Alexander s'éveillait bien plus tôt que les autres, il venait de fixer son réveil qui venait de le réveiller et il l'éteignit essayant de limiter le remue ménage dû à ce réveil matinal. Il se leva et s'assit dans son lit avant de sortir du lit. Il enfila ses vêtements, c'est-à-dire son jogging, ses gants, ses chaussure de course, son pull rouge et il se regarda dans le miroir avant de rabattre sa capuche sur sa tête. Il commença à s'échauffer dans le grand escalier faisant de petits pas sur place et faisant bouger ses autres membres en même temps. Il finit de s'étirer à l'entrer avant de commencer sa course habituel autour de Poudlard, c'était un entraînement quotidien que d'entretenir cette carrure. Pourquoi est-ce qu'il faisait ça ? Bas déjà pour lui et puis bon... Pour les filles aussi, même s'il n'avait pas encore trouvée celle qui exaltait ses sens... Pas vraiment besoin de baguette pour prouver qui il est. Habituellement, il n'avait pas vraiment de problème, il faut dire qui va s'attaquer à quelqu'un comme lui.


Alexander faisait environ un mètre quatre-vingt-dix. Il était musclée, de quoi refroidir même le plus hardis. Il s'échinait à se maintenir en forme parce que ça faisait peur au plus faible... Ici tout se jouait à la baguette... Dit comme ça c'était ridicule.. La première fois qu'on lui a présenté une baguette dans le chemin de travers, il avait ri... Comment un bous de bois même avec les meilleurs mots du monde pouvait donner la mort comme la vie... Ça semblait irréelle, voire divin... Quelqu'un capable de vous faire brûler, de vous faire subir les pires souffrances d'un simple revers de la main et trois mots dans le vide. Cette baguette était une arme redoutable comme un formidable outil de vie. Son père n'avait rien voulu savoir... Fervent croyant, il avait fait la promesse à sa mère de ne pas le lier à toutes ces conneries comme il disait.


Alexander changeait de façon de courir toutes les quinze minutes, plus besoin de regarder sa montre, il savait qu'à telles heures il serait à tels endroits. Cela faisait déjà cinq ans, cinq longues années. Il avait appris, vécu... Il s'était fait des amis. En vérités, il était seul. Seul au monde, unique en son genre... Un sorcier qui pensait résoudre ses problèmes par l'apparence de la montagne. Terrifier ses ennemis... Stupide... Enfin sa baguette il la connaissait maintenant... Ça faisait cinq ans qu'il apprenait avec ses camarades à lancer des sorts. Il en connaissait pas mal. Il aurait pu en faire une liste pendant une heure.


Il s'arrêta après deux bonnes heures . Il s'affala par terre, observant le ciel, dans l'herbe gelée, c'était encore l'hiver. L'herbe était froide et trempée, sûrement des averses de la veille. Il s'assoit en tailleur, remarquant qu'il se trouvait devant le stade. L'arène, c'est là que selon lui on faisait ses vraies preuves, la forces des sorciers n'est pas dans le marbre du ministère, il est dans les airs du Stade de quidditch. Il rentra à la salle commune en marchant, saluant deux trois potes en éveil sur le chemin du petit-déjeuner. Il saisit son équipement de quidditch et son balais dans son armoire et il se dirigea sur le terrain. Il marcha avec jusqu'aux vestiaires. Il commença à se changer et il rangea ses affaires dans son casier avant de pointer un oeil dehors, agitant sa batte dans une main et son ballais dans l'autre.



Voilà c'est enfin la dernière raison pour laquelle, il s'entretenait, il était le batteur dans l'équipe, ce qui veut dire qu'il fallait frapper fort et rester agile. Il arriva au centre du terrain, observant les alentours. Il saisit son ballais et l'enfourcha un instant. Comment est-ce qu'il y a quelques années il aurait pensé faire ça.... Enfourcher un ballais pour qu'il vole. Cela relève de l'étrange voir du totalement débile. Il se concentra dessus et lui donna la première impulsion qui le fit décoller du sol, il s'élança dans les airs pour commencer à faire quelques tours de Terrain.