♦ NOM(S): St John. Comme l'hôpital de Bath, petite ville anglaise non loin de Bristol. Une vieille référence à un illustre ancêtre dont Patrick St John ne cesse de dire que la parenté n'est que dans leur choix de carrière : faire ce qui doit être fait pour le bien-être de la communauté. Une famille altruiste, les St John. Aussi altruiste que reconnu du côté des moldus dans le sud de l'Angleterre, entre galas de bienfaisance et renommée médicale. ♦ PRÉNOM(S): Rebecca Eleonora. Deux prénoms qui lui viennent de l'héritage familial, prestige et honneur rendu à une grand-mère maternelle, Rebecca Walter, ainsi qu'à une lointaine cousine germaine, Eleonora St John-Johnson. Deux femmes illustres, chacune en leur domaine. Il n'est pas sans dire que Bertha St John, la grand-mère paternelle ne vit pas d'un bon oeil l'acquisition du prénom de sa rivale mais se plait à croire et affirmer tout haut que la gamine se fait surnommer Becca en son honneur. Alors qu'il ne s'agit que d'un diminutif servant à éloigner la grandeur qui l'entoure. Personne n'a jugé bon de l'en dissuader. ♦ AGE: Seize ans. Plus qu'une année et la majorité lui sera enfin acquise. Si Becca avait hâte de pouvoir être libre, elle craint pourtant le grand saut dans l'inconnu. Mais pas la grande révélation qu'elle pourra faire à son père, le sommant enfin d'arrêter de lui envoyer des anti-dépresseurs et de penser que sa fille devrait suivre une thérapie. ♦ LIEU DE NAISSANCE: A l'hôpital moldu public St John, à Bath dans le sud de l'Angleterre. ♦ STATUT CIVIL: Becca sort d'une relation amoureuse de deux ans avec Noah Fitzgibbons. Une relation qu'elle chérissait comme la prunelle de ses yeux, sortant à la fois avec son ami et l'homme de sa vie. Cependant, elle mit fin à cette relation à la fin de sa cinquième année, l'esprit embrouillé par les peurs estudiantines. A force de trop penser à lui, elle en était venue à ne plus se connaître elle-même, doutant de tout et surtout du chemin à suivre. Les paroles familiales l'effrayant, elle voulut mettre un frein, ralentir pour pouvoir mieux comprendre et se retrouver mais la froideur de celui qu'elle aime à fait stopper leur relation. Coup de tête ou sage décision, elle ne sait plus et s'enlise. ♦ STATUT FINANCIER: Situation familiale aisée mais en raison de la conviction parentale de la lubie folle de leur fille de se faire passer pour une sorcière, ils ne donnent qu'un argent de poche modéré à leur enfant. ♦ GROUPE: Etudiante.  ♦ MAISON: Poufsouffle.  ♦ STATUT DU SANG: Née-moldue. Les St John n'ont jamais entendu parler de la magie et n'y croient tout simplement pas : le grand dilemme de Becca.  ♦ EPOUVANTARD: L'internement. Ayant un jour entendu ce mot percer le mur de la pièce où ses parents se disputaient, Becca a toujours peur que son père ne finisse pas décider de l'interner pour folie, même après qu'elle ne lui ait prouvé l'existence de la magie. La rationalité de la famille fondra-t-elle ? ♦ PATRONUS: Un canari argenté apparaît lorsqu'elle tente de prononcer la formule magique. ♦ AMORTENCIA: L'odeur de la pluie qui s'en vient, entremêlée avec celle d'un thé fumant au miel et une note d'herbe. ♦ BAGUETTE MAGIQUE: écrire ici. ♦ SORT FAVORI: écrire ici. ♦ DON : Aucun, en dehors d'être la première sorcière de sa famille.

PSEUDO/PRENOM : écrire ici. ÂGE : écrire ici. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? écrire ici. QUELQUE CHOSE A DIRE A PROPOS DU FORUM ? écrire ici. FRÉQUENCE DE CONNEXION : écrire ici. MOT POUR LA FIN : écrire ici.

Votre histoire en une trentaine de lignes ici. Illud autem non dubitatur quod cum esset aliquando virtutum omnium domicilium Roma, ingenuos advenas plerique nobilium, ut Homerici bacarum suavitate Lotophagi, humanitatis multiformibus officiis retentabant. Illud tamen te esse admonitum volo, primum ut qualis es talem te esse omnes existiment ut, quantum a rerum turpitudine abes, tantum te a verborum libertate seiungas; deinde ut ea in alterum ne dicas, quae cum tibi falso responsa sint, erubescas. Quis est enim, cui via ista non pateat, qui isti aetati atque etiam isti dignitati non possit quam velit petulanter, etiamsi sine ulla suspicione, at non sine argumento male dicere? Sed istarum partium culpa est eorum, qui te agere voluerunt; laus pudoris tui, quod ea te invitum dicere videbamus, ingenii, quod ornate politeque dixisti.