliator. En plus d’être utile pour lui, ça le serait pour moi. Mon arrivé ne fut pas remarqué sauf par le ministère, je n’ai ni ami, j’ai juste des frères de l’ombre et ma position m’amènera à les trouver…

Je ne suis qu’un envoyé de la mort, longue et douloureuse pour ceux qui voudront me voir périr…

Appelez-moi Yggdrasil Fandral Jdanov, l’arbre des mondes qui vous fera rejoindre la mort.